Le mépris dans la peau
Celui de la réalité. Un mépris des valeurs humaines (solidarité, entraide, altruisme, droiture, etc.) qui font l'humanité. Ce mépris règne en maître sur la planète, chez ceux qui font les règles, « au profit » (c'est le cas de le dire) de ce qui est tristement le véritable pouvoir dans le monde actuel, du matérialiste pathologique et autodestructeur poussé à l'extrême : l'argent. Le virus de la consommation exacerbée y est associé.
L'opération « pognon » attachée à la variole du singe, ne fait pas exception à cette règle propre aux magouilles « crapuleuses » (« dont le motif est sordide, moralement injustifiable ») du genre. C'est-à-dire la gestion tant des prétendues épidémies et fausses pandémies (mystifications orchestrées par médias interposées), que les contaminations de masses criminelles, véritables, elles (avec des pathologies conçues en laboratoire et inoculées sans le consentement libre des populations) et l'empoisonnement de l'eau, des sols, de l'air et de la nourriture, des destructions méthodiques de la santé publique, opérées, elles aussi, à l'échelle planétaire par l'industrie chimique, au bénéfice de Big Pharma et des trusts de l'agroalimentaire.
Les décisions politiques, ainsi l’information, sont pareillement polluées de bien des virus. Des virus dérivés ou associés à l’argent. Cela va des décisions inverses aux données de la science, aux subventions des médias, afin de réécrire les récits avec des narratifs conformes aux décisions du pouvoir en place. Ces décisions trouvent grâce auprès des décideurs publics, après que ces derniers se sont exemptés d’obligations d’usage ou d'une exception de circonstance. Et, parmi ces virus dérivés ou associés à l'argent figure également le financement ou refinancement d’empires industriels aux frais des contribuables, et sans tenir compte des erreurs des commandités et des commanditaires. En témoignent, par exemple, les attentes de compensation des restaurateurs qui ont vu leur chiffre d’affaires diminuer lors des Jeux olympiques, alors que l’État et les médias décrivaient la joie d’une audience sans pareille. Une audience qui ne consommerait pas dans les restaurants !
De cette réalité diabolique bel et bien hélas 100 % patente, un humoriste en a donné une excellente illustration dans cette vidéo qu'il a postée la semaine dernière. Excellente car c'est un résumé parfaitement interprété (ton, mimiques, jeu) de la cabale, et un texte circonscrit à l'essentiel, servi par un enchaînement des séquences savamment orchestré.
« Encore un vac sein, un vaccin pour rien, et surtout pas pour notre bien ! », pourrait-on dire également à ce sujet. En chanson, en l'occurrence, puisqu'il s'agit ici de reprendre le refrain de « Encore un matin », un des grands succès d'un homme en or, lui aussi : Jean-Jacques Goldman. C'est ce qu'a fait cette chanteuse engagée et très talentueuse qui est très appréciée des complotistes dernier échelon qui sont aussi comme moi mélomanes. J'ai nommé madame Sarah-Jane Iffra :
Diable !
La campagne de vaccination de masse contre la variole du singe, bis repetita de l'escroquerie covid (« 232 centres de vaccination ont déjà été ouverts », a annoncé Gabriel Attal, alors qu'aucun cas déclaré n'a été répertorié en France), est quelque chose qui ne date pas d'hier. Pareillement au covid, premièrement, c'est une entreprise éminemment lucrative qui a été préparée de longue date, et, deuxièmement, c'est encore au frais du contribuable que les bénéficiaires de cette mystification étatique vont se goinfrer. En effet, c'est en novembre 2022, à savoir deux ans à l'avance, et inscrite dans la loi de finances, que leur rémunération a été décidée. Votée par nos parlementaires.
D'où la recrudescence des cas, elle, véritablement effective, de médecins, infirmiers et pharmaciens qui affirment avec virulence sur les plateaux de télévision et des radios, qu'il faut se faire vacciner contre la variole du singe, notamment les femmes enceintes, les nourrissons, les enfants en bas-âge, les personnes âgées, les personnes à risques, etc., sinon « On va tous mouriiiir !!! » (1)
Tout ça avec donc, comme d'habitude, pour dénominateur commun, l'argent. Un transfert de richesse plus ou moins forcé et opéré par le truchement tordu du fameux principe des vases communicants. Ce principe est, on ne peut mieux, explicité par Fernandel, alias « Topaze », dans le film éponyme : « Mais enfin ! Pour gagner de l'argent, il faut bien le prendre à quelqu'un. » (2)
Alors doit-on sacrifier le « vouloir » au « pouvoir » ? Par « vouloir » j'entends uniquement l'intention de faire quelque chose, alors que par « pouvoir », j'entends tout aussi bien la possibilité de faire cette chose, que le concept de pouvoir politique.
Diantre, non !
Cette réflexion m'a été inspirée par un commentaire livrant a posteriori, un constat complètement opposé à ce que la propagande étatique nous a présenté comme étant la vérité. Sa vérité et non pas la réalité :
Ce que l'on nous raconte est trop souvent différent du réel.
🔹️En Macronie, vrais mensonges côtoient les fausses vérités. Mais le réel vient un jour ou l'autre frapper à la porte.https://t.co/RjhZF4V5Kh
🔹️Cependant comme les gens ont la mémoire courte et qu'ils s'en… https://t.co/nZQUfGLE3h pic.twitter.com/yPnHDCpMNz— Xavier Azalbert ◻ (@xazalbert) August 21, 2024
« Pendant les JO, tous les jours, les médias ne cessaient de nous répéter que tous les établissements étaient bondés et que les retombées économiques étaient absolument énormes, du jamais vu. Nous avons aussi eu droit à des reportages dans lesquels on voyait des Parisiens désespérés d’avoir quitté la capitale. Quelques jours après les JO, les médias nous parlent a contrario du « désastre absolu » et « des commerces restés déserts. »
Eh oui ! Ce que l’on nous raconte est trop fréquemment différent du réel. En Macronie, les mensonges sont conjugués, d'une part avec la fabrique des tendances à base d’inversions accusatoires constantes, et d'autre part une capture du langage et de ses concepts dans une novlangue exclusive et non inclusive ! Mais n'en déplaise à ces bonimenteurs pathologiques professionnels ; accrochés qu'ils sont aux affirmations publiques qu'ils font qu'ils savent fausses, car cela leur permet de s'accrocher au pouvoir en consacrant le mensonge comme nouvelle forme de communication. N'en déplaise à ces messieurs et dames, le réel finit toujours par frapper, un jour, à la porte des consciences. J'en avais déjà fait part dans cet édito : vrais mensonges et fausses vérités, les nouveaux standards de la propagande que j’avais complété par celui sur le métaverse de la guerre en Ukraine, mythe ou réalité.
Cependant, la plupart des personnes ont la mémoire courte. Ils s’en remettent à l’État providence. Ils attendent que ce dernier les assiste, « quoiqu’il en coûte », pour résoudre le problème qui les affecte. Un problème que l’on ne saurait voir, et généré par ceux-là mêmes à qui on fait appel pour les résoudre. De fait, c'est un système qui est voué à l’échec. C'est faire confiance, pour éteindre un feu, au pompier pyromane qui l'a allumé exprès pour être sollicité en ce sens.
Cette dystopie sortie tout droit d’un opus de « Matrix », est aidée par « la réécriture de l’Histoire. » Cette réécriture intervient par médias interposés, subventionnés à cet effet. Les subventions rendent ainsi ceux qui les reçoivent, dépendants des ordres que leur donnent ceux qui les subventionnent. Dépendants et redevables dans une sorte de syndrome de Stockholm, où la manne céleste étatique vient sauver le subventionné, en échange de quoi le subventionné délivre au public, les fausses vérités et vrais mensonges qui permettent aux personnes qui sont au pouvoir de s'y maintenir artificiellement. Et tout ça, en prime, avec l'argent de ceux qui sont ainsi grugés, trompés, manipulés par les médias : les contribuables. À l'inverse, dans un système vertueux, la manne financière doit aider et encourager les médias qui en profitent à devenir indépendant. C'est tout le contraire, donc, du système « d'information » propagandiste actuel, où l’éthique et la déontologie de la Charte de Munich sont reléguées au dernier rang des préoccupations des éditorialistes, journalistes, et directeurs de la rédaction et de la publication. Ce n’est plus « dire la vérité quoiqu’il m’en coûte » (article 1), ni « ne pas confondre journalisme et propagandiste » (article 9), mais bel et bien, hélas, dire ce que l’on doit dire pour garder sa place, au risque de trahir les lecteurs.
De cette manne financière, ces gens-là en ont besoin, pour certains pour boucler leurs fins de mois, pour d'autres pour assurer leur train de vie très-très-très au-dessus du smic ! Alors, cela vaut bien quelques arrangements avec leur conscience. Comment ? En se conformant à une vérité de groupe, et en trahissant la confiance des lecteurs, en mettant sur les vrais sentiments. Pareil les « experts » en décision, ceux qui précisément vont aider à analyser les biais qui viennent affecter les décisions, et faire que l’on fasse « erreur » dans l’information : même eux sont victimes de leurs propres biais et croyances. Au risque de faire un usage constant du mensonge, qui permet « d’aménager » la réalité, et de la rendre plus conforme à ce qu’elle est souhaitée être.
À cet égard, rappelez-vous les propos de Delphine Ernotte, sur l’information, ou d’Adèle Van Reeth, sur les experts qui ont droit de cité dans les médias : « Ceux qui ne se conforment pas au narratif officiel ou pire, qui le remettent en cause n’y ont pas droit. »
En réalité, quand les médias subventionnés publient de telles informations, c’est pour eux une manière de demander à « Jupiter 1er » de leur venir en aide. La forme la plus pernicieuse de l’information, car on vous aura tronqué l’histoire pour la rendre acceptable. #Leurparolenevautvraimentrien
Pardi ! On ne va quand même pas fâcher les bienfaiteurs tels que la Fondation Bill et Melinda Gates ou l’État providence. Quand la galette est à ce point substantielle, la soupe servie par les médias, elle, est horriblement infâme. À force de cracher dedans (dans la soupe), c'était inéluctable.
C'est où nous en sommes arrivés aujourd'hui, au terme de sept années de macronie. Sept années (série en cours) durant lesquelles, à chaque problème généré par la macronie, cette dégénérescence de la vérité institutionnalisée au service de la propagande, est allée encore plus loin dans la négation du réel et dans la trahison avec une capture des libertés à commencer par celle d’expression. Ce weekend a été marqué par un exemple supplémentaire avec l’arrestation de Pavel Durov, le fondateur de Télégram, pour des raisons qui ne transparaissent pas réellement.
Avec l'arrestation de Pavel Durov, Jupiter pensait faire une bonne opération en essayant d'humilier la Russie en association avec le czar du DSA et adversaire de la liberté d'expression T Breton. Effet Streisand, il se retrouve avec les yeux rivés sur lui et l'attention du monde… https://t.co/LXGqswE4iQ
— Xavier Azalbert ◻ (@xazalbert) August 25, 2024
Certains décrivant comme sa non-volonté de se conformer à la modération sur sa plateforme, d’autres expliquant que c’est pour accéder au contenu des messages cryptés.
Alors que quelques jours plus tôt, Robert Kennedy jr délivrait un discours empreint d’émotions à la nation américaine, rappelant les dérives du pays et décrivant les réels problèmes de la corruption, Emmanuel Macron pris médiocrement la parole pour défendre le 80eme anniversaire de la libération de Paris. Une allocution illustrée par des mots accolés les uns aux autres, mais vide de sens, de respect. A-t-il donc le mépris de la France et des français dans la peau ?
Pendant que Kennedy délivre un message d'un autre niveau pour contribuer à MAHA, Jupiter s'exerce faussement à rappeler l'histoire de France alors que Durov a été arrêté, qu'il a mis en place un passe sanitaire sur la base d'assertions scientifiques qu'il sait fausses, que la… https://t.co/IarREYOucb
— Xavier Azalbert ◻ (@xazalbert) August 25, 2024
Les libertés sont en danger, il est donc important de prendre position. Une position réelle telle que les fondateurs de France-Soir ont su le prendre avec Défense de la France en 1941 au risque de leur vie pour la défense réelle de la Nation et de sa devise.
« Je donne le nom de la peste à la corruption de l’intelligence, bien plus surement qu’à l’infection de l’air qui nous entoure ». Ainsi que « tu peux aussi commettre une injustice en ne faisant rien » déclarait Marcus Aurelius.
Prenez position. Il est encore temps. Merci à tous ceux qui ont pris position en soutenant France-Soir ! Au mépris des anathèmes et étiquettes.
1) pour un médecin cela fait, disons à 370 euros la demi-journée en moyenne environ (avec 320€ pour les 5 jours de la semaine, et 420€ pour les week-ends et jours fériés), soit 740 euros la journée, et un total de 14.000€ par mois pour 20 jours travaillés. Du coup, ça sera comme pour le covid, mais en pire. Concernant la variole du singe, tous les « soignants » vont participer à l'opération « picouser contre rémunération », puisque les soignants véritables, eux, qui ont refusé de participer à cette même opération à l'époque du covid, ont été écartés de notre système dit « de santé. » Et ceci avec une mention spéciale pour les élèves soignants, puisque c'est pour seulement 8 euros par jour qu'ils vont récidiver. L'Histoire jurera s'il s'est agi là ou non, de l'équivalent des 30 deniers de Judas.
Quoiqu'il en soit, étant donné qu'au minimum 40 millions de « mougeons » vont aller à la picouse, avec une moyenne disons de 250€ par personne environ tout compris (prix d'une dose de « vaccin » et prix de la picouse), cela fait une dépense publique totale de 10.000.000.000 euros. Dix milliards répartis ainsi : 4 milliards pour les labos, 6 milliards pour les collabos.
2) film français sorti en 1951, troisième adaptation cinématographique de la pièce de théâtre homonyme de Marcel Pagnol. Professeur de morale à la pension Muche, Topaze est aussi sincère et sérieux que naïf. Il est secrètement amoureux d'Ernestine, la fille du directeur. Mais lorsque Topaze refuse de remonter les notes d'un élève de bonne famille qui ne le mérite pas, ce dernier le licencie sur-le-champ. Topaze est alors engagé par Régis de Castel-Vernac, un politicien véreux arrondissant ses fins de mois par le détournement de marchés publics. Si-si ! Il y en a. Entraîné malgré lui dans des affaires louches, Topaze se rend peu à peu compte que la vie est bien différente dans les affaires de celle qu'enseignaient ses cours de morale, et il se fait l'élève de Castel-Vernac.
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