Très remontée, Nolwenn Leroy tacle Christine Angot et son argumentaire creux
Nolwenn Leroy n'est pas du genre à sortir de ses gonds facilement. Mais quand elle est vraiment touchée et énervée, elle sait employer des mots forts pour bien se faire comprendre.
Cette semaine, la chanteuse qui court les médias ces temps-ci pour faire la promotion de son nouvel album Gemme, est ainsi revenue dans le magazine Télé Loisirs sur son passage dans On n'est pas couché sur France 2 début septembre.
Lors de l'enregistrement de l'émission, Christine Angot -désormais connue pour ses prises de bec avec tous les invités, qu'ils soient politiques, artistes ou autres- avait vivement critiqué Nolwenn Leroy, trop droite pour elle. Elle lui a en effet reproché son "petit côté moral" et avait trouvé son album trop "formaté".
La chroniqueuse de Laurent Ruquier avait même dit "je n'aime pas Céline Dion, mais Céline Dion elle est folle. Alors c'est quand même intéressant. Il y a quelque chose".
Lire aussi: "Salut Les Terriens": Laurent Baffie soulève la jupe de Nolwenn Leroy, le CSA met le holà
Agacée, les yeux à demi-fermés pour bien faire comprendre qu'elle ne voyait pas du tout où son "adversaire" voulait en venir, Nolwenn Leroy avait répliqué: "Donc je ne suis pas assez folle, pas assez sulfureuse?"
Sans s'emporter, la chanteuse a à nouveau opposé son désaccord avec Christine Angot dans le magazine Télé Loisirs cette semaine. "Si j’écoute son raisonnement, je ne devrais parler que de ma petite personne. Contrairement à elle, je m’intéresse aux autres. J’essaie de mettre en lumière des causes qui me tiennent à cœur. Je n'ai pas compris ce qu'elle (me) reprochait", a ainsi déclaré la chanteuse bretonne.
"J’ai l’impression que personne ne saisit vraiment ce qu’elle raconte. À chaque interview, c’est l’énorme point d’interrogation. On se demande où elle veut en venir", a-t-elle aussi. Ajoutant ensuite: "J'aurais voulu avoir un échange plus construit, avec de vrais arguments". A bon entendeur…
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.