Pr Luc Montagnier au Défi de la vérité : "la vie utilise les virus pour faire de grandes choses"
Le 7 novembre prochain, France-Soir célèbrera ses 80 ans d’existence, marquant ainsi un jalon dans l’histoire du journalisme indépendant.
A l’aune de cet anniversaire, alors que la France est à la dérive, force est de constater que ce que nous publions depuis quelques années s’est avéré exacte, et les journalistes des médias mainstream de commencer à en parler, allant jusqu’à avouer que jusqu’à peu, il était impossible d’aborder certains sujets : au micro d’Eric Morillot, Christine Kelly se reconnaissait "une liberté d’expression à l’antenne, mais avouait son impossibilité d’évoquer les vaccins sur Cnews, ainsi que dans tout autre media". Récemment le Pr Delfraissy rappelait le fait qu’un médecin qui vous dit « qu'un médicament n'a pas d'effets secondaires est un menteur". Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction du JDD, soulignait que Youtube interdisait encore de dire que "le vaccin ne protégeait contre la transmission" sous peine de perdre de sa chaine. Marc Zuckerberg avouait avoir subit des pressions de l’administration Biden pour censurer les contenus de Meta. Et ce 2 octobre le Canard enchainé moquait une nouvelle étude fort peu crédible du nom de « Celle », assez largement diffusée dans les médias et qui appuyait encore sur l’origine naturelle du virus.
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A ce titre nous avons décidé de republier les vidéos et les articles les plus marquants de ces dernières années.
Aujourd’hui nous rendons hommage au professeur Montagnier, qui très rapidement avait à annoncé ses conclusions concernant l’analyse du Covid.
Le professeur Montagnier a de nouveau relevé le Défi de la vérité pour venir parler de ses recherches sur le génome humain et la transmission du coronavirus.
S'il pense "que nous avons [aujourd'hui] la capacité de nous auto-détruire" et se montre défavorable à l'utilisation des vaccins à ARNm, il insiste néanmoins sur le fait que les progrès scientifiques pourraient aussi nous "servir, dans le bon sens du terme". Dans le même temps, il se défend d'avoir dit que 10 à 25 % des personnes vaccinées allaient mourir, propos pour lesquels il a été vilipendé par la profession et par les médias.
Aujourd'hui, il travaille notamment en collaboration avec le mathématicien Jean-Claude Perez, liant ainsi la science "molle" de la santé humaine à la science "dure" des mathématiques. Ensemble, ils s'intéressent aux suites harmoniques que l'on peut trouver dans la nature, montrant par exemple que l'on retrouve la célèbre suite de Fibonacci dans les séquences ARN du coronavirus. Aussi, il montre par là qu'après "avoir été lâché dans la nature", le virus redevient un élément naturel. Ainsi, il répond aux mêmes lois que le reste et évolue en permanence, notamment du fait des campagnes de vaccination qui induisent l'apparition de variants résistants.
Par ailleurs, il revient sur des sujets tels que les bactéries des sols, le glyphosate ou encore le microbiote et son impact sur les développement viraux. Selon lui, on ne s'inquiète plus que pour notre génération, et plus pour celle d'après.
Il répond aux questions de Xavier Azalbert en soutenant qu'il "ne cherche pas la controverse, mais la vérité" :
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