Floride : Céline Dion a (enfin) vendu sa villa malgré une grosse perte (vidéo)
En vente depuis quatre ans, la villa de Céline Dion en Floride avait du mal à trouver preneur. Mais la chanteuse a enfin réussi à la vendre pour la somme de 38,5 millions de dollars (35,4 millions d'euros) alors qu'elle en demandait au départ 72,5 (66 millions d'euros). Selon les informations de Montreal Gazette, c'est un acheteur américain (dont le nom a été gardé secret) qui s'est décidé à acheter la somptueuse demeure baptisée "Jupiter Island". L'acquisition a eu lieu dans la semaine du 17 avril.
La propriété, construite par Céline Dion et René Angélil en 2010 et mise en vente en août 2013, fait 22.000 mètres carrés de terrain et compte une résidence principale, cinq pavillons individuels, un court de tennis, une salle de gym, trois piscines, un théâtre, une simulateur de golf, un parc aquatique de 1.900.000 litres d'eau et une plage privée de 100 mètres située dans la propriété. Mais malgré la beauté et la superficie de la demeure, la star avait été obligée de la brader en mars 2016, faute d'acquéreur.
L'interprète de My Heart Will Go On avait ainsi baissé son prix de vente, annonçant qu'il fallait débourser 45,5 millions de dollars (41 millions d'euros) pour acheter sa villa, contre 72,5 millions auparavant (66 millions d'euros). Soit une baisse de 27 millions de dollars (une réduction de près de 40%). Et pour parvenir à la vendre rapidement suite à la mort de René Angélil, elle avait même changé d'agent immobilier, s'offrant les services de Fenton Lang Bruner & Associates. Mais à son grand désarroi, personne ne s'était décidé à sauter le pas pour cette somme là, obligeant la star à la vendre un peu moins cher.
D'après l’agent immobilier spécialiste du luxe Cara Ameer, qui s'était exprimé au site Realtor, le coût de fonctionnement de la demeure (services de ménages, entretien des jardins et des piscines, surveillance du domaine, etc.) posait problème pour l'acquisition. "C’est beaucoup trop personnalisé et cela coûtera une fortune au nouvel acquéreur en termes de personnel pour faire tourner correctement le domaine", avait-il expliqué. Et d'ajouter: "il n’existe que très peu d’acheteurs potentiels pour ce genre de bien extrêmement luxueux".
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