"TPMP" : Castaldi boudé par ses amis après son clash avec Nikos
Il est en colère et l'a fait savoir sur le plateau de Touche pas à mon poste. Quelques jours après son coup de gueule contre Nikos Aliagas, Benjamin Castaldi est revenu jeudi 14 au soir sur les raisons de son mécontentement, expliquant au passage qu'il avait été lâché par certains de ses amis suite à ses propos.
"J'ai un soutien énorme sur les réseaux, partiel dans le métier, et ce qui m'a gêné le plus, c'est que j'ai des amis à moi dont les intérêts se croisent avec Nikos et qui m'ont rayé de leur calepin", a-t-il révélé.
"Je suis quelqu'un qui a toujours dit ce qu'il pensait. Je parle avec mon cœur donc je préfère toujours être de ceux qui lèvent le doigt et qui s'expriment que de ceux qui ont un intérêt", a-t-il ajouté confiant que sa grand-mère lui disait souvent: "Dans la vie, il y a de l'argent qui est trop cher à gagner". "Et moi, cet argent là, j'en veux pas, c'est tout", a-t-il affirmé devant Cyril Hanouna et les autres chroniqueurs de l'émission.
Pour rappel, Benjamin Castaldi avait chargé Nikos Aliagas quelques jours plus tôt suite à un numéro de 50 minutes inside en hommage à Johnny Hallyday. Numéro qui avait été enregistré plusieurs semaines avant la mort du chanteur. Une décision qui a profondément choqué l'ancien présentateur de Secret Story.
A lire aussi - "TPMP": Benjamin Castaldi dénonce des "pressions" exercées sur l'agent de Pierre-Antoine Bosse par "Quotidien"
"Quand je vois l'événement national que ça a été et la mobilisation de toutes les chaînes, toutes les radios, honnêtement je ne comprends pas. Nikos, je n'ai rien contre lui mais je vous le dis sincèrement, comment la chaîne TF1 peut faire faire un plateau en avance en annonçant la mort de quelqu'un qui n'est pas encore mort?", avait-il ainsi déploré.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.