Aux États-Unis, l'Histoire se joue. Quel impact pour la France ?

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Frédéric Vidal
Publié le 09 janvier 2021 - 11:18
Mis à jour le 24 février 2021 - 12:36
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TRIBUNE

En vérité, nous vivons des moments historiques. Si le présent nous amène naturellement à observer l’histoire sous l’angle américain avec les élections présidentielles, pour autant, le monde entier vit des moments historiques, en raison de la dictature sanitaire planétaire, mais aussi des conséquences à venir de ce qui émerge aux États-Unis.

À Washington le 6 janvier, se sont déroulés des événements dont il y existe deux lectures possibles, diamétralement opposées.

La presse française dans son ensemble nous a présenté ces événements du Capitole comme l’irruption sauvage dans l’enceinte du Congrès d’une horde de partisans trumpistes, composée de complotistes, de négationnistes et de néonazis, ainsi que l’a écrit Le Monde. Tous étant aux ordres d’un président mauvais perdant, tentant un ultime coup d’État pour conserver un pouvoir légitimement gagné par J. Biden. A présent Trump a baissé les bras. Voilà la litanie déclinée tous azimuts et dont se sont faits adeptes ceux qui ne croient qu’en ces médias.

À l’autre bout de la lorgnette, la tentative de coup d’État n’est pas du même côté. Les preuves sont nombreuses qui attestent de l’immensité de la fraude électorale organisée en faveur des démocrates, annoncée pourtant par J. Biden lui-même devant les caméras. Attendons donc quelques jours que le Comité présidé par le vice-président M. Pence, dont le jeu est difficile à cerner, peut-être volontairement, ait fini d’auditionner chaque État à ce sujet.

Au Capitole le 6 janvier, il n’est pas besoin de chercher longtemps pour constater que les antifas ont joué le rôle des black blocs français pour discréditer la manifestation et donner une image désastreuse de Trump et ses partisans. Plusieurs images ont été confrontées qui semblent l’attester.

L’une des images les plus utilisées par la presse montre un personnage (ci-dessus) dont l’identité est sujette à des débats houleux, les exégèses sur ses tatouages et apparitions précédentes s'affrontent (voir annexe). Les images de ce qui s’est passé à l’entrée et à l’intérieur du Capitole sont nombreuses. On y voit déjà par endroits la police ouvrir les barrières sans pression pour laisser approcher les manifestants du bâtiment, d’autres les encourageant à entrer. De quoi a minima s’interroger.

On peut voir sur les images qu’il n’y a pas d’agressivité particulière envers les personnes et aucune mise en danger des policiers, hormis de la part de quelques antifas supposés. En revanche l’on voit très bien que la jeune femme qui aurait été tuée dans l’enceinte du Congrès l’a été presque à bout portant par un agent du Capitole alors qu’elle n’agressait personne et ne portait aucune arme. Des images terribles qui ont circulé sur la toile. Trois autres personnes ont été tuées, dont on ne sait pas grand-chose pour le moment.

On voit également que si la foule avait voulu faire un coup d’État, il y avait le nombre pour cela.

 

Enfin, lorsque D. Trump est intervenu en vidéo pour appeler au calme et à l’arrêt de l’invasion du Congrès, il a été immédiatement censuré par Twitter, qui a bloqué son compte, ainsi que l’ont fait par la suite Facebook et Instagram. Voilà pour les faits, qui, une fois de plus, contredisent la propagande médiatique.

Trump se refuse à abandonner l’élection sur ce qu’il estime un vol de la démocratie au peuple américain. Il apparaît de plus en plus qu’il a derrière lui dans ce combat une grande partie de l’armée et probablement la Garde Nationale, mais aussi une majorité de la population, qui ne s’est pas trompée sur ce qu’il a accompli durant son mandat. Un mandat très loin du portrait vulgaire brossé dans les grands médias durant quatre ans d’un président indigne, incohérent, raciste, sexiste et fou.

L’un des chevaux de bataille du mandat de Trump a été de démanteler avec le FBI et d’autres services spéciaux les réseaux de traite des êtres humains. Et plus particulièrement la protection des enfants. Ce pourquoi il dit avoir bâti ce mur avec le Mexique, afin d’enrayer le trafic d’enfants enlevés à la frontière à leurs parents pour finir dans les réseaux de la criminalité sexuelle. Il en a parlé plusieurs fois lors de son face à face avec J. Biden juste avant l’élection, en demandant plusieurs fois à celui-ci, alors bras droit de B. Obama, qui avait fait construire les cages pour les enfants ? Car c’est bien sous l’ère Obama/Biden que cela a été fait. C’est évidemment un échange qui n’a été relayé par aucun des médias de masse. On préfère y asséner que Trump est un raciste, preuve en est ce mur de la honte.

Qu’on l’aime ou pas, Donald Trump est le seul président à n’avoir entamé aucune guerre dans le monde durant son mandat, contrairement à son prédécesseur Barack Obama qui a hérité d’un prix Nobel de la Paix pour avoir largué trois bombes à l’heure sur plusieurs pays d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient rien que pour l’année 2016, sans parler de ses guerres invisibles. Trump est aussi le seul président depuis Hoover et Kennedy à avoir refusé un salaire pour exercer sa présidence. Certes il est riche et peut se le permettre comme ne cesse de le marteler la presse. Et alors ? Bush, Clinton et Obama qui ont pris leurs salaires ne le sont pas ? Voyez leurs patrimoines, et on en reparle messieurs les détracteurs.
 

Si Trump accède à un seconde présidence malgré les apparences défavorables, on peut imaginer dans ce contexte de corruption généralisée et au regard des lois et de la constitution, que ce seront peut-être des tribunaux militaires qui se chargeront de statuer.

Le contexte de troubles sur l’élection ne favorise pas que Trump accède à un nouveau mandat autrement qu’avec des preuves incontestables de la fraude, des collusions criminelles et du délit de haute trahison de personnalités politiques avec une intelligence étrangère. Une accession à la victoire électorale par des procédés juridiques tortueux au sein d’un processus d’élection lui-même complexe, n’offrirait que davantage de division au sein de l’Amérique. Cela pourrait être un éclairage pertinent du pourquoi de la validation du vote des Grands Électeurs par le Congrès malgré les preuves de fraude.

En laissant avancer les pions de l’adversaire le plus loin possible en terrain découvert, donc en suggérant qu’il a tout perdu, D. Trump dévoile plus en profondeur la corruption tout en optimisant l’impact de la prochaine étape de son plan de nettoyage du « marais », selon ses propres termes. C’est bien sûr un jeu très dangereux pour lui, mais calculé avec le soutien indéfectible des patriotes américains. L’avenir proche dira si sa stratégie qui semble tout droit inspirée du traité de « l’Art de la guerre » de Sun Tzu a été la bonne. Dans le cas contraire, J. Biden et les intérêts qu’il représente accéderaient au pouvoir suprême.

On en est au point où chacun joue son va-tout en gardant quelques lapins blancs dans son chapeau. C’est pourquoi l’offensive basée sur ladite pandémie du COVID va gagner en ampleur dans les pays occidentaux, surtout si Biden devient président, car alors la menace que représente Trump pour l’État profond dans l’ensemble de l’Occident aura été considérablement réduite, laissant une voie ouverte au prolongement du plan du nouvel ordre mondial en cours. À ce sujet, cette entrevue avec le journaliste d’investigation américain Harry Vox, datant de 2014 est très intéressante. Là aussi, ce qu’il révèle est basé sur des faits vérifiables sur ce document.

Un autre entretien tout à fait édifiant que tout chercheur de vérité par ces temps devrait avoir vu, est celui de Catherine Austin Fitts, une ancienne banquière qui a travaillé comme assistante du secrétaire d’État au Logement sous l’administration Bush.

Pour en arriver à la France, que dire de sa devise lorsque la Fraternité est harcelée par le laminage politique de la division, l’Égalité des chances, des droits et des traitements détruite chaque année un peu plus et la Liberté de s’exprimer, de se déplacer, de vivre en société et même en famille, réduite comme jamais à présent au bon-vouloir d’une poignée d’individus ? La France n’est plus souveraine, elle obéit à des directives dont les intérêts ne sont pas ceux de son peuple.

Néanmoins, le Gaulois réfractaire étant ce qu’il est, on palpe une certaine inquiétude concernant le déroulement du plan COVID pour la France. Elle se mesure aux hésitations à reconfiner comme c’est pourtant prévu, aux couacs de la religion vaccinale, au travers des propos politiques manquant à l’évidence de sérénité et de l’agressivité de certains journalistes et autres professionnels de la médecine, prônant sans plus aucune réserve une dictature sanitaire totale. Nous n’avons pas tout à fait touché le fond mais il semble qu’on n’en soit plus très loin.

Je ne rappellerai pas ici ce qui a déjà été dit ici sur France Soir quant à la réalité de cette pandémie déclarée et ses origines douteuses. Elle reste pour le moment l’épouvantail agité par les apprentis dictateurs de tous bords et l’information à son sujet demeure le nerf de cette guerre d’une minuscule minorité contre les peuples du monde. L’empressement des médias et des politiques à vouloir démonter et remonter les faits dans le bon ordre de la pensée unique, est pour le moins révélateur. On ne peut mettre sur le seul dos de l’ignorance et de l’incompétence des prises de position si tranchées, si peu professionnelles et aussi déconnectées du factuel. Les acteurs de la presse, du monde médical et de la politique françaises dans leur ensemble, à quelques rares exceptions près, me donnent l’impression de croire se hisser dans une course effrénée vers les plus hauts sommets vantés par leurs créanciers, sans voir encore qu’ils ne font que plonger dans un gouffre dont ils ne remonteront pas et où ils demeureront pour finir, sans soutien de la meute qui ne sera plus. Une impression qui vaut aussi pour bien d’autres pays, dont les États-Unis.

Seuls les êtres souverains se détournent de l’effet de meute et sont capables d’assumer leur liberté de penser et d’agir. Ceux-là demeurent fidèles et loyaux à leurs engagements intimes, à leur intégrité, pour finir à eux-mêmes. Ils sont devenus denrée rare dans ces temps qui pourtant les appellent à leur souveraineté. 


ANNEXE 

sur Jake Angeli, qui a "crevé l'écran" et dont les réelles motivations ont enflammé la toile : vrai supporter de Trump de la mouvance QAnon, agitateur, antifa infiltré, illuminé ? 

Qui est Jake Angeli ? (Paris Match)

 

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