Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion

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Nicole Delépine pour FranceSoir
Publié le 29 juin 2020 - 13:19
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Les mystères du masque
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TRIBUNE : Le sourire est une énergie très puissante, issu de notre cerveau reptilien pour les uns, de notre Cœur pour les autres. Ce sourire nous permet dans l’instantanéité d’établir un contact et de faire tomber les barrières. Les masques annihilent le sourire.[1]

 Le Rêve et Venise.  Rêve d’enfant ou de manifestants ?

Le Carnaval de Venise, un des plus grands carnavals au monde, un des plus prestigieux avec celui de Rio de Janeiro nous a tous fait  rêver à un moment ou un autre de notre vie. Pour vivre heureux, vivons cachés. Et métamorphosés.

Et si au temps des caméras disséminées à tous les coins de rue, dans les magasins et parfois à notre domicile, nous rêvions de nous retrancher dans notre cabane imaginaire en nous cachant à nouveau. Rappelez-vous votre enfance et le jeu de cache-cache si important pour la maturation des tous petits. Besoin vital ?  Certains auraient saisi la balle au bond, le Covid19 maintenant parti de l’Europe en étant l’occasion, l’excuse ? On parle de 22 cas en Chine sur plus d’un milliard et demi d’individus, et encore pas de malades, mais probablement de tests positifs, la confusion étant actuellement habituelle, pour raviver la peur, si ce n’est le virus évaporé.

Toute la cité lacustre se transforme pendant 10 jours, au cours desquels la population, touristes et commerçants confondus se déguisent. La  sophistication progressive des masques soi-disant anti- virus, étalée dans les manifestations parisiennes et autres -masques de marque Lacoste ou autre, masque en tissu accordé à la robe ou au teeshirt- ne commence-t-elle pas à ressembler à un grand carnaval où se mêlent clandestins, politiques, militants associatifs, jeunes et plus âgés, avides de prendre l’air, de chanter, de crier après trois mois d’enfermement policier incompréhensible et donc incompris, loin d’un port justifié par la peur effacée par la grande promiscuité de ces explosions de rassemblements  ?

 

Prolonger le port du masque alors que l’épidémie est finie sous nos contrées. Des motivations diverses et additionnées ?

Le comportement sectaire

Pour certains, le port du masque relèverait d’un comportement de type sectaire induit par la peur panique. « Le psychothérapeute Docteur Hugh Willbourn explique que les amateurs de confinement présentent les mêmes symptômes que les membres de sectes, qui persistent dans leurs certitudes même lorsque celles-ci ont été discréditées ».  [2][3]

« Festinger identifia cinq conditions nécessaires à rassembler pour que les membres d’une secte se confortent dans leurs croyances tout en évitant toute dissonance cognitive.

1. L’existence d’une certitude.

2. Un engagement personnel dans cette certitude.

3. Cette certitude doit être suffisamment malléable pour résister à tout discrédit définitif.

4. Ce discrédit sans équivoque doit avoir lieu.

5. Un soutien des croyants doit être disponible à la suite de ce discrédit incontestable.

 

 « Les cinq conditions de Festinger, et le comportement des membres de la secte correspondent aux scénarios du Brexit, du réchauffement climatique et du Covid-19 : une prophétie catastrophe est annoncée, les croyants s’y investissent personnellement en temps, en argent et en réputation, puis la prophétie ne se réalise pas et les croyants n’en deviennent que plus fervents ».

 

Analyse qui nous explique certains comportements qui nous paraissaient incroyables, invraisemblables. Que de drames prévisibles aussi quand on connait les énormes difficultés des personnes enfermées dans une secte pour en sortir même avec l’aide de leur famille.

« Les terrifiantes prédictions sur le nombre de victimes potentielles du Covid-19 ont été déconnectées de toute réalité, les modèles utilisés pour produire ces prédictions ont été totalement décrédibilisés. Par exemple, malgré les prédictions que le coronavirus pourrait tuer 2200000 américains et 500 000 britanniques, le nombre de victimes dans le monde entier au 26 06 2020 est de 487 000 ».

Il remet ses chiffres dans leur contexte par un exemple, « le nombre de personnes mortes de, ou mortes « tout en ayant attrapé » le Covid-19 en quatre mois et demi est identique au nombre de gens qui meurent de maladie cardio-vasculaire en cinq jours ».  Nous pouvons dire aussi que chaque jour en France meurent 500 personnes atteintes de cancer et probablement plus dans les mois à venir en raison de l’absence de soins et de retard au traitement imposés par le confinement et le Plan Blanc décidé par le premier ministre, réservant toutes les ressources hospitalières et de ville au covid19 (sauf les urgences dont l’opportunité est avalisée ou non par l’agence régionale de santé !)[4] [5].

« L’effet Festinger est beaucoup plus prégnant qu’un point de vue dépassionné, et cela ne fait qu’ajouter à la tragédie ».

Ce modèle est effroyable, car apparemment les membres de la secte n’en sortent jamais et plus le temps passe, plus la réalité s’oppose à leurs croyances, plus leurs convictions se renforcent. Les psychiatres auront du travail en plus des crises de panique, des dépressions, des tentatives de suicide, de délire paranoïaque et autres. Et comble de tragédie, les membres de la secte décrite par Festinger à propos des extraterrestres n’étaient que quelques dizaines, la secte covid19 a touché la moitié de l’humanité. Combien n’en sortiront jamais ? Les responsables de cette mascarade avaient sûrement conscience de tenter nous imposer 7 milliards de vaccins, au moins à deux reprises. Avaient-ils conscience de détraquer psychologiquement plusieurs milliards d’individus et des conséquences complètement imprévisibles d’un pareil tsunami ?

 

Le comportement lié à la panique et le masque de la déraison, sous influence par harcèlement moral institutionnel et médiatique

Nous subissons depuis plus de trois mois un harcèlement moral des autorités par le monde et en particulier en France. Harcèlement permanent sur toutes les radios et télévisions multipliant les messages personnels sur notre risque, celui de nos ainés. Mensonges répétés sur l’absence de traitement, ce qui est faux (voir les nombreux articles de France soir sur les manipulations de l’industrie pharmaceutique.

Un praticien de médecine chinoise raconte son expérience qui pourrait être la nôtre. Une course banale il y a encore quelques semaines, comme aller chercher un colis à la poste ou un livre à la Fnac, un achat chez Decathlon, etc… devient un parcours du combattant. Cet excès de zèle des institutions publiques et des multinationales à imposer le port obligatoire du masque, qui n’est que recommandé par le gouvernement, mériterait aussi analyse. Participation à la décérébration généralisée, mieux et plus que la télévision, concept rendu célèbre dès les années 2000 par Patrick Lelay, pour permettre l’application de la loi sur l’assurance chômage et celle des retraites ? 

Lors d’une rencontre, dans un petit magasin où le choix personnel est respecté, une personne âgée m’interpelle sur mon absence de masque, je lui demande si elle a mal à la tête …. « Oui je pensais que c’était mon serre-tête … Je ne serai pas venue pour rien » conclue -t-elle. Facile cette fois- ci, le doute existait déjà. Notre praticien raconte comment il tente de faire prendre conscience à ceux qu’il croise – à distance évidemment : « En deux mois et demi, tout a basculé.

Les gens n’ont plus peur, ils incarnent la PEUR, ils sont devenus la Peur !

Je suis un soignant. Quand je vois quelqu’un qui va se faire du mal « à l’insu de son plein gré », je ne peux rester sans rien faire. Question d’éthique. L’art de soigner ne s’arrête pas dans un cabinet. » (…)

Position que je partage, mais difficile à admettre par un certain nombre de personnes qui pensent qu’on devrait s’occuper de « ce qui nous regarde », particulièrement certains formatés à l’obéissance et à la pensée unique.

Mais devant la désinformation généralisée, l’inefficacité et les dangers réels du port du masque[6], pouvons-nous en tant que médecins rester silencieux ?

« Je suis praticien en médecine chinoise et je voudrais juste vous poser une question : est-ce que depuis quelque temps vous souffrez de maux de tête ? » Trois répondent par l’affirmative, dont une qui n’en avait jamais souffert auparavant. (…).

 « Faites l’expérience ce soir. Mettez votre main devant la bouche. L’air qui sort est chaud et humide, même en plein été. Cet air est chargé de toutes les toxines que l’organisme veut évacuer. Et en dehors du gaz carbonique qui doit retourner dans la nature pour aider au grand cycle de la vie, à la photosynthèse des plantes, chaque expiration est chargée de millions de microbes et autres déchets ». : « Oui, mais voilà : avec votre masque plaqué contre votre nez et votre bouche, celui-ci s’humidifie très rapidement et si on faisait une analyse fine de son contenu, vous seriez horrifié ! A chaque inspiration, vous reprenez une partie de votre CO². Petit à petit, vous vous mettez en hypercapnie. Quand cela devient chronique, le corps se met à détester cela.

En médecine chinoise, c’est une grande cause de blocage, de stagnation, générateur de maux de tête et de bien d’autres pathologies ».[7]

 

 « Savez-vous quelle est la première source de notre vitalité qui nous relie à cette Terre, bien avant l’alimentation ? C’est la respiration. C’est l’oxygène de l’air, l’énergie de l’air. Or, déjà qu’en temps normal on ne respire pas assez, avec votre masque votre respiration est amputée de moitié (..) Avez-vous remarqué que vous êtes de plus en plus fatigué le soir. Regardez autour de vous. De nombreuses personnes tombent malades, décompensent de leurs pathologies latentes et pas du corona…machin ».

Cette peur du coronavirus n’est pas justifiée, l’épidémie européenne est terminée, le traitement Raoult marche et on doit l’exiger pour les rares cas qui pourraient encore apparaitre.

En revanche, le port du masque n’est pas sans risque. La peur doit s’inverser : les angoissés devraient, si la raison l’emportait, avoir plus peur du masque que du virus.   Quant à ceux qui se laissent envahir par la peur bien orchestrée d’une deuxième, voir x ième vague (pour tenter de vendre le vaccin nouveau OGM), qu’ils gardent leurs masques en cas de besoin !

 

Le masque de la soumission à l’autorité

La célèbre expérience publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram évalue le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et permet d'analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.[8]  «  65% des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne ! Et si l’autorité inverse l’ordre, les soumis suivent aussi aberrant que cela puisse paraitre. Repensons aux manifestations récentes contre la police qui ont enflammé le monde qui sortait à peine du confinement[9]. Précisons que les ordres donnés peuvent engendrer la mort et que les personnes « soumises » acceptent. Il faut relire Stanley Milgram et aussi Hannah Arendt[10] pour comprendre à quel point, nous sommes tous des humains fragiles capables des pires horreurs si nous sommes bien conditionnés, suffisamment fort et longtemps. Notre société actuelle et la « désinstruction nationale, dont parle si bien le professeur de philosophie René Chiche, qui s’aggrave depuis 40 ans rend particulièrement exposé les nouvelles générations.[11] Prenez le temps de lire cet ouvrage et de mesurer avec le philosophe la gravité de cette liquidation de l’école qui « instruit » pour l’école de la réussite (sur pétition demande l’auteur).

« Quand penser devient de plus en plus difficile pour les élèves (par manque de mots, de concepts), quelles sont les conséquences à venir pour ces futurs citoyens ?

Penser n’est pas difficile pour les élèves, penser est interdit.

Vous savez, penser est difficile et le demeure, même pour des penseurs professionnels ! Car « penser, c’est dire non !» : non à la première idée qui se présente, non à la facilité, non à l’habitude et ainsi de suite. Il ne s’agit donc pas que penser devienne facile. Il est si facile de se contenter d’à-peu-près. Or savoir à peu près lire, c’est en réalité ne pas savoir lire. Et ainsi du reste : penser approximativement, c’est adhérer à un discours et réagir à des mots comme un taureau devant le chiffon rouge ».

 

Il faut « penser » ce bout de chiffon pour le refuser

Eh bien oui, penser à la justification de ce port du masque qui nous coupe des autres serait indispensable et non réagir de façon purement émotionnelle au chiffon rouge de cette pseudo épidémie.

 

Le masque, l’insigne de la révolution : vive la révolution du masque ![12]

Autre approche de la soumission au port du masque, une inversion des motivations.

“On a rarement vu un tel retournement de veste. Hier c’était le confinement, aujourd’hui mettons le feu. Les masques qu’ils voulaient nous faire arborer ont également changé de signification. Ce n’est plus l’amulette contre le fléau, un morceau de tissu qui ferait reculer le virus terrifié, comme par magie ; maintenant, c’est l’insigne de la révolution. Après les révolutions colorées, orange, pourpre, verte, après les révolutions fleuries, de la rose et de la tulipe, vive la révolution du masque ! »

« Le masque, c’est un signe que vous prenez au sérieux l’histoire officielle du Covid, comme le fait de porter une gousse d’ail en sautoir implique que vous croyez à l’imminence d’un assaut de vampires ». [13]

Quel beau résumé de la situation. Le masque est devenu insigne de bonne conduite, d’obéissance à l’autorité dont le harcèlement moral sur toute la société depuis trois mois est manifestement efficace. Vous êtes un bon sujet, et si on poursuit la mode chinoise de bons points pour avoir le droit de sortir, vous aurez quelques chances d’être bien considérés. Et plus d’un milliard et demi de chinois supportent-ils vraiment cela ? Ils sont manifestement aussi, voire plus cortiqués, que beaucoup d’européens et pourtant…. Cela augure mal de notre résistance à cette mise en condition.

« Les masques, ça sert à cacher la défaite. » Le coronavirus, un truc qui n’a pas marché.

“ Le virus a déçu ses admirateurs. Notre collègue Anatoly avait promis que la corona tuerait des millions de gens et coulerait l’économie mondiale. Oups ! Non seulement le petit Corona-chan n’a pas tué des millions de gens, il n’est même pas arrivé, en bien des lieux, à ajouter une juste pelletée pour améliorer les chiffres des défunts »

C’est vrai qu’au total, il n’aura pas tué plus que les grippes habituelles. Mais les décisions politiques, elles, ont bien coulé l’économie mondiale et vont faire beaucoup plus de morts que le virus directement.  Comme quoi il suffisait de désigner un ennemi, de faire de jolies campagnes de presse, effaçant le reste du monde, la famine, la guerre au Yémen et bien d’autres drames sur la planète.

Et brutalement on aura cassé l’économie mondiale. Était-ce le but ou bien l’effet d’une volonté perverse de vendre des médicaments hors de prix et plus encore des milliards de vaccins pucés pour nous contrôler encore plus ? Comme si le suivi de nos téléphones ne suffisait pas ?

 

Comme on l’a déjà démontré [14], le confinement aveugle (ne séparant pas les porteurs de virus des autres) a augmenté la mortalité directe par covid19[15] et surtout les morts « collatérales » par l’arrêt des soins des autres pathologies. Covid, rien que Covid. Les services hors Covid sont restés vides depuis plusieurs mois, surveillés de près par les agences régionales de santé dans leur rôle habituel des gardiens inquisitoriaux du dogme officiel. L’arrêt des traitements médicaux et les retards imposés aux multiples interventions chirurgicales (toujours en attente, malgré le pseudo déconfinement) seront également responsables de décès évitables. Pourquoi ces décisions irresponsables et illogiques. ?

Selon Israël Adam Shamir « partout dans le monde, le « on s’est fait avoir » est un sentiment qui gagne, dans les populations.

En Allemagne, le Comité spécial des experts a établi que “des millions de gens ont été livrés à leur triste sort, comme résultat des mesures gouvernementales. 125 000 patients sont déjà morts ou vont mourir, parce qu’on a remis à plus tard l’opération chirurgicale dont ils avaient besoin. Des milliers de gens se sont suicidés ; des millions de gens ont des problèmes psychiatriques sérieux liés au confinement. Le gouvernement allemand a tenté de cacher le rapport, et les médias germaniques n’en ont pipé mot ». 

Selon un chercheur d’Oxford, le virus disparait si vite de Grande Bretagne qu’ « il n’y a même pas assez de gens malades pour tester leurs produits… » « certains scientifiques envisagent d’infecter à dessein des volontaires avec le virus, très loin des rêves de Bill Gates et de l’OMS, du film Contagion qu’on nous avait annoncé, des milliards d’humains en attente du vaccin salvifique. « Le fantasme des millions de morts s’est effondré, mais la stratégie du confinement a creusé des cratères dans l’économie familiale, et a arrosé d’une manne exceptionnelle les spéculateurs. Au Royaume Uni, ce sont des milliers de locataires qui vont bientôt se retrouver à la rue. Aux US, il y a 40 millions de chômeurs, mais les plus riches spéculateurs ont ajouté une couche d’un demi-milliard de dollars à leur magot. » Pas perdu pour tout le monde, ce confinement et cette pseudo-économie. Les super milliardaires se sont enrichis, les chômeurs vont se multiplier comme des petits pains, les sdf aussi puisque les assurances chômage vont être coupées à la serpe. Et pendant ce temps-là, malgré tous les mensonges accumulés sur les masques, les tests etc. les Français vont voter et obéissent sans faille à la consigne du masque, les manifestants anti-gouvernementaux vont hurler dans les rues, mais avec leurs masques !  Commedia Del Arte.

 

Le masque des asiatiques

Une question lancinante, celle des asiatiques qui portent des masques quasiment toute l’année. Regardez la pollution de certaines villes chinoises. Ils les portent pour se protéger des poussières et de grosses particules de la pollution et non des vilains coronavirus. Comparaison n’est pas toujours raison. Et la contagion de groupe, la contagion psychique y est probablement pour beaucoup dans le port du masque en Asie.

 

Le masque de la contagion psychique[16]

Être comme les autres, faire comme tout le monde, ne pas sortir du groupe. Le port du masque est contagieux et dangereux. Il entretient la peur et la division. Une fois la mécanique mise en marche, par mimétisme, les gens finissent tous par en porter. L’épidémie de la peur génère l’épidémie du port du masque.

 

Le masque de la désinformation[nd1]  et de l’intoxication médiatique obéissante aux puissants

Maintenant qu’on a fabriqué des masques, il faut bien les amortir et quelle meilleure solution que de faire croire qu’ils sont utiles, voire indispensables, même si l’épidémie est terminée ! La crédulité de nos concitoyens est incroyable.

Les informations sur les inconvénients du masque ne datent pas d’aujourd’hui puisque les professionnels de santé sont bien obligés d’en porter parfois pendant de longues heures et connaissent tous les maux de tête dus au port prolongé pour le plus fréquent des symptômes, et le racontent depuis de longues années. Mais que vaut l’expérience dans notre société du tout émotionnel et médiatique ? RIEN !

Déjà début mai, nous attirions l’attention sur le port inutile du masque dans de nombreuses configurations, dans un article recensant les avantages et inconvénients de ce nouveau joujou fétiche.[17] [18] En voici une courte synthèse. Les références sont dans les articles cités.

 

Les principaux effets du masque selon les études scientifiques. Résumé.

Qu’en est-il de leur sécurité et de leurs effets secondaires ?  Loin de vouloir ajouter de la peur à la panique, mais simplement attirer l’attention des utilisateurs sur quelques inconvénients peu soulignés sur les médias où le masque est devenu Dieu-Masque, et inciter à quelques précautions minimales.

Depuis quelques semaines, on voit beaucoup de personnes portant des masques de toutes sortes dans l’espace public, même quand ils se promènent seuls, loin de tous ou pire, seuls en voiture ou à vélo ! Pourquoi se laisser diriger par la bien-pensance et ne pas peser et penser par soi-même la meilleure conduite à tenir en fonction des circonstances.

Sont-ils utiles ? Quels en sont les inconvénients ?

De nombreuses publications montrent que l’utilité des masques chirurgicaux (en papier et non étanches) est discutée, si ce n’est discutable. Ils n’empêcheraient pas la diffusion des aérosols porteurs de virus chez les patients infectés et ne protègeraient pas le personnel soignant. Aucune étude n’a évidemment été faite sur les masques maisons ! Les polémiques sont vives aux USA où peut-être, reste—t- il en dehors des cités bobos comme New York ou l’état de Californie, des esprits libres en plus grand nombre qu’en notre vieille Europe formatée par l’UE ?

Principe de précaution

Vaut-il mieux porter un masque que rien ? La réponse n’est probablement pas binaire et dépend grandement de l’environnement. Peut-on nier qu’en cas de foule se pressant pour entrer dans un métro bondé, il aura pour le moins l’avantage de vous rassurer. L’état psychologique en période de pandémie vraie ou fausse, mais martelée toutes les heures sur toutes les télés du monde est un paramètre important du risque de tomber malade du Covid 10 ou surtout de bien d’autres choses. Dans ces conditions, la balance plaide donc en faveur du masque, le temps du trajet difficile. Idem partout où vous rencontrerez des foules compactes.

Le masque antipanique 

Il est clair qu’après une panique d’une telle intensité induite par les médias ne parlant que du Covid-19 24/24 h et les messages gouvernementaux volontairement morbides et angoissants, sortir de sa tanière où le gouvernement nous a enfermé est très anxiogène. Ce masque même inefficace sur le plan viral, peut avoir un grand intérêt de prévention des décompensations psychiques qui sont extrêmement nombreuses et de plus en plus depuis la sortie du confinement. La cabane protectrice, au moins le croyez -vous, vous manque. Il faut donc se la reconstituer en se cachant des autres. Ce masque jouera ce rôle et explique aussi probablement la grande acceptation, voire la revendication de beaucoup de personnes.

Celles-ci vont jusqu’à revendiquer l’obligation ! La limite à ne pas franchir : on peut les comprendre, mais ne pas accepter qu’elles nous bloquent notre liberté déjà bien écornée ! Qu’elles restent dans leur niche si elles s’y sentent mieux et fassent leur psychothérapie avec leur psychiatre par télémédecine…

Sur le plan viral, n’ayons pas d’illusion. Il s’agit d’une fausse sécurité. Le port d’un masque peut donner un sentiment de sécurité et faire oublier d’autres conseils importants tels que le lavage des mains.

Le plus ennuyeux est la baisse du taux d’oxygène dans le sang après port prolongé. L’effet sur la respiration du port du masque doit être connu et pesé dans la décision de port prolongé d’un masque. Une hypoxie chez les personnels soignants à la suite au port du masque prolongé est associée à des maux de tête, ainsi que l’augmentation de la résistance nasale.
Si vous constatez quelques troubles inhabituels après le portage prolongé d’un masque, pensez qu’il est peut-être responsable. Diminuer le temps de portage si obligatoire. Évitez-le partout où il n’est pas indispensable. Un vigile de magasin d’un centre commercial explique qu’il a souffert pendant un mois et demi de céphalées et de gêne nasale. Depuis qu’Il fait le maximum pour éviter le port prolongé il va beaucoup mieux.

Dans la vie courante

Il vaudrait mieux limiter le port du masque aux endroits et aux moments où il sera obligatoire. Ne devenez pas fétiche du masque. Aucun danger, si vous vous promenez en campagne, seul ou avec votre chien sans votre masque et saluer de loin votre voisin. Seuls les transports très encombrés, type RER ou les supermarchés très fréquentés méritent cette précaution, dont on a tout de même le droit de remarquer qu’elle arrive en fin d’épidémie et de façon insistante plus les semaines passent et les cas cliniques inexistants. A ne pas confondre avec les soi-disant foyers qui reposent sur des tests eux aussi bien tardifs et complètement non fiables.[19] Antistress maintenant, plus qu’antiviral.

Il est important de conseiller aux personnes âgées ou affaiblies d’éviter de marcher dans la rue en permanence avec un masque. Or, à force d’avoir répété qu’elles étaient en grand danger du Covid, ce sont ces personnes qu’on rencontre en ce moment se promener avec un masque, alors que l’accompagnant n’en porte pas et que peu de promeneurs en portent. Il y a bien un effet âge, qui risque d’aggraver leurs risques.

Effet indésirable : la baisse du taux d’oxygène dans le sang après port prolongé est régulière chez tous et d’autant plus à redouter que votre fonction respiratoire est plus faible

L’effet sur la respiration du port du masque doit être connu de tous. Une hypoxie chez les personnels soignants à la suite au port du masque prolongé, associé à des maux de tête, ainsi que l’augmentation de la résistance nasale.
Si vous constatez quelques troubles inhabituels après le portage prolongé d’un masque, pensez qu’il est peut-être responsable. Diminuez le temps de portage, si obligatoire. Évitez-le partout où cela est possible.

Quant aux joggeurs, aux athlètes, aux cyclistes, il ne paraît pas raisonnable de limiter leur apport en air de qualité, en ajoutant une bonne dose de poussières. Les dangers de telles pratiques restent à évaluer dans notre pays. Risque-t-on d’augmenter les risques d’AVC ou d’infarctus chez les personnes prédisposées, de malaises, de convulsions, de crise de panique ?

Hypoxie entraînée par port prolongé des masques. Étude sur des groupes de chirurgiens
Une étude a révélé une diminution de la saturation en oxygène des pulsations artérielles et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires dans tous les groupes de chirurgiens, diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Attention aux femmes enceintes

Le fait de respirer à travers les matériaux des masques entrave les échanges gazeux et impose une charge de travail supplémentaire au système métabolique des soignantes enceintes.
La balance bénéfices/risques de l’utilisation du masque de haute qualité doit être pesée en fonction des conséquences respiratoires potentielles associées à l’utilisation prolongée du masque.

Maux de tête et masque de qualité chez les soignants

Une autre étude attire l’attention sur le risque d’aggravation des maux de tête antérieurs et l’utilisation continue du masque N95 pendant plus de 4 heures. Les soignants peuvent développer des maux de tête à la suite de l’utilisation du masque N95. Une durée plus courte du port du masque facial peut réduire la fréquence et la gravité de ces maux de tête.

Passage de l’air au travers du nez

Les effets du port prolongé d’un masque respiratoire et chirurgical ont été étudiés et conclus à une augmentation de la résistance nasale lors du retrait du masque après 3 heures de port. Ceci est potentiellement dû à des changements physiologiques du nez. Les résistances nasales n’ont pas été récupérées même après 1,5 heure de retrait du respirateur/masque facial.

Les masques chirurgicaux (simples masques en papier non étanches) ne sont pas suffisants pour les professionnels de santé.

Les masques chirurgicaux largement utilisés par les soignants leur feraient courir de nombreux risques.
L’autorisation de porter un masque chirurgical était plus logique lorsque les scientifiques pensaient au départ que le virus se propageait par de grosses gouttelettes. Mais de plus en plus de recherches suggèrent que le virus se propage par de minuscules particules virales
Des recherches menées début avril, dans deux hôpitaux de Corée du Sud, ont révélé que les masques chirurgicaux « semblent inefficaces pour prévenir la dissémination des particules de Coronavirus.

 

Masques pour le public pendant la crise du Covid-19

Le port du masque est-il utile ?
Certains auteurs ont justifié le non-port de masque par quatre raisons principales :

1° ils affirment qu’il existe peu de preuves de leur efficacité ;

2° affirment que des essais ont montré que les gens ne les porteront probablement pas correctement ou systématiquement. Important car la prévention dépend du fait que les gens ne touchent pas leur masque de manière répétée et que tous ou la plupart des gens le portent la plupart du temps ;

3° ils soulignent que les essais ont montré que le port d’un masque pouvait donner un sentiment de sécurité et faire oublier d’autres conseils importants tels que le lavage des mains et la distanciation sociale ;

La réponse n’est pas simple, et trop souvent idéologique.

Il est clair que le conseil à donner actuellement est de ne porter le masque que lorsqu’il est obligatoire et/ou que vous fréquentez un lieu très agité. Favorisez des masques faits main, lavables plutôt qu’un certain nombre de masques fort légers vendus un peu partout.

 

En conclusion

“La création de ce troupeau « éveillé » et obéissant est la plus grande réussite des Maîtres du discours. La coronapanique a amplifié le phénomène. Les gens sont devenus psychotiques, mentalement affaiblis, malléables. Les Maîtres ont fourni le discours sur la supériorité morale : ils prétendent que leurs adeptes ne s’enferment pas, eux, pour sauver leur peau, mais pour sauver les vieux et les êtres fragiles d’une mort certaine. Quiconque n’est pas d’accord veut donc que les êtres fragiles succombent « pour le PIB ». Tous ceux qui ne portent pas de masque sont des gens qui veulent la mort des vieux” [20] [21].

Revenons à notre praticien de médecine chinoise. Comment vivre sans voir les mimiques de l’autre, la communication non verbale dont nous ne pouvons nous passer pour comprendre l’Autre. « En médecine chinoise, nous disons que le mental et les émotions, quand ils sont perturbés sont la première cause d’apparition des maladies internes : le fait d’occulter ce facteur fondamental qu’est le sourire ne peut que vous rendre dépressif ». [22]

 

Annexes et sources : 
[1] http://boris-victor.blogspot.com/2020/05/sante-billet-dhumeur-le-masque-de-la.html  par Jean Pelissier

[2] Les amateurs de confinement présentent les symptômes de l’appartenance à une secte Par Paul Joseph Watson par the Wolf le 04/06/2020

[3] Dans un article publié sur son site, le Dr Willbourn relate les travaux du psychologue Leon Festinger, qui « analysa les croyances d’une secte vénérant les extraterrestres dans les années 50, dont les membres croyaient qu’une soucoupe volante viendrait les chercher pour les sauver de l’apocalypse.

Toutefois, après que les tremblements de terre et inondations catastrophiques qui devaient frapper les États-Unis ne se produisirent pas, et que leurs prédictions furent complètement discréditées, « les membres de la secte virent leur certitude se renforcer au sujet de ces prédictions apocalyptiques ».

[4] http://www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confinement-coronavirus-delepine

[5] https://www.medias-presse.info/covid19-et-confinement-aveugle-combien-de-morts-evitables-dr-nicole-delepine/120366/amp/

[6] https://fr.sott.net/article/35687-La-science-est-concluante-les-masques-n-empechent-PAS-la-transmission-des-virus

[7] http://boris-victor.blogspot.com/2020/05/sante-billet-dhumeur-le-masque-de-la.html  par Jean Pelissier Ibid1

[8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Expérience_de_Milgram

[9] La Révolution du masque – Oui, le confinement est meurtrier !

[10] La « banalité du mal » est un concept philosophique d’une importance sans précédent, car il pose donc la possibilité de l’inhumain en chacun d’entre nous. En cela, il est certes, novateur. Novateur et précisément attaché au 20ème siècle, parce que cette possibilité de l’inhumain émerge nécessairement de la nocivité d’un système totalitaire, et suppose que le crime soit commis dans des circonstances telles, que les « criminels » ne puissent sentir ou savoir qu’ils font le mal. Elle suppose que le système totalitaire en place ait veillé préalablement à tuer « l’animal politique » en l’homme, qu’il veut rayer de la surface de la terre, pour n’en conserver que l’aspect biologique. Pour les nazis spécifiquement, il s’agissait, à travers la Shoah, de créer « l’espèce animale humaine ». http://institut-ethique-contemporaine.org/article%2520ethique_arendt.html

 

[11] René Chiche la désinstruction nationale Editions Ovadia 2019

« Lorsque l’institution censée prendre soin de l’esprit des jeunes gens les laisse dans un tel état de quasi-illettrisme tout en leur promettant «la réussite » matin, midi et soir, je crois que ce néologisme n’est même pas assez fort pour décrire ce qui est de la non-assistance à jeunesse en danger, affamée de lettres et de culture que l’école renonce à transmettre parce qu’un grand nombre des acteurs considère que ce sont des vieilleries inutiles. L’école n’instruit plus et laisse l’esprit en jachère.

[12] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/06/10/la-revolution-du-masque-i-a-shamir/

[13] https://www.unz.com/ishamir/the-mask-revolution/

[14] France soir confinement Gerard Delépine et France soir juin 2020

[15] Si nous avions suivi l’exemple des néerlandais qui ont surtout prodigué des conseils, nous aurions évité des milliers de port sans ce confinement policier et aveugle

[16] https://ripostelaique.com/lepidemie-se-termine-et-il-y-a-de-plus-en-plus-de-francais-masques.html

[17] https://ripostelaique.com/alerte-ne-portez-vos-masques-que-lor

[18] https://ripostelaique.com/masques-et-mesures-barriere-sont-inutiles-sauf-pour-tester-notre-soumission.html

[19] https://www.mondialisation.ca/le-jeu-des-tests-une-brique-de-plus-dans-la-desinformation-covid-19/5646879

[20] Paul Williams, @thepaulwilliams

[21] https://www.unz.com/ishamir/the-mask-revolution/

[22] Ibid. 3

 

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