Des scientifiques s’alarment de leur découverte sur les vaccins ARNm
Préoccupations alarmantes chez les scientifiques à propos des vaccins à ARNm contre la Covid-19 de Pfizer et Moderna. Kevin McKernan généticien de renommée internationale, a accidentellement découvert en étudiant certains échantillons que ces vaccins contenaient des fragments d'ADN plasmidique.
Une contamination qui se révèle très largement au-delà des normes établies par les agences de réglementation dont que l'Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA), de 18 à 70 fois supérieure à la limite légale selon Spectator.
De plus, à la vue de ces recherches, McKernan a notamment été alarmé de constater la présence d'un promoteur de l’expression du gène SV40 (Simian Virus 40). Ce promoteur est généralement utilisé pour introduire de l'ADN dans le noyau des cellules, le plus souvent dans le cadre de thérapies géniques. Les agences réglementaires affirmaient pourtant que cela était de l’ordre de l’impossible avec ce type de vaccins.
Le Dr. Phillip Buckhaults, Spécialiste en génomique du cancer, comme d’autres experts, expriment leurs craintes quant à l'impact potentiel de cette contamination d'ADN sur le génome des personnes vaccinées. Ils partagent une forte inquiétude que cette contamination entraine des maladies auto-immunes, voire des cancers, aux conséquences potentielles sur des générations. Le Dr Buckhaults a déclaré lors d'une audience au Sénat de Caroline du Sud
"Il existe un risque très réel que les fragments d'ADN contaminants s'intègrent au génome d'une personne et deviennent un "élément permanent de la cellule."
Ces craintes ont engendré des appels de chercheurs en faveur de recherches urgentes pour déterminer si la contamination d'ADN persiste dans les cellules des personnes vaccinées et si le génome humain a été modifié de manière définitive par les vaccins à ARNm.
De plus, l'affaire a soulevé des questions sur la réglementation des vaccins à ARNm en Australie, où l'Administration des produits thérapeutiques (TGA) déclare que les vaccins Covid ne peuvent altérer l'ADN humain. Toutefois, sur le plan juridique, un recours a été intenté contestant cette position, tout en affirmant que la contamination d'ADN constitue un organisme génétiquement modifié (OGM) et ce en vertu de la loi sur la technologie génétique de l’année 2000. Le Dr. Julian Fidge, plaignant dans cette affaire, souhaite obtenir une injonction contre Pfizer et Moderna pour distribution de vaccins sans la licence requise de la part de l'Office du régulateur de la technologie génétique (OGTR), l'organisme de réglementation des OGM.
Par ailleurs, d’autres préoccupations concerne l'ARNm lui-même, et son enveloppe de nanoparticules lipidiques (LNP) dans le vaccin. Il est plus que vraisemblable que ce complexe ARNm LNP modifié entre également dans la définition légale d'un OGM et a la capacité de pénétrer dans le noyau cellulaire et de s'intégrer dans le génome humain.
Tous ces questionnements ont motivé moult débats sur la sécurité et la réglementation des vaccins à ARNm, et révèlent une nécessité quant à des recherches supplémentaires pour évaluer les risques sur la santé des personnes vaccinées.
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