Nabilla de retour sur Twitter : des messages secrets pour Thomas ?

Nabilla Benattia a publié le 25 décembre son premier tweet depuis sa libération, le 18 décembre. Une partie du message serait adressée à son compagnon Thomas Vergara, avec qui la justice lui interdit de communiquer.

Nabilla Benattia, remise en liberté sous contrôle judiciaire a fait jeudi 25 son retour sur les réseaux sociaux. En guise de cadeaux de Noël à ses internautes, elle s'est autorisée un message sur Twitter. Elle y souhaite de bonnes fêtes à ses fans et les remercie pour leur soutien durant son séjour derrière les barreaux, notamment pour leurs lettres.

Joyeux Noël à tous vous êtes mon plus beau cadeau de Noël, j ai passer des jour à ouvrir votre courrier, je t'aime ma vie éperdument..

— Nabilla .B (@leonnaboo) 25 Décembre 2014

Un premier signe de vie depuis la libération de la starlette le 18 décembre dernier qui a forcément ravi les "followers" de Nabilla et la planète people. Mais c'est surtout la dernière partie du tweet qui prête au débat. Ce "Je t'aime ma vie éperdument..". Quelques mots qui pour beaucoup sont destinés à Thomas Vergara, son compagnon qu'elle est accusée d'avoir poignardé dans la nuit du 6 au 7 novembre, cause de sa mise en examen et de sa détention provisoire. Certes, malgré l'incident, des versions discordantes, et même des accusations mutuelles de violences conjugales, le couple semble encore tenir. Thomas Vergara a même refusé de porter plainte "par amour".

Mais un tel message peut en théorie avoir des conséquences judiciaires pour la star de la téléréalité. C'est en effet la crainte que Nabilla et Thomas ne s'accordent sur leur version des faits qui avait poussé les juges à la maintenir en détention provisoire. Lors de sa libération, ils avaient insistés sur le fait qu'il lui était interdit d'entrer en contact avec Thomas Vergara "même à travers les réseaux sociaux". Dans le cadre du contrôle judiciaire, la rupture d'une des conditions de libération peut renvoyer le suspect en prison. Il serait toutefois surprenant que le parquet voit dans un message aussi ambigu une raison suffisante.