C'est la crise vraiment  ! Mais pas pour ceux à qui l’on pense.

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 08 mars 2024 - 07:46
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C'est la crise vraiment ! Mais pour ceux à qui l’on pense.
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L’histoire commence par ce tweet du journaliste Eric Morillot dans une présentation très légèrement remodelée. Je me suis permis d'y procéder afin d'en faciliter la lecture et la compréhension. J'espère qu'à ce titre il ne m'en voudra point par trop pour cela.

« Ok, sur ce coup on va essayer d’échanger courtoisement, et de suivre le raisonnement de @clarisselecter1, qui sait lire un article jusqu’à la fin.
Respect à elle !
Dans la justification officielle de la gestion de la crise covid qu'Emmanuel Macron et compagnie ont imposée au peuple français, les faits avancés par eux comme étant patents, étaient les suivants :

  • une maladie qui présente des risques « très graves » ;
  • et un vaccin contre cette maladie qui présente des risques seulement « graves. »

Il fallait donc « vacciner » toute la population. Dès lors, la question qu'il est intéressant de poser à présent est celle-ci.
En pourcentage de la population et par classe d’âge, auprès de qui la maladie présente ces risques « très graves » et le vaccin ces risques seulement « graves » ?
Merci à ceux qui savent de me répondre. Histoire de comparer.
Savoir lire, c’est bien, un peu réfléchir, c’est mieux. De rien. »

Ce tweet a pour sujet les bénéfices/risques de la vaccination par rapport à la maladie Covid-19, et il le conclut par cette phrase : « Savoir lire c’est bien, un peu réfléchir c’est mieux. https://x.com/EricMorillot/status/1760490417005420617?s=20   Alors j’ai réfléchis, et voici la conclusion à laquelle je suis arrivé, et que je vous livre ici en réponse à la demande qu'il a formulée : « Merci à ceux qui savent de me répondre. Histoire de comparer. »  Très bons points Eric Morillot !

Commençons par les faits. Les faits avec un élément important, « la transparence », et accompagnée du devoir numéro 1 de la charte de Munich qui est de dire la vérité « quoiqu’il en coûte. »

Le faire sans contrainte, mais en tentant dûment compte du fait que la science et la connaissance évoluent dans le temps, et qu'elles ne devraient en aucun cas être réduites au silence, par quelques méthodes qui soient (censure, vérité d'état, inversions des faits, interprétations erronées des faits...), ni souffrir d'une amplification néfaste faite par les médias subventionnés, une occurrence qui hélas fut systématiquement effective durant la crise covid, pour exacerber au possible la peur panique généralisée que le Président de la République, le Gouvernement, les médias subventionnés et leurs prétendus « experts » ont réussi à institutionnaliser, à cette fin qu'on sait dorénavant 100% perfide, de faire accepter la vaccination au gros du troupeau.

 

Et voilà les quatorze points « très bons » que j'ai donnés à Eric Morillot, faits à l'appui :

1. Oui il y a une maladie dont la létalité est réduite à un epsilon pour les moins de 50 ans, et faible pour ceux qui sont plus âgés. Cette létalité a donc évolué dans le temps, mais avec cette constante : être en contradiction avec les déclarations du ministre de la santé Olivier Véran sur les « virus » (qui ne mutent pas), et donner raison @IHU_Marseille.

Voyez plutôt ce qu’une publication scientifique donne, en tant que taux de létalité médian constaté du coronavirus SARS-CoV-2 période AVANT vaccination :

0,0003 % à 0 à 19 ans,
0,002 % à 20 à 29 ans,
0,011 % à 30 à 39 ans,
0,035% à 40 à 49 ans,
0,123% à 50 à 59 ans
0,506 % à 60 à 69 ans

2. Cette maladie nouvelle est « une infection » (définition initiale). Il est donc tout à fait normal qu’elle soit étudiée par l’IHU méditerranée, pôle d’expertises en France en maladies infectieuses, d'une part, et d'autre part que les patients y soient pris en charge à l’AP-HM dans son pôle d’expertise maladie infectieuse.

3. Aidés à cela par l'expérience de pairs étrangers, les médecins chercheurs de l'IHU ont développé une bithérapie qui diminue la charge virale. Certes sur un échantillon petit, mais qui montre un effet amplement significatif comme illustré dans le graphique ci-dessous Jusque-là, vous me suivez. La prise en charge des patients peut dès lors s'effectuer selon un protocole.

Gautret - diminution de la charge virale

4. C’est effectivement ce qui est fait à l’IHU, puis dans d’autres hôpitaux, comme celui de Garches où travaillait le Pr Perronne, un autre spécialiste des maladies infectieuses, et par des médecins de ville qui ont lu les publications scientifiques, qui eux aussi ont l'habitude de traiter des infections respiratoires tous les hivers, et à qui, à ce titre, on a fait confiance depuis des décennies.

5. Là où le bât blesse, c’est quand le politique et/ou les dollars (ça va généralement de mise), commencent à s’intéresser à cette maladie. S'y intéresser avec des mesures de politique sanitaire, qui font qu’un modélisateur fou avec des prévisions ubuesques convainc un président ou son Gouvernement, que sans confinement on ne cassera pas la transmission et la contamination. Ce savant fou s'appelle Ferguson, et il a pour disciples français Cauchemez et Fontanet.

Ferguson s’est constamment trompé dans ses prédictions d’un facteur 147 ou 500 000 parfois.

Oui, vous avez bien lu ! Un facteur 500 000 pour la grippe aviaire en 2005.

On n’est pas loin du théorème de Marty, le « docteur », sévèrement sanctionné par la Chambre disciplinaire du Conseil de l’ordre, pour qui on a des milliards d’années de recul sur la vaccination. Pour l’occasion la loi de Brandolini a bien un exemple concret. Bref pas de quoi lui donner un quelconque crédit, dès lors que, comme requis, on vérifie et calibre le modèle avant de prendre des décisions de politique sanitaire.

Cependant, nous nous sommes bel et bien retrouvés confinés. Et surtout, nos malades ont dû rester  à la maison sans soins. Ils n’ont donc pas été pris en charge. Malheureusement, le petit virus, lorsqu'il les atteints, a eu le temps de faire son travail, tel un voleur en attente de la maréchaussée qui tarde à arriver.

Bref, une grande partie de la solution est dans la prise en charge précoce. L’IHU et les spécialistes ne s’y trompent pas. Le politique et le modélisateur, eux, si.

Et pareillement le maître des dollars. Il n’y trouve pas son compte. Pourquoi ? Parce que la bithérapie est « hors brevet ». Une thérapie pour pauvres, car les pays riches, eux, ont besoin de molécules très élaborées et très chères, au nom de la science, bien sûr.

Mais quelle science ? La science sous contrainte du pouvoir et du dieu dollar.

6. Les médias. Ils ont joué un rôle crucial dans la manipulation des masses en atteste la déclaration de Céline Pigalle, directrice de rédaction chez nos confrères de BFM pour qui « il ne faut pas trop aller à rebours de la parole officielle, puisque ce serait fragiliser un consensus social ! ». Une entorse importante au devoir numéro un de la Charte de Munich « dire la vérité quoiqu’il en coute». Ce rôle félon a consisté en ceci : publier et relayer des études frauduleuses, entraînant là une intoxication informationnelle de la population, et des décisions politiques biaisées.

7. Les thérapies fonctionnent. En attestent les chiffres relevés dans divers départements.

Par exemple, en mai 2020, à Marseille il y a 5 fois moins de morts qu’à Paris. Et quand on regarde les départements 13 et le 92 sont les bon élèves de la gestion de la crise. Et quand on regarde à l’étranger, la Para état du Brésil, ayant systématisé les traitements précoces, a 5.5 fois moins de morts que l’état voisin l’Amazonas qui lui ne les a pas systématisés tel que le montre Emmerich dans une étude publiée et revue par les pairs.

Pardi ! Quand on veut chercher on trouve. (*) Mais encore faut-il vouloir donner raison au Général de Gaulle. Moins de malades, moins de morts. Moins de chances de développer une forme grave. Pour faire court : un gain clair de chances pour tous les patients pris en charge. En témoigne cette étude récente publiée qui fait état que la bithérapie utilisée à l’IHU réduit de 58% le risque d’hospitalisation et de décès. Systématisée elle aurait pu permettre de sauver plus de 97 000 vies en France et plus de 4 millions dans le monde.

Estimation reduction des décès avec les traitements

8. Entrent en jeu les régulateurs. Ces personnes avaient pourtant couché noir sur blanc qu’un vaccin ne peut être autorisé que s’il n y a pas d'alternatives thérapeutiques. En éradiquant ainsi les bénéfices des traitements précoces, on laisse la voie ouverte pour le vaccin, voila pourquoi il fallait tuer les soldats hydroxychloroquine, azithromycine et ivermectine.

9. Là on change de classe de thérapie vaccinale. Exit les méthodes pures et simples de vaccin à virus désactivé, atténué, ou à protéines recombinantes, avec des périodes réglementaires longues d’approbation pour éviter les risques. Cela avec une thérapie génique expérimentale dont les essais cliniques ne sont pas terminés. Des essais pour lesquels il manque pléthore d’informations (génotoxicité, immunotoxicité, bio distribution), et pour lesquels la seule information qui est prise en compte par les politiciens et les autorités sanitaires, c'est la position des labos. Une position dont on sait qu'il faut se méfier, car elle « peut-être » biaisée.

10. Donc nous avons des informations parcellaires sur une thérapie expérimentale aux effets secondaires fortement questionnés par certains scientifiques. On leur fera tout de suite un procès en complotisme, voire en antiscience, alors que les thérapies à ARN messager n’ont jamais prouvé leurs efficacité depuis plusieurs décennies. Bien au contraire ! Alors on nous vante seulement les effets bénéfiques avancés, comme quoi le produit serait efficace à 95%. Mais efficace contre quoi ?

S’ensuit une communication à géométrie variable, tant sur l’interprétation de la science (le ministre de la santé écrira dans des mémoires que la transmission est divisée par 12, puis par 10, puis par 2 en quelques semaines, en 2021), reprise par les médias et à laquelle la propagande a ajouté le slogan « Tous vaccinés, tous protégés », un message totalement fallacieux. C'est la raison pour laquelle l'état est allé jusqu'à instrumentaliser une mamie, dire que c’est un devoir civique que de protéger les plus anciens, car ils sont les plus à risques.

Et les médias bien sûr ne vérifient pas tout cela, trop contents qu'ils sont de recevoir des milliards, en contrepartie, d'un Président de la République qui n’hésitera pas, le 12 juillet 2021, à imposer l'obligation vaccinale de certaines populations, professant au passage de nombreuses fausses informations "débunkées" par le Dr McCullough.

Si l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires que les députés viennent de voter avait été en vigueur, et s'il ne bénéficiait pas de l'immunité pénale présidentielle, cela lui aurait valu de nombreuses années de prison.

Rajoutons à cela que son autoritarisme et sa vilenie ne s'arrêtent pas. En effet, il déclarera avoir très envie d'emmerder les non-vaccinés. C'était pour diviser la France entre bons et mauvais citoyens. Il a consacré à cette occasion la stratégie rhétorique qui est la sienne en toute matière dans sa communication : l'inversion accusatoire sur base de fausses informations.

11. Mais ce n'est pas tout. Puisque toute cela ne suffit pas, on a fait aussi appelle à Gérard Majax. Pourquoi ? Pour faire disparaître toutes traces d'effets secondaires et quiconque ose en parler : « Abracadabra ! »

Il faudra un rapport de OPECST, publié en juin 2022, pour enfin voir que cela existe véritablement.

Qu'importe ! Les victimes qui se sont manifestées, les morts, et les femmes qui ont des problèmes de cycle : un coup de Tipex ou de David Coperfield (Gérard Majax de la nouvelle génération) renforcé par des accusations en complotisme qui détourne la voix des honnêtes gens, tout est balayé d'un revers de la main.

12. Les effets secondaires. Ils existent et il y en a pléthore. 200 000 si l'on en croit l'ANSM dont 25% de graves. Et d'ailleurs, on n’a pas assez d’années de recul pour les estimer réellement. En effet, dans une pratique pas si lointaine de la médecine et du développement de telles thérapies, on prenait au minimum10 ans pour cela.

Qu'à cela ne tienne ! Avec l’aide des médias, des politiciens et de régulateurs bien peu regardants, des milliards de doses ont été injectées. Pourquoi ? Pour obtenir un sésame de « bon citoyen »,  pouvoir retourner au cinéma ou au resto. Pourtant un octogénaire vacciné en 2021, n’a pas pu sortir de sa maison de retraite, parce que le ministre lui a dit qu’il ne savait pas si le vaccin était efficace. Tiens donc ? il avait un doute.

13. Quand le chercheur Laurent Toubiana demande les chiffres sur la mortalité toutes causes confondues, par statut vaccinal et par classes d’âge, le ministre de la santé est surchargé. Ses services aussi. Il ne peut consacrer quelques jours d’un informaticien pour avoir la réponse, malgré le fait que l’association BonSens.org a proposé de payer les quelques 12 000 euros que cela couterait. Ne veut-il pas savoir ?

14. Dernier point. Alors que quand dans de nombreux pays les régulateurs, les médecins observent une recrudescence de la maladie, des morts subites qui apparaissent, on repousse immédiatement l’idée que le vaccin puisse y contribuer, sans avoir suffisamment de recul pour le faire. On essaie d’enfouir ses effets mortifères ou de les minimiser, à grand renfort d'étiquetage en complotisme ou autres.

 

Alors oui @EricMorillot, très bonnes questions,.

Excellentes, même. En effet, un nouvelle étude vient de démontrer outre la non-efficacité des vaccins, mais en sus l’aggravation de la maladie dans de nombreux cas suite à une vaccination antérieure,  et surtout l’efficacité des traitements « raoultiens » et assimilés.

Il serait donc temps de faire comme il est dit dans la charte de Munich. Lorsqu'on a fait un erreur, ou qu'on en relève une, il faut la corriger.

Et ce n’est pas @france_soir qui a fait une ou des erreurs, mais bien les personnes qui, ne voulant pas voir les risques réels, ont été obnubilées par des bénéfices virtuels.

À moins que, pour certaines d'entre elles, le bénéfice d’une maladie se mesure avant tout en dollars, une approche de la médecine qui réduit la notion de santé des patients à peau de chagrin.

Comment ces personnes arrivent-elles à faire cela ? En extorquant le consentement des gens, en dépit des conventions internationales. Frédéric Beltra, Marc Doyer, Mélodie Féron Michèle Musso, outre avoir été victimes directement ou perdus fille, fils ou épouse (paix à leur âme) se battent avec dignité pour avoir des réponses.

N'en déplaise à ceux qui se fourvoient ou se mentent à eux-mêmes, le risque est bien plus important que le bénéfice. Et bien sur depuis, Emmanuel Macron pour masquer la gestion catastrophique de la crise essaie-t-il de nous emmener en guerre oubliant par la même le courage de la Paix et l'Art du compromis. Si en Macronie, les crises se succèdent, l'escalade d'engagements des déclarations successives contre la Russie montre que la guerre (sanitaire) peut bien en masquer une autre. En octobre 2022, j'écrivais :

Après la guerre sociale et la guerre « sanitaire », qui laisse maintenant place à la guerre énergétique, Emmanuel Macron nous entraine progressivement par sa cobelligérance dans une guerre extérieure. Sans l’assentiment ni de l’Assemblée nationale, ni du Sénat.

Merci Eric de ton attention !

* Formule exacte « Des chercheurs qui cherchent, on n'en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche. »

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