Un monde sous ivermectine, essai d’anticipation
Dans un nouvel article paru sur le site de l’AIMSIB (Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante), les Docteurs Vincent Reliquet et Eric Menat nous présentent leur analyse sur la thérapie à base d’ivermectine contre la Covid-19. C’est un article complet qui vient après celui de Capital et les divers articles que l’on peut trouver sur le site de FranceSoir ou du docteur Maudrux. Etant donné l’importance de ce traitement nous le reproduisons.
Ce 21 mars nous reproduisions l’article de Capital pour saluer le fait qu’un média dit mainstream s’intéressait enfin à ce traitement.
Au Japon, le Pr Omura, prix Nobel de médecine et qui a découvert l’ivermectine a fait une déclaration « urgeant les autorités à donner une recommandation d’usage pour ce traitement ». Ce professeur hors norme nous a répondu :
« La problématique n’est pas nécessairement reliée à la science, et je ne suis pas en mesure d’accepter les demandes d’entrevues pour le moment, car je ne voudrais pas que ma position influence la décision au Japon. » Il a rajouté : « le Dr Yagisawa de notre groupe est responsable des communications concernant la situation actuelle au Japon. »
L’AIMSIB ne vous propose pas d’essayer une nouvelle drogue à la mode, mais de vous projeter dans un monde parallèle. Face à la théorie inéluctablement vouée à l’échec du « tout-vaccin » qui nie par nature l’existence même des traitements préventifs et curatifs, imaginons quelques secondes que l’ANSM attribue en fin de mois une RTU( 1) à l’ivermectine en traitement de la Covid-19. Que se passerait-il alors en France ? Quelques éléments de réponse dans cet article rédigé par les Docteurs Vincent Reliquet (2) et Éric Ménat (3), propre à pouvoir nous apporter un retour incroyablement rapide vers la vie normale. Bonne lecture.
Introduction
Notre propos consiste à imaginer ce que deviendrait la France (et le monde) si l’ANSM attribuait en cette fin de mois une RTU à l’Ivermectine. Rêvons plus fort : Et si dans un bel ensemble la HAS, la DGS voire l’Académie de Médecine édictaient toutes la même recommandation, traiter précocement tous les malades fragiles avec cette molécule sans danger…
Naturellement rien ne doit changer quant à une supplémentation systématique en vitamine D3 de toute la population en fonction de sa non-exposition aux UV du soleil.
On sortirait alors immédiatement du concept de solution vaccinale seule salvatrice, ce mythe infernal ayant cours partout à ce jour. Au lieu d’attendre qu’on arrive « enfin » à vacciner 40 millions de Français, de s’empêtrer dans un passeport sanitaire qui ne changera ni la vie de la population ni l’évolution de l’épidémie, au lieu de rester répétitivement cloitrés des mois encore en attendant que ces décisions politiques puissent un jour être efficaces,
« nous pourrions nous libérer quasi-immédiatement de cette somme de brimades invraisemblables et retrouver le cours habituel de nos vies. »
Notre raisonnement part d’un constat simplissime : Cette maladie peut aussi se prendre en charge… par la thérapeutique. Désolés si nos propos sont susceptibles d’affoler les vaccino-obsédés et les milieux financiers internationaux, car en plus le médicament que nous proposons ne coûte pas grand-chose.
Oublier le principe de la vaccination salvatrice
On a bien compris le concept du « tout vaccin anti-Covid » actuel, il s’agit de vacciner préventivement la population la plus large possible (patients très fragiles, enfants et femmes enceintes inclus) avec un « produit » dont le rapport bénéfice/risque est très loin d’être bien évalué et dont on peut penser que la supposée efficacité ne peut guère durer plus de quelques semaines vue la rapidité d’apparition des variants résistants.
Cette pseudo-solution nécessitera d’imposer des rappels vaccinaux semestriels à tous (4), le graal absolu pour leurs fabricants, mais est-ce une solution humainement raisonnable et scientifiquement valide ?
En effet, tous les vaccins actuellement mis sur le marché visent à créer des anticorps dirigés contre une composante particulière du Sars-CoV-2, la protéine Spike, présente sur le virus apparu fin 2019 à Wuhan. Or, il n’échappe à personne que 18 mois plus tard le SARS-CoV-2 initial a déjà considérablement muté en une multitude de variants différents. Pour ceux qui en doutent, nous vous conseillons chaudement le visionnage en temps réel du site nextstrain.org dont voici une des illustrations les plus éclairantes :
Figure 1 : Évolution phylogénétique de SARS-CoV-2 réalisée à partir de 3847 analyses génomiques proposées à l’étude (à g.) et leurs distributions proportionnelles dans le monde à partir de décembre 2019-janvier 2021 (à d.). Les clades représentent des génotypes, ou sous-groupes, ici de 19A à 20J. Tous ces virus sont d’inégales agressivités comme de contagiosités. Certains disparaitront rapidement, certains formeront de nouveaux clades, jusqu’à extinction possible de l’ensemble des CoV-2 si aucune pression de sélection (certains vaccins, par exemple) ne les aide à devenir plus résistants à l’avenir.
Tous les virologues objectifs nous expliquent qu’il suffit de contraindre un coronavirus par la vaccination pour que celui-ci mute encore plus inexorablement et finisse par être résistant au vaccin. Que les sceptiques se penchent sur la mésaventure des pays qui ont testé le vaccin AstraZeneca pendant leurs phases préindustrielles : Ils ont tous, USA (Ohio), Brésil (Manaus), Afrique du Sud, Angleterre et Japon vu apparaître un variant plus ou moins résistant à la vaccination (5)(6).
Bien peu de journalistes viennent nous informer de l’apparition inexorable de variants particulièrement inquiétants, tel que le B.1.525 encore appelé un temps « le virus écossais » (7) et qui pourrait présenter la particularité d’avoir tellement varié qu’aucun vaccin n’aurait plus la moindre efficacité antigénique contre sa protéine S mutée (8)… Et que penser du nouveau « variant breton » (9), tellement muté qu’il ne serait même pas reconnu par les tests RT-PCR actuels et qui aurait tué huit patients peut-être tous vaccinés anti-covid ?
On rappelle enfin ce que Jacques Testart, un scientifique pourtant bienveillant vis-à-vis de cette technique, a écrit au sujet des dangers majeurs encourus par le fait de vacciner une énorme partie de la population contre ce coronavirus en pleine période épidémique :
– « Alors l’argument responsabilisant « Si tu ne te fais pas vacciner, tu fais courir un risque aux autres » se retourne, en faisant de chaque vacciné un nouveau foyer potentiel ! Se vacciner, à coup sûr bénéfique pour soi, peut être irresponsable pour l’espèce…/… Le choix de ne pas se vacciner pourrait illustrer l’inversion de la responsabilité telle que définie par les injonctions officielles, au nom du souci des autres… » (10)
L’exemple israélien nous le rappelle sans cesse, malgré les messages télévisuels de liesse épidémiologique souhaitant nous faire conclure à l’inverse de la réalité objective : (11)
Figure 2: JHU, 02/03/2021
Au final, malgré une vaccination massive des populations les plus à risque, la mortalité générale en Israël ne se retrouve en rien améliorée par rapport aux pays qui ne vaccinent pas (Afrique du Sud) ou peu (Suède).
Le pronostic de la maladie avant et après l’ivermectine
Imaginez deux secondes : L’ANSM accepte une RTU pour la molécule dans les jours qui viennent. Cette « Recommandation Temporaire d’Utilisation » représenterait naturellement une forme de reconnaissance de la place de l’IVM dans la prise en charge de la Covid. Et TOUS les médecins traitants se trouveraient incités à l’utiliser chaque fois qu’apparaitrait un nouveau Covid symptomatique dans leurs consultations.
L’ivermectine est efficace quel que soit le variant. Il n’y a plus à craindre une nouvelle épidémie liée à un nouveau variant puisque tous ces virus sont empêchés de prolifération cellulaire par la molécule.
Et mieux encore : l’ivermectine ne favorise pas l’émergence de nouveaux variants. On peut donc espérer une meilleure maitrise de l’épidémie à moyen terme et donc sa disparition « naturelle » d’ici un an ce qui ne sera sûrement pas le cas si on continue à vacciner sans réserve comme on le fait actuellement.
Fini le « rentrez chez vous, prenez un Doliprane et appelez le 15 quand vous ne pourrez plus respirer. » Ne croyez surtout pas que nous caricaturons la position du Ministère français de la Santé, voici ce que les nouveaux « cas » reçoivent toujours dans leurs boites mail cette semaine 11, un an après le début de cette maladie il n’est toujours pas expressément demandé aux médecins de traiter précocement leurs malades :
L’écrasante majorité des malades serait rapidement soulagée de leurs symptômes et empêchée d’évoluer vers des formes graves de la maladie. D’après toutes les études internationales parues sur ce sujet on peut penser que le nombre de personnes nécessitant une hospitalisation serait divisé au moins par trois. (12)
Du coup, plus aucune surcharge hospitalière. Aucun besoin de déprogrammer des consultations ou des interventions, la pression exercée sur les soignants baisserait considérablement, la qualité globale des soins comme des pronostics augmenteraient significativement.
Naturellement, puisque les chiffres de saturation des réanimations conditionnent les contraintes sanitaires imposées par le gouvernement, on pourrait rapidement supprimer à peu près toutes les interdictions et ineptes obligations : Réouverture de tous les lieux culturels, les bars et restaurants, suppression immédiate du port des masques…
Un monde sous ivermectine, ce serait…
Un monde sous ivermectine c’est donc la fin des masques, partout, pour tous et en tout lieu, peu importe les contaminations des uns ou des autres si toutes les catégories de population (enfants, femmes enceintes, vieillards, immunodéprimés, etc…) peuvent être traités avec une efficacité absolue et sans le moindre danger. (13)
On rappelle à dessein les propositions de la Coordination Santé Libre (CSL) concernant le TAP (Traitement Ambulatoire Précoce) qui a tant fait hurler les défenseurs de la vaccination et des contraintes sanitaires sans limite :
Figure 3: Coordination Santé Libre, le TAP
Un monde sous ivermectine c’est aussi la liberté la plus absolue d’aller et de venir, de visite et de réunion, y compris dans toutes les EHPAD et autres centres gériatriques de par le monde.
Pour tous les patients à risques de présenter une forme grave comme certaines personnes en EHPAD on peut même envisager, d’après les études déjà réalisées (14) , un traitement préventif basé sur la prise hebdomadaire d’ivermectine puis, au fur et à mesure du recul de l’épidémie, évoluer vers une prise décadaire, bimensuelle puis l’arrêt de cette prévention puisque l’ivermectine marche parfaitement chez les personnes âgées contrairement à la vaccination qui est toujours moins efficiente chez les séniors et toute personne présentant une dépression immunitaire.
Un monde sous ivermectine c’est enfin la réouverture immédiate de tous les lieux de réunion, théâtres, stades, cinémas, restaurants, cafés, boites de nuit, qu’importe puisque la molécule n’oublie personne.
Dans un premier temps la pratique des tests de dépistage gratuits pourrait du coup être pérennisée si on encadre strictement la réalisation des RT-PCR à l’annonce du nombre de cycles, en cas de positivité de celle-ci.
Comprendre les niveaux de preuve liés à l’utilisation de l’ivermectine
Dès le 3 janvier 2021 l’AIMSIB avait publié un article complet relatant les résultats exceptionnels de cette vieille molécule antiparasitaire (15) puis une semaine plus tard l’association relayait le travail du Dr Gérard Maudrux (16), tout aussi favorable quant aux qualités sans faille de ce produit :
L’ivermectine (IVM) est utilisée dans de nombreux pays contre la Covid-19 et parfois même officiellement reconnue comme faisant partie du traitement de cette maladie. Evidemment, ce n’est pas le cas en France bien que l’IVM soit considérée comme un des produits les plus dénués d’effets secondaires et doté d’un seuil toxique positionné à des années-lumière de la dose thérapeutique.
L’interdiction systématique de toute thérapeutique anti-Covid, un an ininterrompu de corruption sanitaire
1- Souvenez-vous de l’exécution sommaire portée à l’hydroxychloroquine en Juin 2020, sur fond de fraude scientifique aussi écœurante que grossière. (17)
2- N’oublions surtout pas le sort qui a également été réservé aux travaux de recherche menés par l’Institut Pasteur de Lille, extraordinairement prometteurs autour d’une molécule ancienne, mais abandonnée depuis des lustres par les industriels, le clofoctol : L’administration sanitaire française a ruiné toute velléité de développement ultérieur du projet par ensevelissement de l’équipe sous des tonnes de tracasseries administratives inutiles . (18)
3- On rappelle que le remdesivir, molécule absolument inefficace contre la Covid-19 et abominablement hépato-néphrotoxique, a été éjecté de tous les protocoles thérapeutiques en vigueur dans les services hospitaliers libres de toute influence "Yazdanpanesque", se retrouve à nouveau qualifiée par l’EMA (19) « pour un usage étendu d’ici l’été 2021 ». (20)
4- L’ivermectine est démolie par son propre laboratoire, Merck™, mais il faut dire que celui-ci vient de signer un contrat très secret avec Johnson&Johnson™ pour une co-production de leurs vaccins anti-Covid. La revue « Prescrire », dont les relations avec la firme Merck™ sont de tout temps plus que troubles, a emboité le pas de la désinformation anti-ivermectine d’une manière absolument éhontée. (21)
On pensait sensément avoir touché le fond avec ces quatre lamentables histoires de corruption sanitaire, mais en la matière le fond est comme l’espace, infini et insondable.
5- Voici qu’on nous annonce aujourd’hui que le bamlavinimab des laboratoires Eli Lilly™, un anticorps monoclonal à usage hospitalier destiné à des formes non sévères de la Covid-19 (pourquoi hospitaliser ces patients alors ?), vient de recevoir une ATU (22) de l’ANSM. (23)
Comme décrit dans la définition de l’ATU cette autorisation donnée au bamlavinimab scelle probablement le destin de l’ivermectine, traitement curatif authentique, qui par définition ne pourra donc plus se faire reconnaître une RTU dans le traitement de la Covid-19 puisque l’ANSM s’évertue encore à promouvoir des molécules sans le moindre intérêt.
Peu importe que ce produit puisse générer de manière parfaitement assumée une foule de variants éventuellement abominablement pathogène.
La molécule est distribuée par le laboratoire pharmaceutique Lilly™, dont une des directrices se trouve être l’épouse d’un député LREM pendant que son fils est conseiller technique à l’Élysée, sa fille est cheffe du pôle santé auprès du Premier Ministre Castex et son gendre occupe le poste de Directeur de l’ARS d’Ile -de-France. (24)
Pour Xavier Bazin, journaliste scientifique absolument indépendant de toute influence des firmes pharmaceutiques, c’en est trop, il est temps de lancer la charge contre la corruption endémique qui ronge la crise du Covid depuis bientôt deux ans, sur ce thème (23) :
SCE, 10/03/2021, capt. écran
Pour Xavier la messe est dite, mieux vaut du dangereux bamlavinimab à 1000 euros la dose, que de la salvatrice ivermectine à quelques centimes…
Mais pire encore, vous devez savoir que si un médicament est reconnu pour le traitement préventif et curatif de la Covid-19, cela impliquerait automatiquement que toutes les AMM conditionnelles attribuées aux vaccins seraient retirées et renverraient les industriels à la fin de leurs périodes d’évaluation de phase III. Un manque à gagner énorme pour ceux qui commercialisent déjà leurs produits sans aucun risque financier à la clé.
Et que dire de tous les experts et décideurs qui ont refusé l’utilisation du TAP, que ce soit le protocole du Pr Raoult ou de l’Ivermectine ? Si nous avions raison dans notre démonstration, alors cela voudrait dire que ces gens auraient la mort de dizaines de milliers de Français sur la conscience. Sans parler de la situation socio-économique désastreuse dans laquelle ils ont mis le pays par leurs choix de ne pas traiter et d’attendre le vaccin comme le messie !
L’heure n’est absolument pas à la détente et à la recherche des solutions non vaccinales, mais plutôt à celle de la reprise en main de l’industrie sur les voix médicales discordantes françaises, comme le montre la rafale de convocations ordinales qui frappe les médecins français depuis quelques semaines. Les plus populaires sont réduits au silence médiatique forcé comme c’est le cas pour le Dr Gérard Maudrux, la publication de son blog hébergé par l’entreprise « Le Quotidien du Médecin » venant de se trouver brutalement interdite… (24)
Capt. écran
Se pourrait-il qu’un jour la presse indépendante s’intéresse un jour à l’ivermectine, comme le magazine « Capital » l’a proposé dans son édition du 19/03/2021? (25)
Conclusion
Croyez-vous que tous ces industriels, tous ces pseudo-experts, tous ces décideurs vont nous donner un jour la chance de traiter cette virose de manière aussi économe qu’intelligente et qu’ils accepteront de reconnaitre leurs torts, leur responsabilité et la perte de milliards d’euros issus de nos richesses nationales ?
Un monde sous ivermectine, nous le parions aujourd’hui, ne nous sera pas autorisé par l’ANSM car celle-ci détruirait de manière trop complète l’édifice bâti par l’industrie et leur tutelle directe, à qui elle a toujours obéi de manière aveugle et servile.
Un monde sous ivermectine, sans masque, sans entrave ni souffrance ne fait toujours pas partie des projets de nos dirigeants politiques mais demeurera longtemps réclamé avec l’énergie du désespoir par l’ensemble des habitants de notre planète.
Notes et sources:
(1) RTU ou Recommandation Temporaire d’Utilisation : « L’ANSM peut encadrer des prescriptions non conformes à l’autorisation de mise sur le marché (AMM), sous réserve qu’il existe un besoin thérapeutique et que le rapport bénéfice/risque du médicament soit présumé favorable, notamment à partir de données scientifiques publiées d’efficacité et de tolérance. Elle élabore à cette fin des Recommandations Temporaires d’Utilisation (RTU). Les RTU ont une durée maximale de 3 ans renouvelable. Leur objectif est de sécuriser l’utilisation des médicaments grâce à la mise en place d’un suivi des patients organisé par les laboratoires concernés ».
https://www.ansm.sante.fr/Activites/Recommandations-Temporaires-d-Utilisation-RTU/Les-Recommandations-Temporaires-d-Utilisation-Principes-generaux/(offset)/0
(2) Le Dr Vincent Reliquet est médecin généraliste, rédacteur en chef du site aimsib.org, membre de la Coordination Santé Libre intervenant pour elle auprès de la cellule « vaccin »
(3) Le Dr Eric Ménat est médecin généraliste, membre du Comité médical de l’aimsib, membre du Conseil Scientifique Indépendant élu par la Coordination Santé Libre, intervenant pour elle auprès de la cellule « TAP ».
(4) Israël: « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois » (B. Netanyahou, 01 mars 2021)
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1614593916-israel-nous-nous-preparons-au-scenario-pessimiste-selon-lequel-il-faudra-renouveler-les-vaccins-tous-les-six-mois-b-netanyahou
(5) https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/recherche-science/vaccins-arnm-le-variant-bresilien-7-fois-plus-resistant-la-neutralisation-des-anticorps-le-sud?xtor=EPR-4-%5BNL_weekend%5D-%5B20210320%5D&utm_content=20210320&utm_campaign=NL_weekend&utm_medium=newsletter&utm_source=qdm
(6) Layet M. “Les essais cliniques du vaccin AstraZeneca ont-ils provoqué l’apparition des variants ? », Nexus, n°133
(7) https://cov-lineages.org/global_report_B.1.525.html
(8) https://www.gov.uk/government/news/confirmed-cases-of-covid-19-variants-identified-in-uk
(9) https://www.egora.fr/actus-medicales/infectiologie/65787-covid-un-nouveau-variant-potentiellement-plus-difficilement#xtor=EPR-3-5[News_Best_Of_M%C3%A9decine]-20210321-[_1]
(10) https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/
(11) https://www.sante-corps-esprit.com/vacciner-contre-un-virus-qui-a-autant-de-variants-est-ce-une-folie/#sources
(12)a- L’ivermectine prévient la transmission et le développement de la maladie Covid19 chez les personnes exposées à des patients infectés (Carvallo, Hirsch, Psaltis, et al., 2020; Elgazzar et al., 2020; Priyamadhaba Behera et al., 2021; Bernigaud et al., 2021; Hellwig and Maia, 2021; Shouman et al., 2021).
b- L’ivermectine accélère la guérison et prévient la détérioration chez les patients présentant une maladie légère à modérée traitée tôt après les symptômes (Alam, Murshed, Bhiuyan, et al., 2020; Carvallo, Hirsch, and Farinella, 2020; Elgazzar et al., 2020; Gorial et al., 2020; Khan, M.S.I. et al., 2020; Morgenstern et al., 2020).
c- L’ivermectine accélère le rétablissement, permet d’éviter l’admission aux soins intensifs et réduit la mortalité des patients hospitalisés (Elgazzar et al., 2020; Hashim et al., 2020; Khan, M.S.I. et al., 2020; Niaee et al., 2020; Patel et al., 2020; Spoorthi and Sasank, 2020; Rajter et al., 2021).
d- L’ivermectine réduit la mortalité chez les patients atteints d’une forme grave de Covid19 (Elgazzar et al., 2020; Hashim et al., 2020; Rajter et al., 2021).
e- L’ivermectine entraîne des réductions frappantes des taux de létalité dans les régions où son utilisation est répandue (Chamie, 2020).
(13) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(14)a- 4 essais contrôlés randomisés (RCT) avec des réductions statistiquement significatives des taux de transmission, N=1238 patients (Elgazzar et al., 2020; Vallejos et al., 2020; Chahla, 2021; Shouman et al., 2021),
b- 7 essais contrôlés observationnels (OCT) avec des réductions statistiquement significatives des taux de transmission, N=5329 patients (Alam, Murshed, Gomes, et al., 2020; Carvallo, 2020; Carvallo, Hirsch, Psaltis, et al., 2020; Bernigaud et al., 2021; Hellwig and Maia, 2021; P Behera et al., 2021; Priyamadhaba Behera et al., 2021).
(15) https://www.aimsib.org/2021/01/03/covid-19-un-simple-changement-de-methode-et-cest-fini/
(16) https://www.aimsib.org/2021/01/10/ivermectine-dans-la-covid-de-la-parole-aux-actes/
(17) https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext
(18) https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-clofoctol-il-molecule-miracle-institut-pasteur-traitement-efficace-anti-covid-83743/
(19) EMA, European Medical Agency, Agence européenne des médicaments, Domenico Scarlattilaan 6, 1083 HS Amsterdam Pays-Bas. https://www.ema.europa.eu/en
(20) https://www.usinenouvelle.com/article/coronavirus-l-ema-va-evaluer-d-ici-l-ete-un-usage-etendu-du-remdesivir.N1063774
(21) https://www.prescrire.org/fr/203/1845/60820/0/PositionDetails.aspx
(22) ATU, Autorisation Temporaire d’Utilisation : « Les Autorisations Temporaires d’Utilisation (ATU) sont délivrées par l’ANSM dans les conditions suivantes : 1-les spécialités sont destinées à traiter, prévenir ou diagnostiquer des maladies graves ou rares. 2- il n’existe pas de traitement approprié disponible sur le marché. 3-leur efficacité et leur sécurité d’emploi sont présumées en l’état des connaissances scientifiques et la mise en oeuvre du traitement ne peut pas être différée ».
(23) https://www.sante-corps-esprit.com/big-pharma-est-en-train-denterrer-methodiquement-la-tres-efficace-ivermectine/#sources
(24) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/03/19/bienvenue/
(25) https://www.capital.fr/economie-politique/ivermectine-la-france-passe-t-elle-a-cote-dun-medicament-efficace-contre-la-covid-19-1397573
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