Booba cherche encore Kaaris sur Instagram (photo)

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La rédaction de France-Soir
Publié le 27 septembre 2018 - 12:36
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Coups de pieds, insultes, bouteilles de parfums qui volent... Après leur sortie de prison, les rappeurs ennemis Booba et Kaaris se retrouvent jeudi devant la justice pour s'expliquer sur leur rixe en
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© Dominique FAGET, Loïc VENANCE / AFP/Archives
A deux semaines du verdict de la justice, suite à la bagarre à l'aéroport d'Orly, le rappeur Booba continue de chambrer Kaaris.
© Dominique FAGET, Loïc VENANCE / AFP/Archives
Le rappeur Booba, qui attend le verdict de la justice concernant la rixe en bandes survenue à Orly le 1er août, a à nouveau chambré son ennemi juré Kaaris sur Instagram. "Va à l'infirmerie gros", lui a-t-il dit.

Le 1er août dernier, Booba et Kaaris en sont venus aux mains à l'aéroport d'Orly, ce qui les a menés jusque devant le tribunal correctionnel de Créteil, et qui risque de leur infliger une peine d'un an de prison avec sursis.

Depuis qu'ils se sont "expliqués" à la barre, les deux rappeurs respectaient une certaine distance entre eux, géographiquement parlant comme sur les réseaux sociaux.

Mais Booba, Elie Yaffa de son vrai nom, n'a pas su se retenir plus longtemps et est allé chambrer son ennemi juré directement sur son compte Instagram, sous une photo de Kaaris (Okou Armand Gnakouri) enfant.

L'image montre le rappeur d'origine ivoirienne brûlé sur une partie du torse et sur la moitié du visage, après qu'il a été victime d'un accident domestique lorsqu'il était tout petit.

Lire aussi: rixe à Orly - un an avec sursis requis contre les rappeurs Booba et Kaaris

L'objectif de Kaaris était plutôt louable: dire à ses fans de ne rien lâcher après une épreuve difficile dans la vie.

"Ils avaient dit que j’allais perdre mon œil et garder des séquelles, regardez où j’en suis aujourd’hui. Il ne faut jamais baisser les bras".

Mais Booba n'a rien trouvé de mieux que d'aller commenter et d'écrire "va à l'infirmerie gros" avec un smiley qui rigole. Punchline que les témoins de la bagarre à Orly l'ont déjà entendu lancer.

"Quand on parle, il faut assumer! Va à l’infirmerie, gros", avait-il ainsi crié, une fois que la sécurité de l'aéroport d'Orly était venue les encercler.

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