Le diable dans nos églises  ?

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 09 septembre 2024 - 14:00
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Notre dame
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Le diable dans nos églises ?
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Nombre d'experts, tant en construction qu'en incendie, considèrent que l'incendie de Notre-Dame (15 et 16 avril 2019) procède d'un acte criminel. Cela notamment au regard de deux faits troublants. Le premier porte sur le système anti-incendie qui avait été entièrement vérifié et validé quelques jours avant l'incendie.  Le second est sur les poutres : vu leur très grande dureté, leur très grand âge, leur traitement anti-incendie et leur nature, les poutres en chêne qui constituaient la majeure partie de la charpente, ne pouvaient pas s'enflammer avec simplement un court-circuit électrique, ni encore moins bien sûr un mégot de cigarette (thèses retenues par la version officielle). La cause de leur embrasement et de leur combustion serait obligatoirement une source de chaleur hyper élevée et maintenue longtemps.  Une telle source de chaleur qui ne peut être produite qu'avec des produits chimiques spécifiques, qui pour arriver à un tel résultat aurait dû être implantés à l'intérieur des poutres.

Toutefois, la thèse d'un acte criminel exige qu'il existe une réponse à « la » question qui s'impose, dès lors, en cette occurrence, pour l'accréditer : à qui profite le crime ? Ou alors, il faudra s'en remettre à l'opportunisme de situation qui, s'il n'y a pas crime, nous incite à évaluer l'effet d'aubaine et ceux qui en bénéficient ou s'en servent. 

Cependant, un indice est apparu il y a quelques jours, qui va dans le sens de la théorie soit d'un crime, soit d'un comportement opportuniste à l'excès, qui soutient qu'il existe une réponse à cette question. Cette réponse est Emmanuel Macron.

En effet, au-delà du fait, lui aussi incontestable, que, hasard ou fait exprès (?), l'incendie de Notre-Dame a fait que « l'incendie » politique dont l'édifice macroniste était la proie à l'époque (à savoir la crise des Gilets Jaunes) - ô miracle ! - s'est éteint aussi soudainement que définitivement (plus aucun écho dans les médias ni sur les réseaux sociaux), voici ce qu'on a découvert dimanche.

L'archevêque de Paris, Laurent Ulrich, et Emmanuel Macron, ont annoncé, vendredi, que six vitraux datant de Viollet-le-Duc, qui ont pu être extirpés des flammes et qui ont été parfaitement restaurés, vont être remplacés par des vitraux contemporains.

C'est illégal !

La France a signé la Convention de Venise de 1964. Celle-ci impose aux pays signataires, l'obligation de préserver les éléments historiques sans altération par des ajouts modernes.

Et, en plus d'être illégal, cela serait immonde et odieux au possible, si l'information livrée par ce lien TikTok se révèle un tant soit peu exacte. À savoir que parmi les six vitraux contemporains que l'archevêque de Paris et Emmanuel Macron ont décidé d'utiliser pour remplacer les vitraux originels de Notre-Dame, figurent deux vitraux tels ceci.  

Image tik tok

Non, parce que là, c'est sûr : avec un vitrail LGBT et un vitrail satanique installés dans Notre-Dame, après son incendie, et avec pour prétexte de moderniser l'ouvrage, cela pousserait le bouchon un peu loin. Certains allant jusqu'à dire que le crime serait signé et revendiqué.  Ces illustrations sont là avant tout dans l'optique de faire réagir et prendre connaissance de la situation sans que l'information ait pu être vérifiée.  Cependant, il est important de savoir si le fait du prince a droit de cité en France au-dessus des nombreux avis contraire à cette transformation.

Diable !

La preuve serait ainsi bel et bien rapportée, que l'incendie de Notre-Dame procède d'un acte à caractère criminel, dont Emmanuel Macron (« La France n'a pas d'Histoire ») et la clique de dégénérés (1) à laquelle on lui prête d'appartenir, se servent, d'un symbole éminemment fort, pour que le monde prenne acte qu'ils ont substitué à la France ancestrale chrétienne, une forme exacerbée de décadence, de déliquescence intellectuelle, morale et spirituelle qui caractérise "sa France". Souvent repris dans les médias, comme peut l'illustrer la phrase déconnectée de la présidente de FranceTV, Delphine Ernotte, qui n'hésite pas à déclarer « vouloir représenter la France telle qu'on voudrait qu'elle soit ! ». D'ailleurs, ce qu'Emmanuel Macron a déclaré lui-même (« C'est ça la France ! »), en réponse aux commentaires horrifiés, outrés suscités par la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques. Notamment, les images jugées blasphématoires, et celles ouvertement sataniques, ainsi que le fait que la partie « artistique » de cette cérémonie semble avoir été entièrement dédiée à l'hégémonie LGBT dans une approche dite "inclusive" qu'ils affirment fallacieusement être efficiente. Oui, comme si la France, pays de la Déclaration des Droits de l'Homme, était par le truchement d'un coup de baguette magique devenu un pays 100 % LGBT, alors qu'ils ne représentent qu'une fraction de population française. De plus, l'idéologie Woke fortement présente ces dernières années dans une approche moderne qui demande l' inclusion sans discrimination, sur des concepts qui se séparent de la réalité et de la nature, est en totale perte de vitesse. D'ailleurs de nombreuses entreprises s'en détachent devant la perte de clients.  

 Il sera aussi bon de s'inquiéter du nombre d'églises qui ont brulé ces dernières années ainsi que les nombreux actes anti-chrétiens qui ont pris place dans le pays sans que l'État semble réellement s'y intéresser.  Cela a d'ailleurs fait l'objet de plusieurs publications et d'un rapport (2022° de la sénatrice Isabelle Florennes qui rapportait que 857 faits antichrétiens avaient été commis en 2021. 

Ce n'est donc hélas plus « Le temps des Cathédrales » https://youtu.be/EocLKUzsaoc qu'il convient d'accoler à Notre-Dame de Paris désormais, mais faudrait-il lui accorder « Le temple des cadres de Baal. » ?

Pour retrouver les vitraux originaux de Violet-le-duc, une pétition avait été lancée et cumule d'ores et déjà plus de 160 000 signatures.

(1) de nombreuses dégénérescences sont évoqués dont la différence d'âge non négligeable avec la première dame qui pose questions sur ce qui s'est passé à l'époque et qui fait toujours l'objet de nombreuses émissions en France et à l'étranger (Candace Owens a récemment interviewé Xavier Poussard, le journaliste qui a enquêté pendant plus de deux ans sur Brigitte et Jean-Michel Trogneux), ainsi que des nombreuses références sataniques et LGBT qui se sont retrouvées dans la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, ou d'autres déclarations ("La bête de l'évenement") d'Emmanuel Macron.   

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