Israël : le virus de la guerre ?

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Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 18 août 2024 - 10:23
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Israël : le virus de la guerre ?
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En raison du nouveau virus à la mode, la variole du « singe », celui né du coït entre, rappelez-vous, la chauve-souris et le pangolin qui (ça reste la version officielle), en forniquant (1), ont créé aussi, sans faire exprès, le virus de la covid, le système de santé vient d'être placé en état de vigilance maximale. Par qui ? Gabriel Attal. Un Premier Ministre démissionnaire, mais qui donc visiblement continu d'être en fonction. À moins que le placement du système de santé en état de vigilance maximale, ne soit devenu une de ces matières spécifiques qu'on appelle « les affaires courantes », seules matières dans lesquelles un Premier Ministre « démissionnaire » peut officier, en attendant qu'un autre « pourfendeur des intérêts de la France et des Français » (2) soit nommé, en l'occurrence par le fossoyeur des libertés publiques et individuelle qui instaure comme règle l’étatisation des droits.  Cette personne n’aime ni la France ni les Français au point d’institutionnaliser la maltraitance pour les rendre malades et de chercher le conflit et la guerre à tout prix. Cette personne est également « le découpeur » du pays, puisque c'est « à la découpe » qu'elle a vendu la France à ses commanditaires. (3) 

La présomption d'innocence étant un principe constitutionnel qui doit s'appliquer même en cas d'infractions commises en flagrance, je ne fais pas mention ici des nom et prénom de qui il s'agit.

Cet instant d'humour noir tristement de circonstance terminé, revenons au sujet du jour : les virus.

Il existe un virus bien plus dangereux que le covid et la variole du singe réunis, et qui est à la fois extrêmement contagieux et éminemment létal. C'est le virus de la guerre, un virus don le traitement précoce est la diplomatie. On a pu le voir, hélas, en 14-18 et en 39-45, ce virus peut se répandre très rapidement partout sur la planète, en une pandémie. Une épidémie mondiale. Il cause alors inévitablement des dizaines de millions de morts. Des centaines de millions de morts (cumulativement), qui vont être portés à des milliards, cette fois, avec l'armement moderne, le feu nucléaire, s'il se trouve que l'humanité se laisse entraîner dans cette folie. La faute à qui ? Aux gouvernements des pays dits « civilisés », car tous ont intérêt à ce que la guerre intervienne. La guerre permanente et dans tous les domaines : militaire, économique, sanitaire, social, culturel et identitaire. Oui, avec des gens comme ça aux commandes, « Nous sommes en guerre » permanente contre notre propre espèce.

En effet, la minorité infime (que l’on peut estimer à moins de 0,0001 % de la population mondiale) au service de laquelle absolument tous les gouvernements du monde sont, cette minorité ne peut se maintenir au pouvoir, que si et seulement si les 99,9999 % autres humains sont accaparés de force, par les conséquences de cette guerre permanente que les dirigeants du monde mènent conjointement contre tous les peuples de la Terre. Ceci depuis la révolution industrielle de 1850.

La création de l'état d'Israël ne s’ensuit-elle pas de ce « constat » (ou de cet « état de fait ») ?

Diable !

Israël est devenu à la géopolitique, ce qu'un tremblement de terre est au BTP : la garantie d'un chantier mondial perpétuellement en reconstruction après démolition. Oui, ne serait-ce pas précisément à cette fin perfide au possible pour les intérêts des peuples du monde, que le virus de la guerre a été implanté dans l'ADN de l'état d'Israël ? Israël, un pays né de la guerre 39-45, qui s'est étendu par le conflit livré en permanence depuis sa création en 1948, et qui continu malgré des demandes politiques répétées et des ordres ignorés de la CIJ (Cour internationale de Justice). En 1948, Joseph Kessel assistait à la création d’Israël pour France-Soir

« A HAÏFA, j’ai obtenu le visa d’entrée n°1 de l’Etat d’Israël », titre France-Soir, en Une de son édition du mercredi 19 mai 1948. La citation est de Joseph Kessel.

L’écrivain et grand reporter ajoute : « Et mon avion fut le premier à toucher le sol de la Palestine libre. »

À l’époque, l’expression « Palestine libre » n’avait pas le même sens qu’aujourd’hui. C’était plutôt l’inverse : cinq jours auparavant, le 14 mai, David Ben Gourion, chef de la communauté juive, a proclamé l’indépendance du nouvel Etat d’Israël.

La Palestine, sous mandat britannique depuis 1922, avait fait l’objet d’un plan de découpage approuvé par l’ONU en novembre 1947. Mais, ce plan avait été rejeté de part et d’autre, et le conflit entre juifs et arabes s’était immédiatement amplifié. »

France-Soir sur l'état d'Israël

La création de l'État d'Israël est intervenue au Moyen-Orient, avec pour justification officielle le génocide tragique des Juifs d'Europe occidentale, qui lui est intervenu consécutivement à la guerre économique menée contre le peuple Allemand, de 1918 à 1933, en application du traité de Versailles ; un Traité rédigé par les dirigeants du monde de l'époque, justement afin de conduire l'Allemagne au chaos, et ainsi permettre au nazisme d'accéder au pouvoir, et de mener sa politique d'expansion par la guerre... qui a conduit à la Seconde Guerre mondiale.

Bis repetita aujourd'hui avec Israël et le chaos dans lequel le Moyen-Orient est en phase de sombrer, du fait, donc de la politique d'expansion par la guerre que l'État hébreu mène depuis sa création, sous couvert de la défense de ses intérêts et de sa population. Dans son article, Kessel débarquait à Haifa le 18 mai pour « reprendre, pour la première fois depuis 1940, la tâche de correspondant de guerre pour apporter à nos lecteurs son témoignage sur le grand drame qui déchire la Palestine ». Fils d’immigrés juifs d’origine lituanienne, il a quitté Gringoire quand celui-ci a accentué ses prises de position pro-Vichy et anti-juifs. France-Soir écrivait à l’époque : « Nos lecteurs qui se souviennent des articles saisissants que Joseph Kessel écrivit dans nos colonnes sur le procès Pétain et sur celui de Nuremberg, vont suivre désormais au jour le jour la lutte des Arabes contre le nouvel Etat d’Israël ; et par les câbles de notre envoyé spécial Hervé Martial qui, comme il le fait depuis deux semaines, suivra l’actualité du combat ; et par ceux de Joseph Kessel qui fera vivre sous leurs yeux les êtres de chair et de sang, protagonistes d’une tragédie qui renouvelle en plein XXe siècle les temps bibliques ».

Cela témoigne du fait que la situation ne date pas d’aujourd’hui. Elle n’a pas été résolue depuis. Le quotidien de ce 19 mai-là, décrivait une « Bataille acharnée pour Jérusalem. Les « lieux saints » sont menacés de destruction ».

Pour continuer sur cette période, le 18 aout 1948, Moshe Shertok (futur ministre des Affaires étrangères d’Israël) écrivait à à Chaim Weizmann (premier président de l’État d’Israël) : « En ce qui concerne l’avenir, nous sommes également déterminés à explorer toutes les possibilités de nous débarrasser, une fois pour toutes, de cette énorme minorité arabe qui à l’origine nous menaçait. Ce que nous pouvons réaliser en cette période de tempête et de tension sera tout à fait irréalisable une fois que les conditions seront stabilisées. » Rappelons aussi à cet effet que les autorités britanniques avait déclaré à Chaïm Weizman à propos des Palestiniens d'avant 1948.« Nous devons nous préparer à passer à l'offensive. Notre but est d'écraser le Liban, la Transjordanie et la Syrie. Le point faible est le Liban, parce que le régime musulman est artificiel et facile pour nous à déstabiliser. Nous établirons là un État chrétien, et ensuite nous frapperons la Légion Arabe, éliminerons la Transjordanie; la Syrie nous reviendra. Puis, nous bombarderons, avancerons et prendrons Port Saïd, Alexandrie et le Sinaï

Or, cette politique, Israël peut uniquement la mener, car ses dirigeants bénéficient du soutien des États-Unis (et des anglo-saxons), où règne en maître un état profond qui va des Rothschild aux Rockefeller. Ce pays qui depuis sa création est en perpétuel conflit, ouvert ou couvert, en guerre partout dans le monde. Une poursuite incessante visant à imposer sa volonté, de gré ou de force, à travers les guerres militaires que les États-Unis mènent sur la planète. Ils ont ainsi construit et assis la domination économique et monétaire, politique, sociale et culturelle, qu'ils imposent à l'Occident, en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie (au Japon, au Vietnam et en Corée du Sud principalement) et au Moyen-Orient. Et, partout où il y a du pétrole. Excepté en Russie et en Chine !

En outre, le virus de la guerre qui a été implanté dans l'ADN de l'Allemagne nazie, étant de même « nature » que celui « propre » à l'état hébreu, Israël est à la cohésion sociale, ce que la thérapie génique anti-covid est à la santé : « The Great Divide », le grand diviseur. Le sujet de discorde absolu, ultime. Celui qui divise toutes les composantes de chacune des nations prises séparément. Et ceci jusqu'à l'intérieur même des familles. Les blessures, fractures et ruptures causées par cette arme de division massive sont, je crains, profondes, gravissimes et irréversibles. À ce titre, elles constituent le terreau idéal pour l'adhésion des peuples à l'idée que la troisième guerre mondiale est inévitable, voire nécessaire.

C'est d'ailleurs bien pourquoi, aux ordres des mondialistes qu'ils sont tous, les médias occidentaux s'emploient à accentuer ces blessures, fractures et ruptures, ainsi que leur portée, augmentant par là aussi les conséquences voulues par ceux qui ont intérêt à ce que le conflit s'envenime.

Quant à la propagande pro-israélienne, c'est spécifiquement l'ARN messager de la guerre mondiale dans laquelle les dirigeants d'Israël nous entraînent (attention à ne pas les assimiler aux Israéliens, très nombreux, qui eux sont pacifistes dont bon nombre de mes amis israéliens choqués par le comportement extrême et excessif du gouvernement d'Israël). Ils accomplissent, avec zèle et méthode, la mission qui leur a été confiée par ceux qui les ont placés au pouvoir, justement dans ce but.  J’en avais fait état dans la tribune sur la paix qui faisait suite à l’édito, le temps d’une réflexion : « Personne ne mérite de mourir. Une vie vaut une vie. Celle des Gazaouis est aussi importante que celle des Israéliens, n’en déplaise au président Herzog », qui dit l’inverse de ce que l'on pouvait lire jadis dans les médias à ce sujet, des médias devenus propagandistes à force de subventions, et qui oublient ainsi de prendre en compte la Charte de Munich, qui oblige à « respecter la vérité » (article 1) et surtout « ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste » (article 9).

Et les « BRICS » (Brazil, Russia, India, China and South-Africa) dans tout ça ?

Malheureusement pour les peuples occidentaux, le peuple israélien et le peuple palestinien, et pareil les autres peuples qui vont aller mourir à la guerre si elle intervient, les dirigeants brésiliens, russes, indiens, chinois et africains du sud, eux aussi pourraient avoir intérêt à la guerre. Il y a deux raisons principales à cela, dont une, la seconde, est différente de celle des dirigeants des pays occidentaux.

Première raison, une guerre mondiale permettrait de finir de complètement placer leur population, sous le contrôle permanent grâce auquel ils vont pouvoir accaparer le pouvoir définitivement (postulat qui les conduira à l’appropriation de toutes les richesses), sans aucune possibilité de retour en arrière. C'est le rêve absolu de tout dictateur dans l'âme, a fortiori caché sous l'habit du démocrate, à savoir agissant de la sorte, officiellement, « pour indispensable que cela est à assurer la sécurité de la population. » Tout cela donne raison à Proudhon. Il avait déclaré fort judicieusement « la propriété c’est le  vol. »  Cette déclaration a donné lieu à un édito sur l’étatisation des droits. Cela dépend donc de l’angle sous lequel on aborde la propriété !

Et, deuxième raison, en cas de troisième guerre mondiale (quatrième si on considère la guerre couverte menée contre les peuples pendant les 70 dernières années), ce sont les pays de l'OTAN (adversaires économiques désignés des Brics) qui seront le plus durement affectés. Cela laisserait donc la place libre aux BRICS, notamment en Afrique, continent objet de toutes les convoitises, parce que son sous-sol regorge des matières premières qui sont indispensables à ce que les lobbys du pétrole et de l'industrie, maintiennent les peuples du monde sous leur domination.

D'où le soutien officiel que les dirigeants russes apportent aux dirigeants palestiniens et iraniens.

L'Afrique du Sud et le Brésil n'étant pas membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies, ses dirigeants préfèrent la jouer discrets. Et, du fait d'une expérience issue des 15.000 ans d'histoire que la Chine et l'Inde ont chacune en matière de guerres de toutes sortes, les dirigeants chinois et indiens se montrent autant que faire se peut diplomates et patients. Ils suivent là la morale livrée par ce proverbe, présent justement tant dans la culture chinoise que dans la culture indienne :

« Ne te venge pas de ton ennemi. Assis-toi au bord de la rivière, et attends sagement d'y voir passer son cadavre. » (4)

Dans « le rapport de force et la force du rapport aux autres », le 10 avril 2023, j’essayais de décrire ce que Moulessehoult a écrit dans « L’équation africaine » : « Il est manifeste que les dirigeants de bien des pays s’emploient à décider qui est le maître et qui est le sujet. Pour cela, ils mettent par exemple l'accent sur la sécurité, afin d’imposer à la population une société dont la gestion est axée sur le rapport de force. Dès lors que des dirigeants imposent par la force les décisions qu'ils prennent, leur souhait ultime est de substituer aux intérêts de ceux qui les ont placés au pouvoir, leurs propres intérêts. Et je rappelais que nos dirigeants seraient toutefois bien avisés de garder en mémoire la phrase de John Fitzgerald Kennedy « La tolérance, ce n’est pas renoncer à ses propres convictions, mais refuser d’opprimer ou de persécuter autrui. » 

Au risque de me répéter, encore et encore, et de me faire étiqueter avec tous les quolibets, en tant qu’individus, habitants de cette planète, frères de sang ou non, et de toutes confessions (liberté de culte oblige),  « pour sauver la paix, nous devons empêcher la guerre ».  Sauver la paix revient à prendre notre destin en main, ceci en sachant que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. C’est notre devoir.

 

(1)  ce coït dévastateur pour l'humanité, entre cette chauve-souris et ce pangolin zoophiles, a eu lieu au « P4 » : le club échangiste woke que le laboratoire « pharmaceutique » de Wuhan, en Chine, financé par la France et inauguré par Bernard Cazeneuve, a ouvert pour son personnel animalier. Oui. Plus c'est gros, plus ça marche ! La preuve : politiciens, médias, médecins de plateaux et Cie nous refont exactement le même coup, quatre ans plus tard, avec la variole du singe. Du chimpanzé, pour être précis. Or, de l'ADN de chimpanzé, justement, il y en a dans le « vaccin » anti-covid d'AstraZeneca,. Et, pareillement, c'est justement là aussi dans les pays d'Afrique où la vaccination « anti-covid » a été pratiquée en masse, que les cas de variole du singe sont les plus nombreux. Mais, évidemment, cela n'a absolument rien à avoir. C'est le hasard. Un hasard quand même un peu bizarre non ? À moins qu'en dépit d'une variole « tous animaux », dont le singe, dont je suis immunisé, puisque j'ai été vacciné contre la variole « tout court » lorsque j'étais enfant, je ne souffre d'une maladie bien plus grave pour les politiciens, les médias, les médecins et autres « experts » des plateaux télés et radios : le complotisme. Car malheureusement pour eux, ils ont beau tout essayer,  il n'existe aucun traitement ni vaccin efficace contre cette « pathologie » divergente qu'on nomme généralement « intelligence » ou « libre-arbitre. » Et, hélas pour l'humanité, malgré tous les efforts déployés par ceux qui en souffrent, en l'état cette maladie potentiellement mortelle pour le pouvoir en place, est insuffisamment contagieuse chez les êtres humains, une très grande partie d'entre eux s'étant transformés on ne sait pas pourquoi en « mougeons », un croisement du mouton et du pigeon qui fait d'eux des animaux qui vont d'eux-mêmes à l'abattoir, en troupeau, après s'être fait plumer.

(2) telle est « justement » (adverbe du jour) l'appellation que donnent les complotistes radicalisés, dernier échelon, au chef du Gouvernement, pour un Premier Ministre, lorsque celui-ci a été nommé par Emmanuel Macron. Tel est également le cas, ajoutent-ils rageurs, pour les Premiers Ministres nommés par François Hollande et par Nicolas Sarkozy. Et, par Jacques Chirac. Ainsi que par Valéry Giscard d'Estaing. Et de même pour ceux qui ont été nommés par « le Grand Architecte » de ce « Parce que c'est notre projet ! » en phase terminale : François Mitterrand. Mais, ça, par contre, je suis un des seuls à le dire. Si-si ! Au sein des rédactions officiellement « dissidentes », les autres « complotistes » n'osent pas pousser le bouchon jusque-là. À tort. Car en réalité, tout pourrait bien être parti de là.

(3) ce dépeçage sera l'objet d'un prochain édito : « Une vente à la découpe et au plus offrant. »

(4) texte exact du proverbe en question : « Si quelqu'un t'a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt, tu verras passer son cadavre. »

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