Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !
TRIBUNE : Au secours, ils s’en prennent encore à nos enfants !
Veut-on vraiment casser nos enfants tant que le plan scolaire que psychique ? L’incroyable prise de position exposée à nouveau dans Libération(1) nous a fait bondir, voire désespérer. Qu’est-ce que ce pays qui sacrifierait ses enfants au nom d’intérêts financiers et de querelles politiques et certainement pas médicales ? Nous pouvons admettre qu’en mars, les autorités craignaient que les petits transmettent le covid comme la grippe, mais cinq mois plus tard, l’ignorance n’est plus acceptable, ni des politiques, ni des médecins, surtout lorsqu’ils s’adressent au public. Les enfants ne sont pas à risque (les enfants ou adolescents de moins de 15 ans représentent moins de 1% des personnes contaminées(2) et moins de 0,01% des morts(3) ) et ils ne transmettent pas le virus ni aux autres enfants, ni aux adultes.(4)
Alors pourquoi cette rechute de folie par rapport à l’école ? Faire peur à tout prix pour imposer in fine un vaccin qui n’existe pas, mais fait déjà gagner des milliards en Bourse sans hésiter à sacrifier les petits et les jeunes dont le risque de covid grave est extrêmement faible ?
S’il est traité à temps, le Covid19 est curable
L’énorme majorité des médecins du monde ont expérimenté la chloroquine ou d’autres antipaludéens contre le Covid19, l’utilisent, affirment son efficacité et le publient. Alors pourquoi entrainer des généralistes, longtemps sincères et efficaces, dans un combat qui n’est pas le leur ? Et l’épidémie est finie (une épidémie se caractérise par des malades qui nécessitent des soins, des lits, ce n’est plus le cas depuis plus de 2mois). Si par hasard elle revenait, traitons les malades avec le traitement Raoult et il n’y aura pas de morts ou seulement les ainés qui seraient morts de la grippe une autre année. Stoppons enfin la farce tragique comme le réclament des milliers de médecins à travers le monde.
Oui Mr le Ministre, la rentrée doit être complètement normale ! Résistez, vous y gagnerez en crédibilité.
Une vingtaine de médecins menée par Karine Lacombe, (Mme Gilead et remdesivir) ose appeler le ministre de l’éducation nationale à renoncer à la rentrée quasi normale qu’il avait prévue. Les enfants, selon ces vingt médecins dont aucun pédiatre (sauf un radiologue pédiatre ce qui est différent), ni aucun pédopsychiatre, ni psychologue (ils ont préféré un vétérinaire et un légiste) n’hésitent pas à pousser le gouvernement à entrer à nouveau dans ce cercle infernal de la privation de scolarité normale et à conseiller des mesures aussi aberrantes pour un enfant que le port du masque et l’enseignement à distance.
Pourtant s’ils avaient pris le temps de lire les témoignages des psychiatres et psychologues, mais aussi de tous ceux qui s’occupent d’enfants, adolescents et jeunes adultes, y compris les familles, ils auraient pu approcher la gravité des séquelles de ces cinq mois d’hystérie collective et de mesures délirantes prises sans évaluation préalable de leur gravité à court moyen et long terme. N’en rajoutons pas.
Sacrifier nos enfants pour une mesure d’intérêt non démontré
Nos ministres de la santé ont interdit la prescription de chloroquine par les médecins en prétextant qu’il n’existait pas d’études randomisées de la chloroquine contre le Covid19. Mais pour les masques pas de problème : le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles (sans études le démontrant). Maintenant il prétend qu’ils sont indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous oblige à vivre masqués. Tous les médias reprennent en chœur « Sans masque pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ». Et les croisés du masque veulent maltraiter les enfants par une mesure sans aucune justification scientifique.
Rien ne prouve que les masques soient utiles contre une épidémie de Covid19
Libération publie une tribune orchestrée par la désormais célèbre K Lacombe(5) ,l’apôtre du remdesivir, le dr Jérôme Marty, président de l’UFML, qui en son temps s’était bien battu contre la loi de santé Touraine Véran et pour la liberté et l’indépendance des médecins (que vient-il faire dans cette galère ?), et les créateurs du collectif Stop-Postillons, réclamant partout et toujours le port du masque en exhibant de « nombreuses études » qui démontreraient que le masque pourrait prévenir la transmission du covid19. Oubliant au passage que le covid19 est curable si on accepte de le traiter, comme plus des trois quarts des médecins au monde.
Pourquoi ce déni et cette obsession du masque qui ne fait que « cacher ce traitement efficace que je ne saurais voir » ?
Des articles non convaincants éloignés de la pratique clinique
Nous avons personnellement relu tous les articles qu’ils citent à l’appui de leur obsession et aucun d’entre eux n’a étudié l’effet du masque sur la transmission du Covid19 dans la vraie vie.
L’article de Yu I.T date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve » mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux. Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire qui ignorent le contact du virus avec l’homme. Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve en rien que ces résidus puissent être contaminants, ni qu’un masque pourrait servir de protection. Celui de Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible. ». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux (pas pour les entreprises ou les écoles).
Et c’est sur ces pseudo-preuves qu’ils veulent nous bâillonner partout et toujours, pour une maladie en voie disparition en Europe(6) ! Que leur arrivent-ils ? Tout au moins à ceux que l’on a connu valeureux soldats sincères contre la prise de pouvoir par l’état de la santé par l’article 1 de la loi santé, comme les membres de l’UFML ? La fréquentation des plateaux télé est-elle si toxique qu’elle fait perdre le bon sens aux meilleurs défenseurs de la liberté et de l’indépendance médicale ?
L’épidémie est terminée en France.
« Les cas augmentent » répètent ils en boucle, mais les cas ne sont que des tests positifs ; ce ne sont pas des malades, mais seulement des témoins de rencontre avec le coronavirus ou un de ses cousins germains. Le célèbre Dr Fauci lui-même parle de 50 % de sujets immunisés, ce qui au passage rendrait le vaccin et son hypothétique existence inutile. Cet aveu vient-elle du fait que les russes lui auraient piquer la politesse pour le fameux vaccin?
D’après santé Publique France , il n’y a eu le 15/8 pour l’ensemble des 100 départements français que 71 nouveaux hospitalisés, dont 11 en réanimation et 4 décès attribués au Covid19, alors que nous disposons de 395 000 lits d’hospitalisation (estimation 2018), 7 000 lits de réanimation et enregistrons environ 1400 à 1700 décès quotidiens dont 500 cancéreux oubliés des amoureux du Covid. L’amour efface le reste, c’est connu. Même pas une goutte d’eau, même pas une gouttelette, alors qu’ils nous annoncent un tsunami de malades, plusieurs fois par jour. Quel raisonnement peut-il mener des médecins autrefois attentifs à vouloir imposer une mesure inutile, sans raison objective ?
Il faut se réjouir que les cas augmentent sans malades, car ces cas renforcent l’immunité de groupe tant désirée par les apôtres de la vaccination ; et c’est très heureux que ces nouveaux cas concernent les jeunes, car ceux -ci ne risquent presque rien(7) , et ils constitueront la barrière qui protégera les gens âgés des infections futures, si elles voulaient revenir dans notre pays.
Les auteurs de la tribune de Libération pointent l’incohérence des autres sans voir la leur (la paille et la poutre)
Imposer le port du masque à l’extérieur est effectivement incohérent avec le caractère très peu probable de la contagion en milieu ouvert (elle non plus n’a jamais été démontrée). Mais ce qui est encore plus incohérent, est de réclamer des masques quand la maladie a disparu alors qu’ils ne les réclamaient pas(8) et encore moins l’obligation d’en porter, quand leur utilité éventuelle pouvait se discuter (en février et mars).
Il est très incohérent et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres.
C’est totalement illogique de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9).
Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par Pubmed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel (10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22).
Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux(23) et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité.
L’agence statistique norvégienne a ainsi évalué les dommages permanents causés aux élèves par les fermetures d’écoles : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves freine les chances de réussir sa vie et réduit de façon permanente le potentiel futur des revenus ».
Sur les plus de 21 294 845 cas répertoriés par l’OMS(24) le 17/8/2020, aucune observation publiée n’a démontré formellement qu’un enfant pouvait contaminer un autre enfant ou un adulte. Si une telle transmission ne peut théoriquement être exclue, elle serait rarissime.
Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
La première étude française réalisée(25), l’étude de Santé Publique France est très démonstrative. L’enfant infecté des Contamines a été en contact, alors qu'il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n'a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy en Valois, les scientifiques ont étudié 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires Ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Or, ces trois enfants n’ont contaminé personne à l’école, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »
Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(26) : transmission du COVID-19 et enfants : l'enfant n'est pas à blâmer.
Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu'ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n'y a pas de rapport d'enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n'indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille(27).
En Irlande(28) , aucun cas de contamination scolaire n'a été détecté après analyse de 125 à 475 contacts de 3 cas détectés chez des élèves de 10 à 15 ans avant la fermeture des écoles le 12 mars 2020. 1 cas était asymptomatique.
En Australie, 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel(29) . Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.
En Suisse(30) : sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
En Suède, de nombreuses écoles sont restées ouvertes pendant la pandémie, représentant une occasion unique d'évaluer l'impact la poursuite des activités scolaires sur l'incidence et la gravité de la maladie en pédiatrie(31) . L'incidence cumulée des hospitalisations avec diagnostic de COVID-19 chez les enfants scolarisés était de 9 pour 100 000 enfants, versus 230/100 000 hospitalisés et à 99/100 000 décès dus au COVID-19 parmi la population adulte de Stockholm (n ≈ 1,84 million) au cours de la même période.
Cela montre que la poursuite des activités scolaires n'a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes.
Les avocats du masque citent les foyers d’infections constatés dans des écoles israéliennes et dans une colonie de vacances américaine, mais ne précisent jamais que dans tous ces cas la contamination des enfants a été secondaire à la présence d’accompagnants adultes malades. Si le masque peut se discuter à l’école, c’est uniquement pour les adultes malades, mais il serait certainement plus simple et plus efficace d’isoler 2 semaines ces adultes malades. En effet de nombreux professeurs expliquent à quel point le port du masque perturbe la qualité relationnelle avec l’enseigné.
Oserons-nous emprunter ce cri sorti du cœur d’une enseignante de mathématiques de terminale, qui fait écho au désespoir du professeur de philosophie René Chiche qui explique sur tweeter son refus et surtout son impossibilité d’enseigner la philosophie avec un masque ?
« Je suis révoltée par l'ingérence d'une majorité du corps médical qui résiste décidément mal à l'ivresse du pouvoir en proclamant : "Il est urgent de rendre obligatoire le port du masque dans tous les espaces clos, dans tous les bu-reaux, dans toutes les salles de classe et amphithéâtres et aussi d'encoura-ger sans ambiguïté le télétravail, les cours à distance etc...
Cette décision ne fait pas partie des compétences d'un médecin. Ce que l'on attendait de vous, c'est que vous respectiez votre cœur de métier : le soin qui passe par l'écoute, étape fondamentale d'une prise en charge indivi-dualisée, et par un traitement dès l'apparition des symptômes, fût-il perfec-tible. Face aux propositions thérapeutiques de vos confrères, vous n'avez eu qu'un regard de mépris, trop souvent condescendant, manifestant un agace-ment que vous n'avez même pas eu la pudeur de dissimuler ... sous un masque par exemple car on vous rappelle qu'un plateau de télévision est un espace clos. » et encore :
« Il ne faut pas se tromper : l'enseignement à distance, l'école numé-rique n'est pas et ne sera jamais la solution. C'est une régression, pas un progrès. Il ne faudrait pas que cette crise d'une covid soit le prétexte d'une expérience grandeur nature pour modifier de manière définitive les conditions de l'enseignement en France. Un apprentissage digne de ce nom, c'est un échange, ce sont des questions, des confrontations, des doutes qui s'expriment sur des visages, dans des regards. Enseigner, c'est tenter de rendre libres en développant l'esprit critique, ce dont on a grand besoin en ce moment. Bien sûr qu'il est temps que les lycées notamment, grands sacri-fiés de la crise, rouvrent leurs portes comme il est urgent que la vie reprenne ses droits »
Les mesures de distanciation sociale et les masques sont totalement inutiles pour les enfants de zéro à 19 ans
et nuisent au bon fonctionnement de l’école tellement indispensable au bien-être des petits et à l’avenir de la société. Ne cédons pas à l’hystérie-panique. Laissons-les profiter pleinement de la rentrée scolaire.
Ne sous-estimons pas les graves troubles psychologiques liés au port du masque, à l’impossibilité d’échanges non verbaux avec l’interlocuteur qui porte lui aussi un masque. Cette position de médecins est complètement à l’opposé de celle des pédiatres qui s’étaient exprimés rapidement pour rassurer les familles en mai, afin que l’ouverture des classes se fasse sans distanciation sociale entre les enfants et évidemment sans masques.
Pourquoi ce discours qui verse dans la dépression collective et menace fortement les enfants et adolescents engagés par cette psychose collective instrumentalisée par les politiques ?
Chacun sait aujourd’hui que l’épidémie est terminée, que le virus, s’il circule a muté et ne menace guère que de gros rhumes, que si cette fameuse vague revenait contre toute attente, un traitement efficace existe peu coûteux même si son existence contrarie les multinationales.
Ne sacrifions pas nos enfants à cette pandémie terminée et aux appétits financiers qui manipulent nos médias.
Le port du masque chez un enfant peut être assimilé à une maltraitance et nous supplions nos collègues sincères d’ouvrir les yeux et de lire dans leur totalité les articles cités, et de retirer cette fake news d’autant plus nuisible qu’elle est publié dans un journal qui influence encore trop de gens honnêtes, via son passé et son magnifique nom de « libération ».
Mais libérons-nous à nouveau. Retrouvons notre indépendance.
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