Marie-Estelle Dupont alerte sur la propagande vaccinale : "la démocratie devient harcelante"
“Lorsque vous contrôlez la peur des gens, vous contrôlez leurs âmes”. Au micro d'André Bercoff, la psychologue Marie-Estelle Dupont cite Machiavel pour alerter sur la propagande vaccinale. Elle qui n'a jamais tenu le rôle d’un médecin qu'elle n'est pas, prend néanmoins son statut de psychologue clinicienne à cœur, et insiste sur cette notion de peur. L'État en serait-il volontairement l'instigateur ?
"Je ne suis plus en colère, je suis dans l’effroi...” appuie-t-elle en parlant de la gestion de crise sanitaire. Grande défenseure des enfants depuis le début de la crise sanitaire, Marie-Estelle Dupont revient à la charge pour souligner l'importance de l'interactivité sociale chez les jeunes, mais aussi et surtout pour mettre en avant des chiffres alarmants :
" Puisque l'on est dans un pays où l'on ne discute pas les chiffres, j'aimerais qu'on ne discute pas ce chiffre de 299 % d'augmentation des idées suicidaires, des tentatives de suicide et des suicides chez les ados. C'est absolument tragique. Ce n'est pas du sentimentalisme, du confort ou du divertissement dont je vous parle."
Cela étant, tout ceci est aussi valable pour les adultes. Le cerveau est bien fait ; lorsque la peur s'y installe, un signal d’alarme s’allume et l’on ne peut plus ni penser ni réfléchir. L’Homme devient instantanément régit par son instinct de survie, qui n'est pas propice à toutes situations. Ainsi, un survivalisme qui n'a pas lieu d'être mènerait à une société hygiéniste et sécuritaire, plus difficile à vivre.
Voir aussi : "Hors sujet de culpabiliser les êtres humains d’avoir des besoins et des désirs"
Vouloir lutter contre la propagation d’un virus, d'accord, mais nombreux sont ceux qui demandent à ce que chaque décision demeure proportionnée. Ainsi rappelle-t-elle : "le totalitarisme ce n’est pas seulement les Vietnamiens ou les talibans, mais lorsque l’État veut être total, veut être partout, en se déguisant au nom du bien. Mais quel bien ?! On les voit bien les dégâts collatéraux".
En d'autres termes, pour éviter de basculer définitivement vers un système très "moche", comme nous le fait voir la Première ministre de Nouvelle-Zélande, par exemple, il faudrait prendre conscience du risque que la peur puisse déshumaniser la société.
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