Les Hallyday n'ont jamais été "une vraie famille" (témoignages)
"Cela n'a jamais été une vraie famille", a estimé Melita Toscan du Plantier, une proche de Laura Smet dans le documentaire Johnny - Laeticia: à la vie à la mort qui sera diffusé dans son intégralité ce lundi 11 au soir sur BFMTV.
Pour ce document, de nombreux proches des différents membres de la famille du rockeur ont accepté de témoigner pour mieux comprendre les tensions qui perduraient au sein de la famille.
Le documentaire se veut objectif et refuse de prendre parti pour tel ou tel clan dans l'affaire de l'héritage de Johnny Hallyday qui voit s'opposer sa veuve Laeticia et ses deux grands enfants Laura Smet et David Hallyday.
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Ainsi Sébastien Farran, le manager de Johnny Hallyday qui est toujours très proche de Laeticia, a accepté de parler pour la première fois à ce sujet. Soutien inconditionnel de la veuve, il a affirmé qu'elle avait été un "soldat" investi d'une "mission" jusqu'à la mort de son mari.
"C’est la reine et, Johnny, c’est le roi. Il ne prenait aucune décision sans elle", a-t-il indiqué. Il a aussi confié que le rockeur vivait dans "une angoisse récurrente" de voir sa femme et ses deux filles ne pas s'en sortir sans lui, d'où sa décision de leur léguer la totalité de ses biens.
Pour Frédéric Beigbeder, qui a été le compagnon de Laura Smet, les relations étaient très tendues entre le rockeur, sa femme et les deux enfants les plus âgés.
Il a d'ailleurs commenté les images de la grande fête organisée en l'honneur des dix ans de mariage de Johnny et Laeticia Hallyday en 2006. Le chanteur avaient alors fait un discours rempli d'amour à l'attention de son épouse et ses deux filles, mais rien pour ses deux autres enfants.
Laura Smet voulait alors "partir sur-le-champ", vexée par cet "oubli" de taille.
A nouveau, Laeticia Hallyday a été décrite comme une "control freak", une obsessionnelle du contrôle, par certaines personnes ayant accepté de témoigner. "Si elle pensait vraiment que c’était une famille, elle les aurait appelés pour leur annoncer la mort de leur père", a estimé Melita Toscan du Plantier.
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