EN DIRECT. Crash Airbus A320 GermanWings : une des boîtes noires de l'avion a été retrouvée

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JmC
Publié le 24 mars 2015 - 14:14
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Germanwings Secours
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©Jean-Paul Pelissier/Reuters
S'importants moyens de secours et de recherche, par hélicoptère, ont été mis en place.
©Jean-Paul Pelissier/Reuters
Un Airbus A320 de la compagnie allemande GermanWings assurant la liaison entre Barcelone et Düsseldorf s'est écrasé mardi matin dans les Alpes-de-Haute-Provence. Il n'y aurait aucun survivant parmi les 150 personnes à bord. A suivre en direct sur "FranceSoir.fr".

Merci d'avoir suivi ce direct sur les informations sur le crash de l'Airbus A320 de GermanWings dans les Alpes-de-Haute-Provence. Retrouvez la synthèse de la journée ICI, l'ensemble du dossier ICI, et le reste de l'actualité en temps réel sur FranceSoir.fr.

 

19h20

Ségolène Royal, arrivée sur place à 18h30, a prononcé une brève allocution aux côtés du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. "Nous sommes unis dans la paix et dans l'épreuve", a-t-elle déclaré.

 

19h03

Un lycée allemand d'Halter-Am-See, à proximité de Düsseldorf, a confirmé qu'un groupe de 16 élèves et 2 accompagnateurs se trouvaient à bord.

 

18h45

Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, dont dépendent également les Transports, s'est rendue sur place.

 

18h00

Bernard Cazeneuve a confirmé, sur place, devant les micros des journalistes, qu'une boîte noire avait été retrouvée. "Une boîte noire a été retrouvée, qui fera l'objet d'une enquête immédiate. Cette boîte noire, retrouvée quelques heures après le crash (...), permettra à l'enquête judiciaire en cours d'avancer rapidement". Le ministre a précisé que la boîte noire serait transmise sans délai au Bureau d'enquêtes et d'analyse (BEA).

 

17h50

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve annonce qu'une des boîtes noires de l'appareil a été retrouvée. Cela confirme une information de France-2 qui s'appuyait sur une source policière, ainsi que les propos peu auparavant du député des Alpes-de-Haute-Provence Christophe Castaner (PS) au micro de France Info.

 

17h29

La gendarmerie nationale a bouclé la zone du crash. Son survol est maintenant interdit par arrêté préfectoral.

 

17h20

Lors d'une conférence de presse, le directeur de l'établissement scolaire de Haltern (80km au nord de Düsseldorf) en Allemagne confirme la présence de 16 adolescents allemands dans l'avion, ainsi que de deux accompagnateurs. Ils revenaient d'une semaine d'échange passé en Espagne.  

 

16h55

Gilbert Sauvan, le président (PS) du Conseil général des Alpes-de-Haute-Provence, qui a survolé également la zone du crash, ne croit pas non plus à la possibilité de survirants: "Il ne reste plus rien de l'avion. Le plus gros morceau doit être grand comme une petite voiture…"

 

16h30

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a tenu une brève conférence de presse sur place. "Nous mobilisons de nombreuses compétences de la gendarmerie nationale. Trois cents militaires de la gendarmerie nationale sont présents. Nous mobilisons dix hélicoptères et un avion militaire", a-t-il dit.

"L'ensemble de ces moyens visent à porter secours à ceux qui ont pu échapper à la violence du choc, même s'il y a peu d'espoir. (…) L'ensemble des moyens sont coordonnés par Madame la préfète, sous mon autorité."

"Il y a un dispositif d'accueil qui est organisé par Madame la préfète, avec une chapelle ardente pour accueillir ceux qui veulent se rendre sur place".

 

16h20

Le député des Alpes-de-Haute-Provence Christophe Castaner (PS) témoigne sur BFMTV: "Le choc a dû être violent. Il n'y a plus de morceaux, il n'y a que des débris. (…) Les gendarmes cherchent sur le site toute trace de vie (...). Pour l'instant, aucune trace de vie n'a été identifiée".

Sur son compte Twitter, le député explique avoir survolé les lieux du crash avec le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Il évoque une "horreur" et un avion "totalement détruit". "Images épouvantables dans ce paysage de montagne. Il ne reste rien que des débris et des corps".

 

16h10

La neige a commencé à retomber sur la zone du crash.

 

16h

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve est arrivé sur les lieux de la catastrophe.

 

15h40

"L'avion est complètement désintégré", selon le président du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence Gilbert Sauvan, cité par Les Echos, qui précise que "les plus gros débris sont de la taille d'une voiture". Le relief complique également énormément l'arrivée des secours, puisque la zone n'est accessible que par les airs. Huit hélicoptères sont ainsi mobilisés.

 

15h28

A l'Assemblée nationale, les députés ont observé une minute de silence en hommage aux 150 victimes du crash, avant la séance des questions au gouvernement. Le Premier ministre Manuel Valls a ensuite pris la parole. "Cette catastrophe a eu lieu sur une zone très difficile d'accès (...). Un hélicoptère a pu se poser pour constater qu'il n'y avait que des victimes", a-t-il dit avant d'ajouter: "l'heure est à la solidarité".

 

15h25

Les premiers proches des victimes sont arrivés il y a près d'une heure maintenant à l'aéroport de Barcelone. Ils y sont accueillis par un dispositif spécial des autorités et de Swissport, une salle à l'abri des regards est notamment réquisitionnée. Un policier en interdit l'accès.

 

15h20

Selon les estimations fournies par les représentants de GermanWings, restant à confirmer, il y aurait 67 passagers de nationalité allemande parmi les victimes. Répondant à une question d'un journaliste sur un problème informatique qu'aurait connu l'appareil, l'expert technique de GermanWings a déclaré: "l'ordinateur qui posait problème a été changé. Il avait été construit par Airbus".

 

15h18

La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a annoncé que l'équipage n'avait pas émis de signal de détresse ("mayday"), mais que "c'est le contrôle aérien qui a décidé de déclarer l'avion en détresse car il n'avait plus aucun contact avec l'équipage et l'avion".

 

15h16

En hommage aux victimes de la catastrophe aérienne, la Lufthansa et sa filiale GermanWings ont changé les couleurs de leurs logos sur les réseaux sociaux pour les mettre en noir-et-blanc. Sur les sites internet des deux compagnies, un message (en anglais et en allemand) de condoléances accueille les internautes.

 

15h14

Sur les lieux du crash, une chapelle ardente a été installée à Seyne-les-Alpes, une commune voisine de Méolans-Revel, le lieu du crash, ont fait savoir les autorités.

 

15h10

Conférence de presse des responsables de GermanWings à Berlin. Il y avait 144 passagers à bord (dont deux bébés), et 6 membres d'équipage. A 10h35, l'avion était à 38.000 pieds. Une minute plus tard il a décroché et perdu de l'altitude, pendant huit minutes. Le contact de l'avion avec les radars français a été perdu à 10h53, alors que l'appareil était à une hauteur de 6.000 pieds. L'avion s'est ensuite écrasé. Concernant un éventuel appel d'urgence, "je ne peux rien dire pour le moment", a déclaré un expert de la compagnie, interrogé par les journalistes.

L'appareil avait été livré en 1991, à Lufthansa puis pour GermanWings. Le dernier check-up de l'avion a eu lieu en mars. Le dernier check-up total avait eu lieu l'été dernier. Le capitaine de l'avion avait 6.000 heures de vol sur Airbus et 10 ans d'expérience. "Pour l'instant (...), nous ne pouvons donner aucune information sur les passagers", a précisé un des responsables de la compagnie. "Le plus important à cette heure est d'être proche des familles des victimes et des proches de notre équipage".

 

14h58

La ministre de la Justice Christiane Taubira a annoncé que le pôle "Accident collectif" du parquet de Marseille a été chargé de l'enquête ouverte suite au crash de l'A320 de la GermanWings. Dans un communiqué, elle assure qu'elle "veillera à ce que tous les moyens soient mis en œuvre pour diligenter (les investigations) dans les meilleures conditions de délais et d’efficacité".

 

14h52

"Il n'y a plus de secours, tout le monde est mort", assurent les secouristes, arrivés sur place. Les autorités confirment que l'observation aérienne des lieux du crash a permis de confirmer qu'il n'y a aucun survivant. Les gendarmes arrivés sur place ont également "gelé les lieux", c'est-à-dire interdit l'accès à la zone pour les raisons de l'enquête.

 

14h45

Dans un tweet, Nicolas Sarkozy fait part de son "immense douleur" face au crash de l'Airbus A320 de Germanwings:"Immense douleur face au tragique accident survenu dans les Alpes. Solidarité et condoléances aux proches des victimes. NS."

 

14h40

"Cet accident est un choc qui nous plonge dans une profonde tristesse. Il est trop tôt pour spéculer sur les causes du crash. Il faudra mener l'enquête", a déclaré à Berlin la chancelière allemande Angela Merkel. "Mes pensées et celles de tout le gouvernement vont à tout ceux qui ont perdu des proches. Notre peine est incommensurable".

"J'ai parlé avec François Hollande et Mariano Rajoy, le chef du gouvernement espagnol", a-t-elle ajouté. "Notre pays va apporter toute l'aide possible dans les aéroports concernés et le lieu du crash. (…) Je me rendrai en France demain (mercredi) et devrais pouvoir parler aux responsables sur place".

 

14h34

Des numéros d'urgence ont été mis en place pour les proches des passagers. Depuis l'Allemagne: 0800.11.33.55.77, depuis l'Espagne: 902.400.012.

 

14h10

Selon le site flightaware.com, l'avion était à 10h27 à son altitude de croisière. A 10h30 il a commencé à perdre de l'altitude, à la vitesse de 1.000 mètres par minute jusqu'à 10h38

 

14h05

Témoignage visuel de Sébastien, rapporté par BFMTV: "Quand je l'ai vu, j'ai compris qu'il allait se crasher (...). Il n'y avait pas de fumée, rien de spécial. Je l'ai vu 30 secondes, une minute, avant l'accident".

 

14h02

Très montagneuse, isolée et actuellement enneigée, la zone du crash (sur la commune de Méolans-Revel, dans les Alpes-de-Haute-Provence) est difficilement accessible. Les secours parlent ainsi d'une marche de deux ou trois heures pour parvenir à l'endroit où l'A320 de la GermanWings s'est écrasé avec 150 personnes à son bord (dernier bilan, et non 148 comme annoncé dans un premier temps).

 

13h56

Fabrice, un témoin, raconte à RTL: "l'avion est passé à basse attitude (...). Là maintenant, ça fait une demi-heure/trois quart d'heure qu'il y a sans cesse des voitures de police, la gendarmerie, les pompiers, la préfecture qui montent (…). C'est vrai que l'avion était particulièrement bas...".

 

13h55

Le roi d'Espagne Felipe VI et le président François Hollande interviennent en direct sur le perron de l'Elysée. "L’Espagne remercie la France pour sa mobilisation à se rendre sur les lieux", dit le souverain espagnol. "Il y a un très grand nombre de citoyens espagnols, allemands et turcs. (…) Après en avoir discuté avec le président de la République et le Président du gouvernement Mariano Rajoy, nous avons décidé d’annuler le déplacement en France".

François Hollande se son côté a rappelé qu'"un accident terrible vient de produire. L’avion s’est écrasé dans des circonstances qui ne sont pas encore éclaircies. (…) Il y a des victimes de nationalité allemande, espagnole et turque. Il n’y aurait pas de victime française, mais je n’en ai pas la certitude".

A propos de l'annulation de la visite d'Etat du roi d'Espagne en France, "je comprends la décision que le roi vient d’annoncer", a dit le chef de l'Etat. "Je veux lui signifier que tous les moyens seront mis en place pour éclaircir les circonstances de cet accident. (…) J’ai eu à l’instant une conversation avec la Chancelière allemande Angela Merkel qui est particulièrement éprouvée. A 15h30, nous irons au ministère de l’Intérieur. Manuel Valls nous recevra pour faire le point sur les circonstances de la tragédie".

 

13h50

Lors d'une conférence de presse, le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy précise avoir téléphoné à son homologue allemande Angela Merkel. "J'ai également discuté avec le roi", actuellement en visite d'Etat en France, a-t-il dit. "Nous ferons tout notre possible pour aider les victimes".

 

13h49

Oliver Wagner, dirigeant de la compagnie GermanWings, corrige le bilan. Selon lui, il y avait 150 personnes (et non 148) à bord de l'avion: 144 passagers et 6 membres d'équipage.

 

13h45

François Hollande, intervenant à l'Elysée aux côtés du roi d'Espagne, déclare qu'il n'y aurait a priori aucune victime française dans le crash, une information encore au conditionnel.

 

13h30

La chancelière allemande Angela Merkel s'est dite "bouleversée" l'accident et s'est entretenue au téléphone avec François Hollande. Le ministre allemand des Transports Alexander Dobrindt et l'ambassadrice d'Allemagne à Paris sont en route pour se rendre sur les lieux de l'accident.

 

13h20

D'importants moyens ont été déployés par les pouvoirs publics français sur le lieux de la catastrophe: 210 gendarmes mobiles (trois escadrons), 240 pompiers ont été envoyés sur place. Des experts scientifiques de la gendarmerie sont également partis sur les lieux.

 

13h15

Une délégation gouvernementale va se rendre sur les lieux du crash de l'A320 de la GermanWings. La ministre de l'écologie Ségolène Royal, le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve rendront compte sur place au Premier ministre Manuel Valls.

 

13h00

Les autorités ont déclenché les plans de secours Orsec et Sater. Le premier concerne les catastrophes, le second s'occupe des sauvetages aéroterrestres. Tous deux sont pilotés par le ministère de l'Intérieur depuis la cellule de crise mise en place.

 

12h50

Le vol 4U9525 de la GermanWings ralliait Barcelone (Espagne), d'où il a décollé à 10h01, à Düsseldorf (Allemagne), sans escale, où il devait arriver à 11h55. Il s'est écrasé vers 10h50 dans la région de Digne-les-Bains, dans les Alpes-de-Haute-Provence, sur le massif des Trois Evêchés à une altitude d'environ environ 2.700 mètres.

 

12h50

Déclaration de Carsten Spohr, PDG de la Lufthansa, compagnie mère de GermanWings: "Nous ne savons pas encore ce qui est arrivé au vol 4U9525. Ma plus sincère compassion va aux familles et amis de nos passagers et de notre équipage. Si nos craintes se confirment, ce sera une journée noire pour Lufthansa. Nous espérons trouver des survivants".

 

12h40

"Ce que nous savons pour l'instant, c'est que cet avion qui faisait la liaison Barcelone-Düsseldorf a donné un signal de détresse à 10h47, à un moment où il était déjà à une altitude très préoccupante de 5.000 pieds (environ 1.500 mètres, ce qui est très peu, NDLR)", a déclaré le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies.

"Ensuite, cet avion s'est écrasé près de la commune de Prads. L'avion a été repéré. Il s'est écrasé dans un endroit qui est inaccessible par la route", a précisé Alain Vidalies qui a ajouté: "personne n'a pu aboutir auprès de l'avion à l'heure où on parle (…), le survol en hélicoptère a permis de voir la carcasse de l'avions et quelques corps autour de l'avion".

 

12h10

Première réaction de François Hollande: "Les conditions de l'accident (...) laissent penser qu'il n'y aurait aucun survivant", déclare le chef de l'Etat, qui a présenté ses premières condoléances aux familles des victimes. "L'accident s'est produit dans une zone particulièrement difficile d'accès".

"C'est un deuil que nous devons éprouver car le crash s'est produit sur notre sol. Je ne sais pas s'il y a des habitations concernées, nous le saurons dans les heures prochaines", a poursuivi François Hollande. "C'est une nouvelle tragédie aérienne. (...) J'ai la volonté de savoir s'il n'y aurait pas d'autres conséquences de l'accident".

"Dans l'attente, c'est d'abord la solidarité qui doit être notre premier sentiment", a-t-il conclu.

L'avion assurant la liaison entre l'Espagne et l'Allemagne, François Hollande a indiqué en outre qu'il resterait en contact avec la Chancelière allemande Angela Merkel et avec le roi d'Espagne Felipe VI, qui se trouve justement en visite officielle en France.

 

12h05

"Nous craignons qu'ils soient tous décédés, vu les conditions de ce crash", annonce le Premier ministre Manuel Valls, un bilan tragique confirmé par le conseil général des Alpes-de-Haute-Provence. La cellule interministérielle de crise a été activée par le Premier ministre.

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a également annoncé qu'il se rendait dès à présent sur place. Les secours auraient déjà retrouvé des débris de l'appareil dans la région de Barcelonnette, près de Digne-les-Bains.

 

12h

Ce pourrait être l'une des pires catastrophes aériennes en France depuis plusieurs années. Un Airbus A320 de la compagnie aérienne low-cost GermanWings, filiale de Lufthansa, s'est écrasé ce mardi matin dans la région de Digne-les-Bains, entre Nice et Grenoble, dans les Alpes-de-Haute-Provence, selon une information dévoilée par le journal local La Provence et confirmée par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC).

L'appareil, qui assurait le vol 4U9525 entre Barcelone (Espagne) et Düsseldorf (Allemagne),  transportait 142 passagers et 6 membres d'équipage. L'avion a lancé un appel de détresse à 10h47.

L'accident est survenu dans la région montagneuse du massif de l'Estrop, à une trentaine de kilomètres au nord-est de Digne-les-Bains. Sur place, selon les relevés de Météo France, les conditions climatiques étaient pluvieuses sans être particulièrement dégradées.

 

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