Braquage de Kim Kardashian : son ex-garde du corps se confie pour la première fois depuis l'agression
C'est la première fois qu'il se livre depuis l'agression de Kim Kardashian. Pascal Duvier, l'ex-garde du corps de la star, a évoqué dans un entretien à FairFax Media, la nuit du drame et les conséquences de son absence. Car ce soir-là, l'homme ne se trouvait pas à ses côtés: il avait accompagné ses sœurs Kourtney Kardashian et Kendall Jenner en boîte de nuit. Remercié par la star de téléréalité un mois après les faits, le bodyguard allemand, qui mange 18 blancs d'oeufs par jour et pèse 119 kilos pour 1 mètre 93, semble depuis avoir tourné la page Kardashian.
"Je n’aime pas perdre mon temps à me demander +et si+ ou +si seulement j’avais… +. Beaucoup de bonnes et de mauvaises choses arrivent. La vie est un enchaînement de réactions, de décisions et de choix que vous faites, vous ne pouvez pas décider de changer seulement certaines choses", a-t-il déclaré estimant que "chaque changement impacte tout le reste". Mais depuis l'agression, sa vie personnelle a été impactée par les faits."Tous les gens proches de moi ont été harcelés de questions. Ce n'est pas cool, mais c'est comme ça que ce type d'industrie fonctionne", a-t-il notamment déclaré.
Pour rappel, Pascal Duvier, qui a également assuré la protection de David Guetta, Justin Timberlake, Cara Delevingne, Nick Jonas ou Katy Perry, avait rapidement réagi suite au braquage survenu à Paris. "Les évènements qui se sont déroulés à Paris sont une des choses les plus répugnantes que j’ai vues", avait-t-il écrit sur son blog (suspendu depuis) précisant qu'il comptait bien retrouver les agresseurs de Kim Kardashian. "Nous avons des infos, des pistes, et nous allons vous retrouver. Ça, je vous le promets… Vous vous en êtes pris à la mauvaise personne".
Mais les policiers n'ontpas attendu ses services pour avancer dans leur enquête. Au total, six suspects, dont le cerveau présumé de l'opération, ont récemment été mis en examen et incarcérés, portant à dix le nombre de personnes mises en cause dans cette affaire.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.