La faute aux gouvernements ?
TRIBUNE - Ne rien faire, c'est être complice.
Il est tombé par terre, c'est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c'est la faute à Rousseau. Est-ce que la descente aux enfers de la France est la faute de nos gouvernants ? Dans une large mesure, oui, mais pas que. Loin s'en faut.
Excédé par le comportement laxiste d'une trop grande majorité de la population, catastrophé par le niveau du QI moyen, lassé d'entendre une multitude râler uniquement en privé - il ne faut surtout pas prendre de risques -, et fatigué de l'indifférence du plus grand nombre face à une oppression omniprésente visant à détruire l'humanité, voici quelques réflexions.
Récemment, sur Twitter, quelques chefs d'entreprises haussaient le ton face à l'augmentation infernale des factures de l'électricité. Légitime revendication, sauf qu'il a fallu que cela leur tombe dessus pour qu'ils s'affolent. Et ce n'est pas terminé, car Élisabeth Borne vient d'avertir qu'en 2023, il y aura une hausse des tarifs (comprise entre 10 et 20 %). Ce n'est bien évidemment pas la faute des Russes, mais bien de l'incurie des gouvernements à gérer - entre autres - le parc des centrales nucléaires. (Pour en savoir plus, voir l'article du Parisien, et le tweet de Philippe Murer).
De plus en plus de gens vaccinés constatent les dégâts irréversibles des "liquides expérimentaux" dans leur corps. 2 600 effets secondaires graves par semaine (Voir : Covid-19 : le bilan en 40 questions, retour sur deux ans d'infos et d'intox). Pourtant, les bonnes informations circulent. Encore faut-il vouloir s'informer. Je suis toujours sidéré de la facilité avec laquelle une grande majorité de gens a obéi au doigt et à l'œil. La trahison des oligarques financiers et des gouvernants ne m'étonne pas, mais autant de précipitation d'une grande partie de la population à se soumettre à des confinements inutiles - c'est prouvé -, à des couvre-feux débiles, à des dérogations de sortie, à porter un masque bleu qui ne protège en rien du SARS-CoV-2, et à se faire injecter des "liquides expérimentaux" encore en phase d'essais cliniques me laisse encore pantois.
La taxe foncière vient d'augmenter outrageusement dans certaines régions - 40 % - et je ne vois toujours pas grand monde prendre le chemin de la résistance et de la désobéissance civile.
Pour lutter contre le réchauffement climatique, - il a bon dos -, la taxe d'enlèvement des ordures ménagères va tripler dans les trois ans. Le chemin de la résistance, c'est quand vous voulez.
Inflation du prix des Pellets - granulés de bois -. Le prix du sac de 13 kg que j'ai connu il y a six ans à 3,70 € oscille aujourd'hui entre 9 et 15 €. Je ne vois toujours pas grand monde prendre le chemin de la résistance et de la désobéissance civile. Oui, je sais, je me répète. (Voir l'article de France 3).
Inflation galopante du carburant, des denrées alimentaires, des produits de première nécessité, etc. La désobéissance civile, c'est quand vous voulez…
Propagande oblige, menace de récession énergétique, menace de guerre, menace de nouvelles pandémies… N'en jetez plus, la cour est pleine.
Une cruche sans talent, - mais avec 280 000 abonnés TikTok, cherchez l'erreur -, se met en scène devant un incendie en Espagne (220 000 hectares partis en fumée). Affligeant et consternant. Le plus incroyable est que la donzelle continue à œuvrer dans les réseaux sociaux. Pas de censure contre ce genre d'exhibition scabreuse. En revanche, la censure fonctionne parfaitement bien pour les opposants et résistants. Mes amis de la chaîne TV "Les Mousquetaires de l'info" viennent de se faire interdire leur chaîne YouTube, juste après une interview à propos de notre dernier livre.
Le niveau scolaire est au ras des pâquerettes. Le ministre de l'Éducation nationale semble plus préoccupé par l'éducation sexuelle dans les écoles (voir les propos tenus à ce sujet ici) que de faire en sorte que l'enseignement soit de qualité. Beaucoup de professeurs râlent, mais ne font rien. Excusez-moi si j'en choque quelques-uns, mais ne rien faire au niveau national fait de chacun de vous un complice. Quant aux parents d'élèves, persuadés que chacun de leur enfant est un pur génie, n'hésitent pas à interpeller les profs au sujet d'une note basse, plutôt que de regarder réellement où est le problème. Toujours pas grand monde pour rejoindre la résistance, etc.
La majorité des artistes crachent sur le peuple, plus soucieux du maintien de leurs subventions gouvernementales que de faire correctement leur métier. Voici un extrait d'une interview incompréhensible de François Cluzet dans l'émission, "C'est à vous". Le brouet malodorant de Cluzet, c'est ici.
Les chefaillons de la République peuvent continuer à servir leurs maîtres sans sourciller. En effet, les magistrats, dont le salaire moyen est de 4 700 € nets, viennent de se voir gratifier d'une augmentation substantielle : 1 000 € bruts mensuels. Les agents de la fonction publique voient leur point d'indice revalorisé de 3,5 % et la revalorisation des retraites est de 4 %. Le leitmotiv gouvernemental est de compenser la hausse des prix due à l'inflation en 2022 (selon service public). Le SMIC n'est revalorisé que de 2,01 %. Cherchez l'erreur. Le problème est que l'inflation est de 6,1 % en 2022. Donc, à part les magistrats, vous pouvez sortir la boîte de mouchoirs et resserrer votre ceinture.
Du fleurissement des panneaux avec la mention "Ouvert dans le respect des règles sanitaires" ornant les devantures d'une majorité de magasins, en passant par le vigile discipliné veillant à ce que chaque client potentiel franchissant la porte de sa boutique s'enduise les mains de gel hydroalcoolique, pour en arriver à la déclaration fracassante de Jean Castex, - "Prendre le café debout, c'est interdit, mais le boire assis, c'est autorisé", tout ce cirque montre et démontre chaque jour l'ampleur du désastre intellectuel national. Cette maxime "Castexoise", digne de figurer dans le Guinness, a été appliquée à la lettre par une majorité de cafetiers et de restaurateurs. Trop fort ! Subventions quand tu nous tiens... (Pour rappel, c'est ici)
La majorité des médecins endormis grâce aux subventions des laboratoires pharmaceutiques, ont oublié que l'Ordre des Médecins - qui met des bâtons dans les roues à chaque praticien honnête -, a été créé pendant le gouvernement de Vichy. (Voir le communiqué ici)
La gauche bourgeoise racialiste qui nous gouverne depuis le départ du Général de Gaulle, plus préoccupée de détruire les valeurs morales, familiales, religieuses et culturelles de notre pays en ouvrant les portes à un wokisme débridé, à une théorie du genre pervertie - pléonasme - et à l'imposition des LGBTQ+, ne peut aboutir qu'à l'extinction de notre civilisation. Cette gauche racialiste répugnante a déjà sévi en 1789, car cette "révolution" dont presque tout le monde se glorifie, n'était en fait qu'un coup d'État afin de préserver et d'amplifier leurs privilèges existants, de confisquer et de s'accaparer une majorité de biens privés, de détruire les valeurs spirituelles en saccageant les églises et en se rendant coupable d'un régicide.
Cette bourgeoisie cupide et nauséabonde, sous couvert d'altruisme et d'humanité, continue de soutenir un plan mondial criminel soigneusement calculé dont l'unique but est de réduire la population et de la maintenir en esclavage.
Le temps est à l'action. Ceux qui agissent se reconnaîtront. Quant aux autres, voici de quoi méditer :
- Ne rien faire, c'est leur laisser le champ libre.
- Ne rien faire, c'est laisser aux générations futures un monde déshumanisé.
- Ne rien faire, c'est permettre à une caste de continuer à s'enrichir au détriment de chacun.
- Ne rien faire, c'est être complice.
- Ne rien faire, c'est laisser les autres décider à votre place.
Rien n'est écrit. Tout peut changer, car vous pouvez créer le futur. Ne l'oubliez pas, le futur est entre vos mains, pour le meilleur ou pour le pire.
Contestez les choses pour aider la société à prospérer est un devoir. Résistance et désobéissance civile, tel est le bon credo.
Claude Janvier est écrivain, essayiste, co-auteur, avec Jean-Loup Izambert, journaliste d'investigation, des livres "Le virus et le président" et "Covid-19, le bilan en 40 questions". (voir sur IS Édition).
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