Le Covid-19 est-il une "arme biologique" ? Le Dr Richard Fleming appelle à la responsabilité pénale
Aux États-Unis, le Dr Richard Fleming persiste et signe, soutenant l'idée selon laquelle le SARS-CoV-2 serait une "arme biologique" créée en laboratoire. Le 15 mars, il s'est fendu d'un communiqué à destination des gouverneurs d'États américains qui refusent d’obtempérer aux différentes obligations vaccinales émanant du gouvernement fédéral. Un courriel formel dans lequel il a attaché un témoignage sous serment qui prend la forme d’une vidéo d'environ une heure. Cette dernière a été réalisée devant l’avocat Richard Stone et concerne la responsabilité pénale relative à la création d'armes biologiques et à l'actuelle campagne vaccinale.
Voir aussi : "C’est une arme biologique", Dr Richard Fleming retrace les incohérences autour du Covid-19
Vous avez dit "arme biologique" ? La thèse du Dr Richard Fleming :
Selon lui, les injections dites "anti-Covid" relèvent strictement — du point de vue des traités internationaux — de la catégorie des "armes biologiques". Il assure être certain à 99 % que le SARS-CoV-2 est une création de laboratoire provenant d’études sur les "gains de fonctions", et qu'il ne présente aucune utilité pour l'homme. Il explique qu'il n’existe aucun modèle animal connu et aucun autre coronavirus qui présente des inserts de séquences génétiques de type prion, comme on l'observe dans le cas du Covid-19. Pour le Dr Fleming, l’objectif poursuivi à travers ces recherches était double, et c'est ce qui aurait donné lieu à l'épidémie que l'on connait :
1. permettre la transmission de l’animal à l’homme
2. rendre le virus plus infectieux
Par ailleurs, le sénateur Ron Johnson a récemment présenté des données provenant de la Defense Medical Epidemiology Database. Depuis 2021 — soit l'entrée en vigueur de l'obligation vaccinale, au sein des forces armées américaines, l'on observe une augmentation des maladies suivantes :
Hypertension : + 2 181 %
Maladies du système nerveux : + 1 048 %
Néoplasmes malins de l'œsophage : + 894 % ; organes digestifs + 624 % ; glandes endocriniens dont thyroïde + 474 %
Sclérose en plaques : +680 %
Syndrome de Guillain-Barre : + 551 %
Cancer du sein : + 487 %
Démyélinisation : + 487 %
Infertilité (femmes) : + 472 %
Embolies pulmonaires : + 468 %
Migraines : + 452 %
Désordres ovariens : + 437 %
Cancer des testicules : + 369 %
Tachycardies : + 302 %
Une fois posé ce constat, le Dr Fleming pose une autre question : "Pourquoi répliquer la même séquence génétique pour la mettre dans un vaccin ?" Cela ne pouvait être fait qu'en parfaite connaissance de cause. Alors, une arme biologique, peut-être, mais dans quel but ? La question reste en suspens.
Cela étant, le Dr Richard Fleming se penche tout de même sur la question judiciaire.
La responsabilité pénale
La loi américaine, explique-t-il, a des particularités. Quiconque a fait le serment de servir le peuple dans une fonction officielle est tenu de se conformer à la Constitution, dont l’article 6 dispose que : "Tout traité signé sous l’autorité des États-Unis sera la loi suprême de ce pays". Ainsi, la violation du traité sur les armes biologiques (1975) par les acteurs concernés serait une violation de la Constitution, les rendant passibles de poursuites pour trahison.
Lire aussi : Des documents militaires contredisent le témoignage sous serment d’Anthony Fauci
Dans son communiqué, le Dr Fleming demande à ce que chaque gouverneur soumette à son ministre de la Justice respectif les documents qu’il a rédigés, et que ledit ministre entame les poursuites qui s’imposent contre les acteurs majeurs de la recherche "gain de fonction". Notons que le Dr Fleming, docteur en médecine, en physique et en droit, auteur de plusieurs centaines d’articles savants, est lui-même à l’origine d’une plainte devant la Cour pénale internationale à La Haye, alléguant la violation des statuts de Nuremberg et de différents traités internationaux.
Au cours de son explication, à aucun moment le Dr Fleming ne s'intéresse à la Chine. Il semble considérer que le laboratoire de Wuhan, où travaillait la collaboratrice chinoise d'Anthony Fauci agissait pour le compte du National Institute of Health, du département de la Défense des États-Unis. Le choix d'implantation en Chine, selon d'autres sources, permettrait de s'assurer d'un contrôle strict exercé sur les fuites d’informations en tout genre.
Le Dr Richard Fleming participera à une tournée nationale de conférences intitulées "Crimes contre l’humanité" afin d’informer la nation américaine de ses conclusions.
Notons que la question de la responsabilité est désormais soulevée tous azimuts : à l’encontre de la Commission européenne, de l’European Medecines Agency (cf. Me Renate Holzeisen) ; du Paul-Ehrlich Institut (cf. lettre ouverte d’Andreas Schöfbeck pour le BKK ProVita ; lettre des cinq professeurs de chimie et de physique au PEI publiée dans la Berliner Zeitung en mars 2022 ; contre les fabricants (recherche contrôle qualité normes ISO9001 du Dr Werner Bergholz ; poursuites de Me Thomas Renz aux États-Unis ; contre le département de la Défense des États-Unis, qui aurait semble-t-il fait disparaître les statistiques 2016-2020 afin d’entraver la comparaison avec l’explosion d’accidents post-vaccinaux dans les forces armées à partir de 2020 (déposition et lettres du sénateur Ron Johnson, janvier et février 2022 ; lettre ouverte au Sénat français sur l'analyse de la mortalité).
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