La vaccination contre le Covid-19 favorise-t-elle le développement du cancer ?
Au début de l’épidémie de coronavirus, les retards de diagnostics et de soins ont eu des conséquences dramatiques sur la pathologie du cancer. De l’aveu même du Dr Hans Kluge, directeur de l’OMS pour l'Europe, « la façon dont la pandémie retarde les soins aux personnes atteintes de cancer et crée des retards accumulés dans les services de santé, est une interaction mortelle ». Aujourd’hui, c’est la vaccination qui préoccupe certains médecins et biologistes. En effet, depuis plusieurs mois, plusieurs scientifiques tirent la sonnette d’alarme et mettent en garde contre les effets secondaires induits par ces thérapies géniques.
Les anomalies découvertes par le Dr Ute Kruger, anatomo-pathologiste
Experte dans le diagnostic du cancer du sein, le Dr Ute Kruger qui a occupé des fonctions très importantes en qualité de chef du service de pathologie à Växjö (Suède), exerce actuellement à l’hôpital de Kalmar, qui est en lien avec le département d’oncologie de l’université de Lund en Suède. Son travail d’anatomo-cyto-pathologiste – un nom souvent jugé trop compliqué et remplacé par le mot d’anapath et ou de pathogiste - consiste à établir un diagnostic de maladie à partir de prélèvements de cellules (frottis) ou de tissus (biopsies) dont elle analyse la structure microscopique des cellules qui les composent. Forte d’une longue expérience dans ce domaine, Ute Kruger est également médecin légiste, puisqu’elle réalise des autopsies.
Le 26 juillet 2022, interviewée par l’organisation Doctors For Covids Ethics, elle fait part des modifications qu’elle a constatées depuis 2021 dans les échantillons de tissus tumoraux dont les caractères histologiques et macroscopiques sont malins et en détaille les évolutions.
D’abord l’âge des personnes souffrant de cette pathologie qui a nettement reculé, avec une hausse très nette du nombre d’échantillons de tissus « malins » provenant de personnes âgées de 30 à 50 ans. Ensuite, la taille des tumeurs, qui a considérablement augmenté. Il était auparavant inhabituel de trouver une tumeur de 3 cm, explique le Dr Kruger. Or, depuis quelques mois, elle analyse régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm, 12 cm, voire plus, puisqu’elle a trouvé une tumeur de 16 cm qui prenait toute la place du sein chez une patiente. Elle a par ailleurs constaté de multiples lésions tumorales chez une même patiente, parfois sur deux seins ou sur plusieurs organes simultanément comme cela a été le cas chez une malade atteinte au sein, au pancréas et au poumon. Elle a également observé une augmentation du nombre de récidives chez des patients qui étaient en rémission depuis de nombreuses années. Des récidives particulièrement agressives et rapides qui se produisent peu de temps après la vaccination.
Prise au dépourvu, le Dr Kruger a d'abord pensé que ces « turbo-cancers », comme elle les appelle, étaient dus à des retards de diagnostics en raison de fermetures de services ou de cabinets médicaux au début de l’épidémie de coronavirus. Puis, elle a dû admettre que « la nature » de ces cancers était différente de tout ce qu’elle avait connu auparavant et que, par conséquent, les mesures sanitaires ne pouvaient pas en être les seules causes.
Les autopsies
À côté de l’analyse des anapathes, Ute Kruger procède à des autopsies. Depuis quelques mois, elle est régulièrement sollicitée pour une seconde autopsie afin de régler des différends entre les familles des personnes décédées, qui soupçonnent une cause de décès liée à la vaccination, et les médecins légistes, qui n’ont pas été en mesure d’établir un lien entre le décès et le vaccin lors de l’autopsie initiale. Pour étayer son propos, elle cite le cas de deux rapports d’autopsie. Pour le premier, un sexagénaire sous chimiothérapie, elle a établi une inflammation de la moelle épinière, du cerveau et des vaisseaux sanguins ainsi qu’un syndrome de Guillain-Barré, le tout apparu après ses deux injections de vaccin. Le second cas était une patiente de 80 ans paralysée un mois après la vaccination. Procédant à un examen interne du corps très minutieux, elle rend compte d’une hémorragie dans la moelle épinière près du cou, ce qu'elle n'avait jamais vu auparavant et observe au microscope une inflammation dans le vaisseau qui a provoqué la rupture et causé l'hémorragie. Elle découvre également des preuves de myocardites et de vascularite, notamment au niveau des poumons où elle observe une inflammation importante des vaisseaux.
Comment expliquer des conclusions différentes entre les deux expertises ? Ute Kruger a relevé trois problèmes majeurs liés à la manière dont les autopsies sont pratiquées. Tout d'abord, l’information sur les patients serait bâclée ; elle a personnellement rencontré plusieurs cas où les cliniciens avaient écrit dans le dossier préparatoire à l'autopsie que le patient n'avait pas été vacciné contre le Sars-CoV-2, alors qu'en réalité, dans le dossier médical du patient, il était inscrit qu'il l’était.
La seconde raison tiendrait à la nature même d’une autopsie type qui procède rarement à des examens histopathologiques approfondis des tissus afin de rechercher les lésions qui pourraient être causées par le vaccin comme les infiltrations de protéine Spike dans certains organes à l’origine de graves inflammations comme la myocardite (inflammation du muscle cardiaque).
Enfin, le manque de contextualisation et parfois le manque de sérieux, pourraient également être à l’origine de ces autopsies incomplètes.
Les mises en garde ignorées du Dr Kruger
Alarmée de ce qu’elle avait trouvé, le Dr Kruger tente d’alerter les autorités scientifiques. Elle décide de prendre contact avec certains hauts responsables de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis pour signaler les cas d'effet indésirables les plus préoccupants. Si certains membres du personnel ont au départ accepté de la rencontrer, ils ont tous finalement annulé le rendez-vous sans lui donner d’explication et ont envoyé un agent téléphonique pour prendre son rapport à la place.
Quelques mois auparavant, le Dr Kruger a été invitée à participer à un congrès médical en Allemagne pour présenter sa théorie selon laquelle la vaccination provoque des tumeurs agressives à la croissance très rapide. Afin de compléter ses recherches, elle a demandé de l’aide aux médecins présents à ce sommet pour collecter de nouvelles données et les partager avec elle. Cependant, parmi les médecins présents, peu ont répondu à l’appel.
Celle qui voit désormais la vaccination comme un déclencheur de pathologies inflammatoires termine l’interview en disant : « J'ai étudié la médecine parce que je voulais aider les gens. Mais maintenant, j'ai l'impression de regarder des gens se faire tuer et de ne rien pouvoir faire ».
L'alerte des scientifiques américains
Les constats d'Ute Kruger sont également partagés par de nombreux chercheurs dans le monde. Au cours d’une audition au Sénat américain intitulée « Covid-19 : Une seconde chance opinion », plusieurs scientifiques ont contredit le discours officiel pour offrir un point de vue différent sur l’épidémie de coronavirus et la réponse par la vaccination. L’occasion de faire un bilan de l’année 2021, année de la vaccination en population générale.
L’incidence du cancer a fait l’objet de plusieurs interventions dont celle de l’anatomo-pathologiste Ryan Cole venu témoigner de ce qu’il avait observé, mais également de ce que certains de ses collègues oncologues et radiologues lui avaient rapporté. Le rapport du Dr Cole est très similaire à celui du Dr Kruger : des patients dont les cancers étaient contrôlés connaissent à nouveau une progression rapide tandis que certaines pathologies présentent des formes étranges.
Étayant les propos du Dr Cole, la scientifique Theresa Parks a expliqué la dérégulation immunitaire que ces injections pourraient provoquer, notamment au niveau de la protéine P53, un anti-oncogène qui se lie à l’ADN pour favoriser l’expression de gènes réparant les dommages cellulaires. Cette protéine P53, dont le rôle est d’empêcher les cellules endommagées de se transformer en cellules cancéreuses, pourrait interagir avec la protéine Spike, et ne plus jouer son rôle de catalyseur de tumeur, notamment en induisant l’apoptose (suicide des cellules).
L’anticipation des pathologies induites par la protéine Spike virale ou vaccinale par le biologiste Jean-Marc Sabatier
Si les myocardites et les péricardites sont depuis quelques mois considérées comme des effets indésirables pouvant subvenir après la vaccination, les thérapies géniques par ARN messager élaborées par Pfizer / BioNTech ou Moderna ne sont toujours pas associées à une augmentation des risques de cancer, de maladies auto-immunes et de bien d’autres pathologies.
Pourtant, dès avril 2020, Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, comprend que le virus, en se fixant sur le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme conversion de l’angiotensine 2) par l’intermédiaire de sa protéine Spike, interfère avec un système hormonal complexe et ubiquitaire, appelé système rénine-angiotensine (SRA). Présent au niveau de tous les tissus, on le retrouve également au niveau des microbiotes intestinal, buccal et vaginal. Ce SRA pilote également l’immunité innée. En s’attaquant au SRA, le Sars-CoV-2 le rend dysfonctionnel, ce qui entraîne de possibles répercussions sur de très nombreux organes et tissus (le cerveau, le cœur, les poumons, la rate, le pancréas, le système vasculaire, le système auditif, les yeux, la peau, les intestins, les organes reproducteurs, etc.). Au niveau du SRA, le récepteur cellulaire AT1R qui contrôle diverses voies de signalisation au sein des cellules est le récepteur le plus impliqué dans les phénomènes immunitaires, inflammatoires et mnésique. Lorsqu’il est suractivé, celui-ci devient délétère, car il possède des propriétés pro-hypertensives, pro-inflammatoires, pro-oxydante, pro-thrombotique, pro-fibrosante, pro-hypertrophiante et pro-angiogénique.
Par cette découverte, Jean-Marc Sabatier comprend alors que le Sars-CoV-2 n’est pas le responsable direct des maladies Covid-19, mais que les maladies qui peuvent apparaître après l’infection résultent d’un dysfonctionnement du SRA. Un dysfonctionnement entraînant des pathologies dont il comprend qu’elles peuvent également être induites par la protéine Spike vaccinale.
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