"Tout ce qui ne se conforme pas à l'opinion officielle est sanctionné" Epictetus

Epictetus, docteur en biologie canadien, a accepté de témoigner pour FranceSoir de manière anonyme dans le cadre de ce "Debriefing" sur la suppression de la parole scientifique qui contredit le narratif officiel dicté par le gouvernement sur le Covid-19. Un choix qui s’explique par la répression qui s’est abattue dans son pays, le Canada, depuis le début de l’épidémie.

Au Canada, comme dans de très nombreux pays du monde occidental, ceux qui étaient en désaccord avec le narratif officiel, en ont payé le prix fort. En premier, les médecins et scientifiques. Cette répression ou suppression a pris des formes différentes. Une forme directe avec les révocations, les suspensions ou les licenciements des personnes qui ont fait valoir un point de vue différent du récit autorisé.

Cependant, cette suppression a pu prendre également des formes plus subtiles et plus insidieuses. Ainsi, la restriction ou l'empêchement de la parole dans les assemblées professionnelles, la difficulté à publier dans les revues scientifiques, la suppression des subventions et l'effacement de la parole "dissidente" dans les grands médias, font partie des différentes modalités de contrôle plus ou moins attentatoires à la liberté d'expression, des procédés qui s'apparentent à des degrés divers à des formes de censure.

Une censure dont le biologiste attribue la majeure responsabilité au gouvernement canadien et à un Premier ministre qui n’a eu de cesse de diviser en ostracisant les personnes en désaccord avec le récit officiel, particulièrement sur la vaccination obligatoire ou encore sur les traitements précoces (ivermectine, hydroxychloroquine, vitamine D).