"La peste éolienne", Patrice Cahart alerte sur ces géants d'acier
« La peste éolienne », c’est ainsi que Patrice Cahart décrit cette solution à la question énergétique, en France, qu'il juge illusoire. Haut fonctionnaire à la retraite, il alerte aujourd'hui sur les problèmes que posent les éoliennes.
Revendiquant son indépendance, il les analyse d’un œil neutre, et selon lui, les décideurs écoutent trop souvent les « idéologues » qui rêvent d’une solution verte, mais les éoliennes ne sont pas si vertes que cela, défend-il. Elles ont non seulement un coût à la fabrication mais sous divers aspects, elles nécessitent, pour chaque nouveau parc éolien, l’installation d’une "usine à gaz", afin de compenser à la baisse de production de ces grands bâtiments dépassant parfois les 200 mètres.
Quelle est alors la solution ? Le nucléaire ? Produisant également des déchets dont on ne sait que faire, cela pose aussi question. Selon l’ancien inspecteur général des finances, ces centrales ne posent pas spécialement de problème de sécurité aujourd’hui, nous sommes loin d’avoir un cas comme Fukushima. Il n’y a pas de solution parfaite, mais « il y en a de meilleures que d’autres », explique-t-il. Les stations off-shore où l’on installe les éoliennes en mer, sont-elles la clé ?
Patrice Cahart a relevé "le défi de la vérité".
"La peste éolienne", aux éditions Hugo&Cie.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.