Photo seins nus de Kate Middleton dans "Closer" : le magazine attend son jugement pour le cliché polémique
La famille royale britannique n'avait guère goûté le cliché. Ce mardi 3, le magazine Closer connaîtra sa sentence dans l'affaire des photos volés de Kate Middleton, qui apparaissait seins nus aux côtés de son époux (des clichés que l'on peut retrouver sur Twitter en cliquant ici), le prince Williams, lors de vacances en Provence en 2012.
Lors de l'audience, début mai, devant le tribunal correctionnel de Nanterre, Kate Middleton et son époux William, deuxième dans l'ordre de succession à la couronne britannique, avaient réclamé par la voix de leur avocat 1,5 million d'euros de dommages et intérêts, "choqués" par la diffusion de ces clichés. Dans une lettre lue à l'audience par son avocat, Me Jean Veil, le prince William avait dénoncé des faits "particulièrement douloureux car ils nous rappellent le harcèlement à l’origine du décès de ma mère, Diana", morte à Paris en 1997 après une course-poursuite avec des paparazzis.
Le procureur avait pour sa part requis des amendes "très significatives" contre deux représentants de Closer - Laurence Pieau, directrice de la rédaction, et Ernesto Mauri, directeur de publication - et contre deux photographes d'une agence parisienne soupçonnés d'avoir pris ces photos. Ils étaient poursuivis pour "atteinte à la vie privée" et "complicité".
Le couple princier avait obtenu rapidement de la justice civile française l’interdiction de la cession et de toute nouvelle diffusion des photos litigieuses, où la duchesse de Cambridge apparaissait sans haut de maillot de bain, et avait porté plainte.
A noter que le quotidien La Provence avait diffusé le même cliché mais cette fois-ci en maillot de bain pour Kate Middleton. La famille royale avait tout de même porté plainte. Pour cette image, l’accusation a requis des amendes avec sursis contre Marc Auburtin, alors directeur de publication du quotidien régional, et Valérie Suau, la photographe.
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