"Assassin's Creed" : Michael Fassbender rejoint son ancêtre dans une nouvelle bande-annonce (VIDEO)

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Victor Lefebvre
Publié le 18 octobre 2016 - 22:11
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Michael Fassbender dans Assassin's Creed.
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©Capture d'écran YouTube
Capuche et lame secrète, Michael Fassbender a rejoint l'ordre des Assassins.
©Capture d'écran YouTube
Une deuxième bande-annonce d'"Assassin's Creed", adaptation du jeu vidéo à succès et blockbuster annoncé de cette fin d'année, a été mise en ligne ce mardi. L'occasion d'un aperçu haletant des combats menés par Michael Fassbender contre les templiers, sur deux fronts et à deux époques.

Ce sera sans aucun doute l'un des blockbusters à suivre parmi ceux qui sortiront comme chaque année en nombre à la période des fêtes. La production d'Assassin's Creed -adaptation cinématographique du jeu vidéo à succès d'Ubisoft- a dévoilé ce mardi 18 une deuxième bande-annonce, à deux mois de la sortie du film le 21 décembre.

On retrouve donc une nouvelle fois Michael Fassbender prisonnier des templiers, contraint de revivre à travers l'animus les aventures de son ancêtre Aguilar, mort depuis 500 ans, via sa "mémoire génétique". Des concepts qui laissent probablement dubitatifs ceux qui n'ont jamais joué à l'un des nombreux jeux de la série Assassin's Creed, créée il y a déjà près de 10 ans.

Nul besoin de cela cependant pour être sensible à la tension de cette bande-annonce assez sombre et intense. On y découvre -au risque peut-être de déjà spolier le spectateur- Michael Fassbender aussi bien en Callum Lynch dans les locaux futuristes d'Abstergo que dans l'Espagne de l'inquisition sous la capuche des Assassins.

Combats chorégraphiés, courses-poursuites  sur les toits, lames secrètes, ambiance de complot sur deux époques et même saut de la foi: tous les ingrédients qui ont fait le succès du jeu semblent bien-là. Et même quelques nouveautés attendues au tournant par les fans.

En effet, les tentatives d'adaptation sur grand écran de jeux vidéo n'ont pour l'instant rien donné de vraiment mémorable. Il suffit d'évoquer Prince of Persia (Mike Newell, 2010) , les deux Tomb Raider (Simon West, 2001 et Jan de Bont, 2003) ou même Super Mario Bros (Rocky Morton et Annabel Jankel, 1993) pour s'en rendre compte.

Le réalisateur Justin Kurzel a dû composer avec l'esprit du jeu dont une trahison lui vaudrait la colère des fans, et l'obligation de modifier certains aspects qui seraient apparus ridicules au cinéma. S'il faut se méfier du prisme d'une bande-annonce, la prison de Michael Fassbender, sa relation avec les autres esclaves de l'animus, "l'effet de transfert" vers une autre époque et le concept même de la fameuse machine semblent très prometteurs.

(Voir ci-dessous la bande-annonce d'Assassin's Creed):

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