Bénéfice - risque de la vaccination : les politiques vaccinales sont à revoir
NDLR [2 juillet] : Cette étude a été rétractée par le directeur de la publication de la revue Vaccines (et non les auteurs). Le motif invoqué pour la décision est que les données des effets secondaires enregistrées dans la base de pharmacovigilance néerlandaise ne peuvent pas être attribuées avec certitude à la vaccination. Il est cependant noté une suspicion de lien causal entre la vaccination et les effets secondaires. Notons aussi que les scientifiques ayant fait pression sur la revue ont pour beaucoup des affinités scientifiques avec la campagne de vaccination et des liens d'intérêts avec les professionnels associés. Nous avons demandé au Pr Walach de nous amener des precisions et communiquerons sa réaction.
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Une nouvelle étude sur les bénéfices/risques de la vaccination a été publiée hier 24 juin, menée conjointement par : l'Université des sciences médicales de Poznan, en Pologne ; le département de psychologie, Université de Witten/Herdecke, en Allemagne ; l'Institut des sciences de la santé Change, en Allemagne ; le département de radio-oncologie, Hôpital Leopoldina, en Allemagne ; l'Independent Data and Pattern Scientist, aux Pays-Bas.
Voir ici : la publication complète
Résumé de l'étude traduit en français :
Le manque de bénéfice clair de la vaccination devrait amener les gouvernements à repenser leurs politiques de vaccination.
La campagne de vaccination covid-19 bat son plein. Un sujet particulièrement critique attise les échauffourées : l’ouverture de la vaccination aux enfants, ayant entraîné une polémique importante. Cette campagne est soutenue par des spots publicitaires, de nombreuses communications et interventions des membres du gouvernement dans les médias, rivalisant d’incitations à aller se faire vacciner. Certains médecins ou scientifiques déplorent le fait de pousser au "zéro covid", l’obligation vaccinale pour les soignants, ou la recrudescence des cas, notamment dans les hôpitaux des pays ayant le plus vacciné - comme Israël ou le Royaume-Uni.
Ce jour, une nouvelle étude revue par les pairs et publiée dans le journal MDPI conclut donc que les bénéfices de la vaccination ne sont pas clairs et que cela devrait amener les gouvernements à repenser leurs politiques vaccinales, pourtant vantées depuis des mois par les ministres et médecins sur les médias "mainstream".
L’étude met en contexte le fait que les vaccins covid-19 ont fait l'objet d'examens accélérés, sans données de sécurité suffisantes. (NDLR : rappelons que les vaccins font l’objet d’une autorisation de mise sur le marché temporaire car conditionnelle). Les trois chercheurs auteurs Harald Walach, (Pologne), Rainer J. Klement (Allemagne) et Wouter Aukema (Allemagne) voulaient comparer les risques et les avantages.
Ils ont donc calculé le nombre de personnes à vacciner nécessaires afin d'éviter un décès (NNTV), à partir d'une grande étude de terrain israélienne. Après avoir accédé à la base de données des réactions indésirables aux médicaments (ADR) de l'Agence européenne des médicaments et du registre national néerlandais (lareb.nl), ils ont extrait le nombre de cas présentant des effets secondaires graves et le nombre de cas ayant des effets secondaires mortels.
Le résultat est sans appel, notamment pour le vaccin à ARNm commercialisé par Pfizer.
Pour éviter un cas covid-19, le nombre de personnes nécessaires à vacciner (NNTV) se situe entre 200 et 700,
Pour prévenir un décès, le NNTV se situe entre 9 000 et 50 000, avec intervalle de confiance à 95 %, avec 16 000 comme estimation la plus probable.
Le nombre de cas ayant subi des effets indésirables est de 700 pour 100 000 vaccinations et 16 effets secondaires graves pour 100 000 vaccinations.
Le nombre d'effets secondaires mortels est de 4,11/100 000 vaccinations.
Les auteurs concluent que pour trois décès évités par la vaccination, nous devons en accepter deux infligés par la vaccination. Et en tirent les conséquences directes que le manque de bénéfice clair devrait amener les gouvernements à repenser leur politique de vaccination.
Dans les derniers débriefings du Pr Peter McCullough et du Dr Pierre Kory aux États-Unis, ces médecins ont réaffirmé leur vision de la gestion d'une pandémie enmettant en avant les traitements précoces.
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