Pr Paul Trouillas, ses actions concernant le Plaquenil et le Rivotril
Debriefing du Pr. Paul Trouillas, médecin neurologue universitaire, essayiste politique et philosophe français, qui a porté plainte à plusieurs reprises dans la crise actuelle.
En parallèle à ses activités médicales, Paul Trouillas s’est consacré aux sciences humaines et au sentiment collectif français, politique et social, qui aboutira à la publication de "Le complexe de Marianne" en 1988 et de "De la démocratie sociale en France" en 2000.
Dans son interview Paul Trouillas nous parle de son évaluation de la gestion de la crise, du Plaquenil, du traitement réservé à nos ainés avec le décret Rivotril. Il nous explique les actions juridiques qu’il a entreprises avec son avocat et les revers qu’il a reçus sur sa première action en référé liberté auprès du Conseil d’Etat sur le Plaquenil (Hydroxychloroquine) et le Rivotril. Les actions courent toujours au fond.
Retrouvez son debriefing :
Avec son collectif de victimes du Rivotril, il fait appel aux témoignages de proches de victimes du Rivotril.
« Dans cette plainte, nous avons exposé que la publication des décrets n° 2020-360 du 28 mars 2020 et n° 2020-548 du 11 mai 2020 préconisaient le RIVOTRIL-Clonazepam injectable pour « la prise en charge » des patients atteints par le virus Covid-19 » et permettaient en réalité de perpétrer des euthanasies actives de ces personnes. En cela, il y avait violation des dispositions légales encadrant les conditions d’une sédation profonde jusqu'au décès. En particulier, les familles pouvaient ne pas être consultées.
La Cour de Justice de la République vient de nous informer que notre plainte n’est pas recevable malgré nos qualifications médicales et juridiques. Elle indique que « les plaignants ne justifient pas d’un lien avec les personnes qui seraient décédées dans les conditions exposées par la plainte ».
Ainsi, la CJR demande que nous représentions les ayants droits des malades de la Covid-19, victimes d’une sédation profonde et continue jusqu’au décès, suite à une injection de Rivotril.
Dès lors, pour que notre combat devant la CJR puisse continuer, nous appelons les familles de patients Covid-19 victimes d’une sédation profonde et continue jusqu’au décès, suite à une injection de Rivotril, à se faire connaître.
Nous pourrons ainsi les représenter et déposer une nouvelle plainte devant la Cour de Justice de la République.
N’hésitez pas à me contacter sur Messenger ou sur mon mail paul.trouillas@wanadoo.fr, ainsi que Maître Thomas Benages, via Facebook, si vous avez eu la douleur de perdre un proche, malade de la Covid-19, suite à une injection de Rivotril. »
L’association BonSens.org a fait aussi appel à témoignage auprès de ses membres. L’association propose à ses membres de partager leurs témoignages à l’adresse email suivante : rivotril@bonsens.org
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