Sénatrices et sénateurs, vous ne pouvez voter sur des informations déloyales
Après une lettre au président de la République, ainsi qu'à la commission mixte paritaire pour l'avertir des risques des vaccins, ce jour, l’association BonSens.org a envoyé une lettre complète aux sénatrices et sénateurs : « suite à la publication sur le site du Sénat de l’exposé des motifs de la proposition de loi relative à l’obligation vaccinale pour tous, nous avons relevé de nombreuses erreurs que nous souhaitons corriger afin que l’ensemble des sénateurs et sénatrices aient des informations loyales en leur possession pour décider de leur vote. »
L’exposé sur le site du Sénat annonce ceci :
« C'est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :
- Protège sa propre santé et liberté mais aussi celles des autres ;
- Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;
- Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l'État d'aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;
- Évite le « glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale » pointé par la Défenseure des droits et l'extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;
- Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.
La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d'une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l'intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l'obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l'égalité face au « chacun pour soi », de la solidarité face à l'égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.»
Douze interrogations
L’association BonSens.org a voulu essayer de donner des informations plus précises et documentées aux sénatrices et sénateurs, dans un courrier de 24 pages et 12 chapitres que nous avons pu lire pour répondre aux principales questions et interrogations suivantes
- Est-ce-que la vaccination de tous « protège sa propre santé et liberté mais aussi celles des autres » ?
- Est-ce-que la vaccination obligatoire « correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques » ?
- Est-ce-que ces vaccins génétiques ont oui ou non en phase expérimentale ?
- Activités de pharmacovigilance supplémentaires en cours et prévue par l’EMA (Agence européenne du médicament)
- Pharmacovigilance Pfizer et FDA
- Risques détectés en pharmacovigilance de l’ANSM et risques identifiés par l’EMA
- Etudes scientifiques publiées sur les effets indésirables graves des vaccins génétiques
- Efficacité des vaccins a) durée de la protection et b) transmission du virus par les personnes vaccinées
- Sécurité des vaccins
- Focus sur la vaccination des mineurs
- Etude Epiphare : une auto-validation du ministre de la Santé
- Nous ne sommes pas « Anti-Vax » mais « Anti-Spike »
Dix assertions fondées sur des informations publiques ou « manquantes »
L’association écrit :
« Madame, Monsieur les Sénateurs, voilà les réelles données de la science, à travers divers éléments, publications scientifiques et documents de l’EMA et de la FDA. Et elles montrent plusieurs choses essentielles »
Les vaccins génétiques n’empêchent pas l’infection ni la transmission du virus
Les vaccins génétiques sont de moins en moins efficaces vis-à-vis des variants et notamment le Delta
Les vaccinés infectés par le virus le transmettent tout autant que les non-vaccinés
Les personnes qui ont déjà contracté le virus n’ont pas besoin de vaccin, et cela peut même présenter un plus grand risque d’effet indésirable grave pour elles.
Les pays les plus vaccinés ne sont pas ceux qui ont les meilleurs résultats en termes de contagion et en termes de décès, bien au contraire.
Les vaccins génétiques de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson sont toujours dans leur phase 3 expérimentale qui ne finiront que fin 2022 ou 2023 selon les produits.
Aucune donnée de sécurité n’existe pour les femmes enceintes, ni pour elles ni pour leur futur bébé.
Les données de sécurité pour les enfants de 12 à 15 ans sont très limitées et très insuffisantes pour imposer ce vaccin sans faire courir un risque inconsidéré à une population qui n’a aucun risque avec cette maladie.
Aucune étude de carcinogénicité, de génotoxicité ni de tératogénie n’ont été réalisées à ce jour, ce qui signifie qu’aucun fabricant ne peut écarter des effets indésirables délétères à moyen et long terme tel que des cancers, maladies auto-immunes ou détérioration du génome, et ce, de manière irréversible, ni même assurer que ces produits ne seront pas néfastes aux développements des fœtus.
Comme vous le savez, les fabricants se sont exonérés de toutes responsabilités.
Cette responsabilité incomberait donc à ceux qui imposeraient une vaccination obligatoire en cas d’effets indésirables graves inattendus.
Il est donc non seulement impensable de rendre ces vaccins génétiques obligatoires en l’état des connaissances actuelles d’un point de vue éthique, mais cela serait un risque considérable que vous feriez prendre à des populations en bonne santé pour une totale inefficacité sur la transmission du virus.
De plus, l’association invite les sénateurs à se prononcer sans aucun regret et en toute connaissance de cause :
- Contre la vaccination obligatoire pour qui que ce soit, y compris les soignants et autres professionnels, la vaccination devant être proposée qu’au cas par cas en accord avec le médecin traitant.
- Contre le Passe Sanitaire actuel qui – en l’état - n’empêche aucunement la circulation du virus (et même si les tests devenaient obligatoires pour tous y compris les vaccinés, cela n’empêcherait pas complètement la circulation virale, mais serait cependant plus efficace que l’actuelle mesure)
Et alerte sur deux points critiques, sur ce que l’association Bonsens.org appelle les informations déloyales, dont les membres de la représentation nationale sont victimes depuis plusieurs mois
- Le 12 juillet 2021 le président a annoncé le passe sanitaire et l'obligation vaccinale pour les soignants. Cette annonce reposait sur une étude Pasteur revue par le Comité Scientifique. Cette étude est soupçonnée d'être fausse (d’ailleurs elle a été depuis remplacée par une autre étude de ses auteurs) et elle a fait l'objet d'une Pplainte contre X pour faux, usage de faux, escroquerie et trafic d'influence déposée par l'association RéInfoLiberté, à laquelle BonSens s'est associée, défendue par l’avocat Me Ludovic Héringuez. L’enquête permettra de confirmer ou d’infirmer ces soupçons.
Voir aussi : "Une loi qui repose potentiellement sur un document faux" Vincent Pavan et Me Heringuez
- Par ailleurs, l’étude de la DREES qui annonçait un taux d’hospitalisés non-vaccinés de 85% a été totalement remise en cause au motif qu'il manquait 50% des décès dans l'analyse. La DREES l’a d’ailleurs reconnu lors d'un addendum le 10 septembre 2021. Le chiffre de 85% de non-vaccinés HOSPITALISÉS repris en chœur par tous et sur lequel s’appuyaient toutes les publicités gouvernementales était donc faux, la réalité étant largement inférieure, voire inversée. https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2021-09/2021-09-10%20-%20Addendum%20d%C3%A9c%C3%A8s.pdf
Conclusion
Dans sa conclusion, l’association précise que les sénatrices et sénateurs ne peuvent « pas continuer à prendre des décisions déraisonnées sur la base de fausses études réalisées par des gens ayant de nombreux liens/conflits d’intérêts. »
Elle demande un débat/enquête public entre la représentation nationale (sénateurs et députés) et des experts indépendants internationaux pour discuter de la stratégie vaccinale, des risques liés à la vaccination de masse et des stratégies de soin à mettre en œuvre, notamment en matière de traitements précoces. Et est prête à financer toutes les réunions et les enquêtes nécessaires étant en relation avec de nombreux experts indépendants, reconnus mondialement, disposés à prendre part dans ce débat pour aider la France à sortir de cette crise sanitaire.
Un des membres du bureau de l'association contacté ce jour explique :
Si ces vaccins génétiques* sont aussi efficaces qu’annoncé par le gouvernement et qu'ils sont dépourvus d'effets indésirables graves, le gouvernement ne devrait pas avoir de mal à fournir les données brutes pour un audit et les évoquer avec un panel d'experts indépendants.
Restaurer la confiance avec les Français, à l'aube d'un débat sur une obligation vaccinale ou une troisième dose, passe par cet audit indépendant qui devrait mettre au jour les éléments fondamentaux et factuels.
Courrier complet à retrouver sur le site de l'association BonSens.org
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