11 septembre  : une date fétiche pour certains, un bien triste anniversaire pour le reste de l’humanité

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 11 septembre 2024 - 17:00
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11 septembre 2001
Crédits
France-Soir, Dargaud
11 septembre : une date fétiche pour certains, un bien triste anniversaire pour le reste de l’humanité
France-Soir, Dargaud

Pour qui le 11 septembre 2001 est une date fétiche ? C’est simple pour les membres de « la cabale » qui a le contrôle du monde occidental. Ces 0,000001 % de la population, environ, qui accaparent tous les pouvoirs, les patrons des trusts industriels et les dirigeants des organismes financiers qui « influencent » ou plutôt tirent les ficelles en coulisses, à la Bourse de Londres, de New-York notamment, mais pas que. Ces quelques dizaines d’individus au profit desquels sont menés (à leur initiative) les conflits et manœuvres dilatoires en tous genres qui mènent aux guerres, et font le malheur du reste de l’humanité.

France-Soir avait d'ailleurs titré sur le 11 septembre : « l'apocalypse ».
11 septembre 2001
 

Les attentats du 11 septembre 2001 sont, à la fois, le point de départ de la nouvelle ère de domination lancée à cette date par la cabale, et l’outil dont elle s’est servie à cette occasion.

Car des attentats, il y a bien eus Si ! Mais pas de la teneur qui a été « explicitée » au grand public, une teneur qui n’a absolument rien à voir avec la réalité. Les morts sont bien réels, eux, hélas. C’est l’unique élément où le narratif officiel colle à la réalité. Tout le reste n’est que mystifications et mensonges. Manipulation des esprits et ingénierie sociale à l’échelle planétaire. Combien sont restés mystifiés devant les images passées en boucle sur les télés du monde entier, de voir tout d’abord deux avions s’encastrer dans ce symbole que représentaient les deux tours du World Trade Center. Une image de l’impérialisme américain. À ne pas croire de leurs yeux que les deux tours s’effondrèrent sous leurs yeux en direct digne d’un film catastrophe hollywoodien. La réalité qui dépasse la fiction.

À tel point que ça pourrait presque être drôle. À savoir si les conséquences de cette pièce de théâtre n’étaient pas gravissimes à bien des niveaux. J’y reviens après. D’ici là, je vous laisse visionner cette vidéo :

C’est un résumé complet de la version officielle (occidentale) des attentats du 11 septembre 2001. Complet et fidèle. Car il s’agit d’une compilation exhaustive de tous les éléments d’affirmation avancés à ce sujet par les autorités américaines, comme étant la vérité... officielle.

Et, effectivement, présenté de la sorte, c’est drôle. Risible essentiellement pour deux raisons.

  • Première raison : l’aplomb phénoménal qu’ont ces personnes qui affirment haut et fort être la vérité, des mensonges manifestes aussi « hénaurmes » que soutenir (en mathématique) que deux plus deux ça fait non pas quatre, mais racine carrée de moins 17 divisée par l’infini (deux choses impossibles).
  • Et seconde raison : la confirmation que, dans cette matière, donc, de la manipulation des masses, ça, c'est la vérité : plus c’est gros, plus ça marche. Qu’il suffit pour cela de le faire répéter en boucle par les médias, et confirmer par des « experts », et, accessoirement (ça aide aussi beaucoup), forcer un peu la main au destin, pour ce qui est de faire disparaître « accidentellement », tant les preuves de la fausseté manifeste de la version officielle et des véritables mobiles du crime, que les personnes qui ont eux accès à ces preuves ! Celles qui pourraient en témoigner (extérieures ou non à la cabale), et celles qui ont fait le sale boulot. Bien fait pour ces dernières ! Pour elles au moins, la justice disons « divine » aura été appliquée. À savoir qu’ainsi punies par le diable (leur employeur pour ce forfait) qu’elles ont été, ces personnes sont mortes, comme il est dit dans la Bible, par où elles ont péché.

Autre vidéo digne d’intérêt, cette archive de l’INA :

 

En effet, elle relate le fait que le bombardier B-25 qui s'est écrasé sur l'Empire State Building, le 28 juillet 1945, n'a pas fait écrouler le bâtiment, lui. Un petit trou seulement au 79 -ème étage dont l’incendie sera maitrisé en une heure et la structure de l’édifice n’éyant pas été endommagée, il sera réparé.

28 juillet 1945 Empire state building

C'est la résultante, tout simplement, des lois de la physique. Un corps mou qui percute un corps dur est égal à « Vitesse X masse », soit la réaction d'une crêpe qui saute dans une poêle à frire. L'avion B-25, en aluminium, pesant 10 tonnes, s'écrase donc comme une crêpe sur le parement béton de la façade. Le trou sur la photo n'est autre que l'impact du moteur, car lui est bien en acier.

Le béton de la façade, lui, a une résistance de 30 kilos par cm³ en moyenne, soit 300 tonnes au m³. Le ferraillage augmente sa résistance de 50 %. Voilà pourquoi n'importe quel avion s'écrasera comme une crêpe sur une façade béton / acier. Dès lors, pour qu'un avion pénètre entièrement dans une façade d’immeuble, il faudrait qu'il soit constitué quasiment à 100 % d’acier, et compact comme une boule de pétanque. Il faudrait également qu'il pèse plus de 300 tonnes. Or, le plus gros des Boeing 747 pèse 214 tonnes à vide et un poids total au décollage de 440 tonnes, réservoirs de carburant pleins. Un simple calcul de résistance niveau CM2 est suffisant. L'inculture technique de l’immense majorité des personnes étant ce qu’elle est, l’impact médiatique créé autour de l’impact des avions contre les deux tours, lui, a pu être total.

Quant à l’impact modique qu’a eu, le 11 octobre 2006, le petit avion qui s'est écrasé contre la façade d'un immeuble d'habitation de New York, les autorités américaines et les médias ont expliqué que, s’il en est ainsi, c’est parce que, justement, suite aux attentats du 11 septembre 2001, les structures de tous les buildings américains ont été renforcées, notamment ce building précisément.

Impact d'un petit avion qui s'écrase dans un tour à New York

Si-si ! 

Voilà. Et outre le fait que, grâce aux attentats du 11 septembre, et aux mensonges de Colin Powell, le lobby américain du pétrole a pu légitimer l’invasion de l’Irak (un braquage « à l’américaine », c’est le cas de le dire, des richesses de ce pays, accompagné de sa destruction infrastructurelle, structurelle, politique, économique et culturelle, et avec aussi des centaines de milliers de morts), la cabale occidentale aura eu confirmation que, dès lors que tous les médias de propagande collaborent, c’est bon : ils peuvent faire avaler tout et n’importe quoi à la population. Et, tout particulièrement, leur arme de destruction massive principale : la peur.

Eh oui !

C’est par le truchement artificiel et scélérat de cette peur panique collective, entretenue sans relâche depuis le 11 septembre 2001 par les médias de propagande et les dirigeants, dans bien des domaines, que les politiciens occidentaux ont pu réduire les libertés publiques et privées de leurs populations, petit à petit, à un niveau proche de zéro où elles sont aujourd’hui pour la plupart. À tel point que les 10 critères du totalitarisme listés par Israël Charny et évoqués par Vincent Pavan dans son dernier ouvrage, « le totalitarisme en marche», sont presque remplis  - preuves et exemples à l’appui.

Quant à la censure féroce qui sévit en parallèle, c’est le verrou qui est posé sur la liberté d’expression par les dictateurs officiels et officieux, afin que les personnes éveillées perdent courage et patience. Ou pire ! Se retrouvent en prison, ou périssent dans des circonstances « accidentelles » pour le moins « bizarres », ou après un « suicide » assisté, à la Pierre Bérégovoy.

Il en est de même de l’organisation félonne qui dirige le bloc politique, économique et industriel, qui, officiellement, est opposé à l’Occident. Elle aussi, c'est par la peur panique collective permanente, pareillement institutionnalisée, une censure féroce et une répression hyper sévère, qu’elle a pu imposer à ses populations, l’application des mesures qui ont réduit les libertés à néant.

Sans le 11 septembre 2001, il aurait été nettement plus difficile à ces personnes sans foi ni loi, d’arriver à cette fin totalitariste. L’aboutissement en marche de ce « Parce que c’est notre projet ! » qui, en vérité, est commun à ces deux blocs soi-disant différents. Ces deux blocs prétendument opposés, qui, en réalité, sont les deux faces d’une seule et même pièce : la dictature planétaire, inextricable au terme échu, actuellement en cours de finalisation, que cette mafia criminelle veut imposer aux peuples du monde par cette entremise.

Elle le fait sous l’appellation officielle « Le Nouvel Ordre Mondial », à savoir en revendiquant désormais ouvertement ce caractère despotique, eugénique, belliqueux et destructeur. Ce n’est pas Nicolas Sarkozy qui dira le contraire. Ni François Hollande. Ni Jacques Attali.

Et bien sûr encore moins celui qui est la synthèse de ses deux prédécesseurs : Emmanuel Macron. À savoir celui que, lui qui était déjà le conseiller spécial de François Mitterrand en 1981, Jacques Attali a mis en selle en 2014, pour succéder à François Hollande en 2017. À plusieurs reprises, j'ai évoqué sa personnalité multiple et son comportement : Emmanuel Macron, le Bernard Madoff de la politique, The show must go on, pour décrire l’enfumage permanent, ainsi que des exemples plus complets de dissolution de promesses dans Macron et l’éducation Nationale : abracadabra ou plus récemment la grenade dégoupillée qu’il a jetée aux parlementaires avec la dissolution de l’Assemblée Nationale.

Idem, évidemment, le nouveau Premier Ministre qu’il lui a été suggéré de nommer : Michel Barnier. Membres éminents de l’opposition 100 % contrôlée et qui fait donc entièrement partie du système, qui ont hautement concouru en coulisses à cette nomination, Marine le Pen et Jean-Luc Mélenchon, de concert, confirment.

Le Sénateur Houpert rappelle cet événement et le chaos qui s'ensuivit dans un tweet :

Ce moment restera dans toutes les mémoires, comme un triste moment pour l’humanité, chacun d’entre nous se souvenant exactement du lieu où il se trouvait et de sa réaction. Pour ma part, j'étais à Dublin dans une salle de réunion quand un SMS me prévint qu’un avion s’était écrasé dans une des tours à New York avant que quelque 18 minutes plus tard, un autre SMS arrivait m’informant qu’un avion s’était écrasé dans la seconde tour.  Incrédule, ma première réaction fut : les opérateurs de Telecom envoient le même SMS deux fois…  Ça y est, la guerre à la liberté d'expression et à l'information était déclarée, laissant la place à de nombreuses interrogations sur les évènements du 11 septembre 2001.

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