Paris : une étudiante violée en plein jour dans le métro

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La rédaction de FranceSoir.fr
Publié le 04 mars 2016 - 13:59
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Dans les escalators du métro parisien.
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©Lionel Bonaventure/AFP
Dans l'escalator du métro, en pleine journée, l'homme a baissé le pantalon de la jeune femme et l'a violée.
©Lionel Bonaventure/AFP
Une jeune étudiante américaine a été violée dans une station du métro parisien, mardi. En pleine journée, dans les escalators, l'homme a baissé le pantalon de la victime avant de lui imposer une pénétration digitale.

Le viol s'est déroulé en plein jour dans le métro. Une jeune étudiante américaine de 19 ans a été victime d'une "pénétration digitale", mardi 1er mars à la station Dupleix, dans le XVe arrondissement de Paris. Son agresseur a réussi à prendre la fuite, selon Metronews qui dévoile les faits.

Il était aux alentours de 10h30, mardi matin, lorsque la jeune femme a remarqué un individu qui la suivait dans les couloirs du métro. Celui-ci s'est ensuite positionné derrière elle alors qu'elle empruntait l'escalator, puis l'a agressée.

Le mode opératoire est violent: l'homme a ainsi baissé le pantalon de la jeune femme avant de lui imposer par la force une pénétration digitale. Au bout de quelques instants il aurait fini par relâcher son emprise et prendre la fuite, disparaissant en haut de l'escalier mécanique, tandis qu'une passante lui venait en aide, sans que l'on sache si cette dernière a assisté aux faits.

Très choquée, la jeune femme a ensuite été conduite à l'hôpital Saint-Joseph (XIVe arrondissement), tandis que des policiers s'attachaient à rechercher l'agresseur, sans succès. Pour autant, "l'enquête est prise très au sérieux" et "il n'y a pas de doutes sur la véracité des faits", ont précisé des sources proches de l'affaire citée par Metronews. Les images de vidéosurveillance du métro seraient ainsi notamment en cours d'exploitation.

La jeune victime a déposé plainte auprès de la préfecture de police de Paris et une enquête, confiée aux hommes de la Brigade des réseaux ferrés (BFR), a été ouverte. Ce vendredi matin, l'agresseur n'avait pas été interpellé.

 

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