TRIBUNE - Le 26 octobre 2020, nous vous révélions un étrange mélange des genres, entre religion, gouvernement et crise sanitaire dans notre article.
A cette occasion, vous avez pu découvrir les liens entre la belle-fille d’Emmanuel Macron, Christèle Auzière et Jérôme Msihid, manager de recherche chez Sanofi, qui collabore avec Regeneron sur les biotechnologies.
Que s’est-il passé depuis ? Le 17 juillet 2021, une mise à jour du site mesvaccins.net nous apprend que de plus en plus d’effets indésirables des thérapies à ARNm contre la COVID-19 font apparaître des polyarthrites rhumatoïdes chez des personnes saines ou exacerbent des symptômes chez les patients déjà atteints de cette maladie auto-immune.
Pour rappel, cette pathologie ouvre la voie à des traitements par biothérapies, qui sont les bestsellers mondiaux de l’industrie pharmaceutique depuis des années. A titre d’exemple, Humira, de la société Roche, a généré à lui seul 19,9 milliards de dollars de chiffre d’affaire en 2018.
Au passage, nous découvrons que l’ANSM a choisi de mettre à jour les données relatives aux effets indésirables de manière bi-mensuelle, alors que c'était hebdomadaire jusqu’alors. Il est légitime de leur demander les raisons de ce choix , à l’heure où la campagne d’injections de gré ou de force s’emballe comme un cheval fou.
Mais revenons sur le calendrier. Le 17 juillet 2021, alors que des milliards d’humains sont désormais injectés avec cette thérapie génique, on découvre qu’elle peut causer ou réactiver la polyarthrite rhumatoïde, et par extension, nous pouvons craindre légitimement qu’elle engendrera fatalement une cohorte de maladies auto-immunes.
Mais quel rapport avec Jérôme Msihid et donc avec Emmanuel Macron me direz-vous ?
Eh bien, une rapide consultation du portail international des brevets, nous apprend que le groupement Sanofi biotechnology et Regeneron a obtenu un brevet pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde, le 7 juillet 2021 . Ils ont d’ailleurs obtenu pas moins de dix brevets à l’échelle mondiale, concernant la polyarthrite rhumatoïde, depuis le début de la crise sanitaire COVID19.
Donc si l'on résume :
- des géants pharmaceutiques obtiennent un brevet pour traiter une maladie le mercredi 7 juillet.
- le lundi suivant, 12 juillet, Beau-papa donne un sérieux coup de pouce à Christèle et son collègue Jérôme, avec son discours au Palais Royal Ephémère.
- cinq jours plus tard, le samedi 17 juillet, les autorités de sécurité du médicament révèlent le lien entre injection anti-COVID et la maladie en question.
Entre temps, des millions de Français se ruent pour prendre rendez-vous et se faire modifier génétiquement, et cela pour partir en vacances et pouvoir manger leur steak-frites salade. La consultation des données du ministère de la Santé, nous apprend que près de 19,6 millions de doses ont été injectées en juillet 2021, soit plus d’un quart du total des doses depuis le début de la campagne fin décembre 2020.
Et le phénomène ne semble pas voué à ralentir, tant la pression sur le peuple de France est intense. Car après les motifs futiles et matérialistes viendront les motifs salariaux et de la vie quotidienne.
Et tout cela, une fois de plus, pour remplir les caisses des géants, de ceux qui nous asservissent en créant le problème et sa solution dans un timing machiavélique, comme nous venons une nouvelle fois de vous le démontrer.
Face à cela, rappelons-nous de la véritable devise née de la Révolution de 1789, "Liberté, Égalité, Justice". La Fraternité ne doit pas être notre devise mais notre quotidien, car c’est dans l’union fraternelle que nous vaincrons et rétablirons nos droits.
Formons dės maintenant des assemblées, dans nos villages, nos quartiers ou nos villes. Retrouvons ensemble le vrai sens ancestral de la démocratie !