France-Belgique : sécurité renforcée à Paris pour la fan-zone de l'Hôtel de Ville
Le jour de gloire est peut-être arrivé pour l'équipe de France de football qui s'apprête à affronter ce mardi 10 juillet la Belgique, pour la 6e demi-finale de Coupe du monde de son histoire.
Comme promis, la maire de Paris Anne Hidalgo a bien fait installer un écran géant de 62 mètres carrés et une fan-zone sur le parvis de l'Hôtel de Ville, et un important dispositif de sécurité a été mis en place pour assurer la tranquillité des quelques 20.000 supporters qui viendront vivre le match ensemble.
Ce sont plus de 1.200 policiers et gendarmes qui seront mobilisés. Les barrières de sécurité du festival Fnac Live, qui se déroulaient au même endroit la semaine dernière, ont été conservées.
A noter que l'entrée de la fan-zone se fera par l'avenue Victoria, où les vigiles effectueront une inspection visuelle des sacs et procéderont aux palpations de sécurité d'usage, aux différents points de filtrage.
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L'ouverture des portes ne devrait pas s'effectuer avant 18h mais il est conseillé, dans la mesure du possible, de se rendre sur place au plus tôt.
A noter que des restrictions de circulation ont été mises en place dans le secteur et que la Préfecture a prévu de fermer des stations de métro. Les Champs-Elysées pourront aussi être touchés en cas de victoire et de liesse populaire. La circulation y serait neutralisée.
Le stationnement était interdit dès 9h ce mardi matin dans un large périmètre autour de l'Hôtel de Ville, et la circulation sera interdite à partir de 18h30.
Les stations George V, Hôtel de Ville et Charles de Gaulle Etoile sont susceptibles de fermer à partir de 17h30.
En cas de victoire et donc de finale dimanche 15 juillet, à 17h, la fan-zone pourrait être délocalisée sur le Champ-de-Mars, où les barrières de sécurité du concert symphonique du 14-Juillet seraient conservées. La mairie y ajouterait un grand écran géant et huit écrans secondaires pour satisfaire les plusieurs dizaines de milliers de supporters qui voudront participer à ce moment historique du football français.
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