Nouveau scandale pour "TPMP" ? Des tweets "racistes" d'Agathe Auproux ressurgissent
C'est une nouvelle polémique qui risque de frapper l'émission Touche pas à mon poste de plein fouet alors que celle-ci a été sanctionnée mercredi 7 par le CSA à trois semaines sans publicité. Des internautes ont retrouvé d'anciens tweets d'Agathe Auproux, jeune chroniqueuse du programme. Des propos jugés "antisémites", "racistes" ou "homophobes".
Ces publications remontent aux années 2011, 2012 et 2013, alors que la jeune femme, atout charme de l'émission, n'était pas encore connue. A cette époque, Twitter était encore un réseaux social assez "confidentiel". Elle y écrivait par exemple: "bon et en attendant, avec Hitler, on dira ce qu'on voudra, mais y avait pas de chômage", "j'aimerai Justin (Timberlake) même si il était noir" ou encore "les pauvres prenez une douche avant d'aller au musée svp merci d'avance putain".
antisemite, homophobe, raciste, vous comptez prendre des mesures contre @agatheauproux ? @C8TV @Cyrilhanouna @canalplus @PierreMenes pic.twitter.com/nIn3YBG7zL
— MédiasTeur (@LeMediasTeur) 7 juin 2017
Des propos qui ont choqué bon nombre d'internautes. Cependant certains ont pris le parti de la jeune journaliste en expliquant qu'Agathe Auproux faisait des blagues au second degré.
La chroniqueuse a expliqué mardi 6 s'être fait pirater, mais l'argument ne tient pas pour certains internautes qui ne veulent pas croire qu'elle ne s'était jamais rendue compte de ce hacking survenu alors qu'elle n'était pas encore médiatisée.
281 tweets supprimés entre 21h20 et 22h34... @agatheauproux pic.twitter.com/Fsfe7ZpIEU
— Milan Argelas (@milanargelas) 8 juin 2017
Des utilisateurs de Twitter se sont aussi aperçus que la jeune femme avait supprimé un très grand nombre de tweets dès lors que certaines de ses publications avaient commencé à être pointées du doigt jeudi 8.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.