Bruno Le Maire : "les petits compromis ne résoudront rien" sur le chômage
Les tweets de Marine Le Pen
"Cette diffusion est abjecte".
"Elle est indigne de la mémoire des victimes, et fait de la publicité à Daech".
Le "plan républicain" contre le chômage proposé par Raffarin et accepté par Valls pour contrer la montée du FN
"On peut toujours discuter entre la droite et la gauche, entre la majorité et l'opposition".
"La seule chose qui compte c'est qu'on trouve un emploi à tous les Français".
"Si c'est le moyen de donner un sursis à cette vielle politique incapable depuis 40 ans de répondre aux problèmes des Français, c'est +non+".
"A quoi sert de discuter pour trouver des petits compromis s'ils ne résoudront rien".
"Au contraire nous devons déposer des propositions fortes (...) un chômage raccourci, un code du travail de 150 pages, des contrats d'apprentissage... Il n'y aura dans ce pacte aucune des mesures que je propose qui incitent ceux qui ne travaillent pas à reprendre le chemin du travail".
"La solution aux difficultés des Français (...) l'appauvrissement des Français, le chômage, c'est de faire ami-ami avec l'opposition?".
"La bonne réponse c'est de proposer ce que nous n'avons jamais eu le courage de proposer depuis 40 ans: un autre modèle qui valorise le travail, à l'école le mérite, l'esprit d'entreprise, l'individu, le citoyen. C'est ça qui permettra de s'en sortir".
"Je vois des femmes seules qui ont des enfants (...) et qui touchent à la fin du mois 1.150 euros (en travaillant) et à qui il ne reste rien pour vivre. (...) Le voisin qui est resté chez lui, avec les aides sociales, peut parfois vivre mieux".
Le message du premier tour (des régionales) c'est qu'il faut qu'on se secoue les puces (...) et qu'on refonde notre pays".
Des alliances entre la droite et l'extrême-droite?
"Il est urgent, plutôt que de parler de ligne, savoir si l'on va se droitiser, se gauchiser, se centriser, d'avoir des solutions nouvelles à proposer aux Français".
"J'essaye de porter ce renouveau".
"On ne cumule pas les mandats car cela permet de renouveler la classe politique. On limite dans le temps le nombre de mandats politiques".
Nicolas Sarkozy est très contesté en interne, lui même Bruno Le Maire a dit "on ne revient pas après une défaite" en visant l'ancien président
"C'est une évidence. Que veut-on pour la démocratie? Qu'elle continue à être une monarchie technocratique tenue toujours par les mêmes? Qui ne rendent pas de comptes, ne savent pas dire ce qu'ils ont fait de bien ou pas réussi à faire? Quand on a gouverné son pays et qu'on a été battu, je constate que dans toutes les autres démocraties occidentales on ne revient pas".
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.