Il pourrait bien y avoir peu d’entrées dans le gouvernement « Castex I », mais en réalité une valse des postes.
Les « nouveaux talents » annoncés par l’entourage d’Emmanuel Macron devraient bien être limités à trois personnes Les députés Guillaume Larrivé et Aurore Bergé, qui se verraient attribuer les ministères de la Justice et des relations avec le parlement.
La Culture pourrait revenir à Rima Abdul Malak, peu connue du grand public mais actuelle conseillère culture et médias auprès d’Emmanuel Macron. Il se dit cependant que Roselyne Bachelot est aussi sur les rangs.
Pompili à l’écologie ?
Pour le ministère oh combien important de l’écologie, un nom est avancé, celui de Barbara Pompili, ancienne EELV, ancienne secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité, qui a rallié LREM en 2017, bannière sous laquelle elle a été élue députée.
Ceux qui restent
D’après nos informations, plusieurs ministres resteraient en poste : Jean-Yves Le Drian aux Affaires étrangères, Florence Parly (un temps pressentie pour Matignon) aux Armées, Olivier Véran à la Santé, Bruno Le Maire à l’Economie et aux finances, Jean-Baptiste Djebarri aux Transports, Sébastien Lecornu aux Collectivités territoriales – à moins qu’il ne prenne le grand ministère de l’Aménagement du territoire.
Ceux qui déménagent
D’autres vont sans doute changer de ministère, notamment Jean-Michel Blanquer qui passerait de l’Education nationale à l’Intérieur, assisté de Martine Monteil, une femme du « sérail » ancienne directrice centrale de la Police judiciaire.
Quid dès lors d’un ministère aussi important que l’Education nationale ? Et bien, le futur ministre devrait être Julien Denormandie, jusqu’alors ministre de la Ville et du logement.
Car c’est bien une valse des postes qui se profile, avec certes quelques promotions à la clé : Amélie de Montchanin des Affaires européennes au Budget, Gérald Darmanin du Budget au Travail, Marc Fesneau des Relations avec le parlement à l’agriculture, Emmanuelle Wargon de la Transition écologique et solidaire au logement.