La liberté d’expression en France est de plus en plus restrictive mais n’ayez crainte, l’Europe veille ! Chacun se souvient du rejet de la Constitution européenne par les Français, que Sarkozy a tout de même fait entériner par nos représentants parlementaires en créant le traité de Lisbonne. Belle pirouette anti-démocratique de mépris du peuple de France.
Nombreux sont ceux qui se sont réjouis du rejet partiel de la loi Avia par le conseil constitutionnel, en jugeant certaines parties trop restrictives de libertés.
Qu’à cela ne tienne, autre pirouette anti-démocratique imparable ! Le « machin UE » va s’emparer de la question et nous prendre à revers sans que nous ayons la possibilité de nous défendre. Věra Jourová, la vice-présidente de la Commission européenne chargée des valeurs et de la transparence (*), s’est exprimée le 26 mai dernier, lors d’une conférence de presse sur les orientations visant à renforcer le code de pratique sur la désinformation.
Le politiquement correct, la bien-pensance, défense absolue d’en sortir sous peine de censure ! C’est finalement ce que nous prépare les technocrates de Bruxelles conformément aux ordres donnés par l’oligarchie financière anglo-saxonne qui entend prendre le contrôle de nos destinées.
Le Code de bonnes pratiques contre la désinformation de la technocratie bruxelloise est le premier ensemble de normes d’autorégulation du secteur pour lutter contre la désinformation. Désinformation ou liberté d’expression ? Le plan d’action pour la démocratie européenne (datant de décembre 2020) vise à renforcer le code de bonnes pratiques.
Point fondamental : responsabiliser les utilisateurs, en encourageant le signalement des contenus préjudiciables. Les menaces posées par la désinformation en ligne évoluent rapidement et nous devons intensifier notre action collective pour responsabiliser les citoyens et protéger l’espace d’information démocratique.
Définition de la démocratie par l’Académie Française : Système d’organisation politique dans lequel la souveraineté et les décisions qui en découlent sont exercées théoriquement ou réellement, directement ou indirectement, par le peuple, c’est-à-dire par l’ensemble des citoyens.
Quand ce sont des fonctionnaires qui décident, nous ne sommes plus en démocratie mais nous entrons dans un régime totalitaire.
Pour Thierry Breton « La désinformation ne peut pas rester une source de revenus. Nous devons voir des engagements plus forts de la part des plateformes en ligne, de l’ensemble de l’écosystème publicitaire et des réseaux de vérificateurs de faits ».
Encore plus grave, ils imaginent étendre l’espionnage aux services de messagerie et prévoient que les plateformes en ligne collaborent avec les organisations de vérification des faits. Et les mêmes technocrates bruxellois travaillent sur un nouveau règlement sur les publicités politiques.
(*) Věra Jourová est la vice-présidente de la Commission européenne chargée des valeurs et de la transparence ! Avant de s’activer sur la mise en œuvre d’un tel programme de restriction des libertés d’opinion et d’expression des citoyens européens, cette technocrate devrait se pencher sur l’absence de démocratie au sein de l’institution comme l’expliquent des députés européens, souhaitant être informés des tenants et aboutissants des contrats liant UE et Big Pharma pour
les fournitures de vaccins Covid.
En termes de valeurs elle devrait également s’intéresser à la manière dont les fonds, généreusement distribués par la Commission à des organisations, sont utilisées par ces dernières
compte-tenu de leurs engagements.