Vérifier avant de faire son choix, pour éviter de n'avoir que « Ni pardon ni oubli ! » comme seule et unique option

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Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 16 juin 2024 - 10:23
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Vérifier avant de faire son choix, le 30 juin et le 7 juillet 2024, pour éviter de n'avoir sinon que « Ni pardon ni oubli ! », à l’avenir, comme seule et unique option.
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Vérifier avant de faire son choix, le 30 juin et le 7 juillet 2024, pour éviter de n'avoir sinon que « Ni pardon ni oubli ! », à l’avenir, comme seule et unique option.

Mieux qu'un nouveau « Front Populaire », mieux que « L'union des droites », et mieux que - pire encore qu'elle est à ce sujet - l'alliance de circonstances qui s'est faite autour de la majorité présidentielle qui a accouché de cette félonie. À l'occasion des élections législatives, faisons face à l'arbitraire.

Souvenons-nous qu'en France, 70 ans pile exactement après les lois ségrégationnistes « anti-juives » du Gouvernement de Vichy, le Parlement français a adopté, à la demande du Gouvernement Castex, la loi ségrégationniste « anti-non-vaccinés » du pass-vaccinal. Rappelons au passage que le maréchal Pétain a bien été nommé chef du gouvernement le 16 juin 1940.

Le « pass sanitaire de la honte » a, derechef, créé une fracture irréversible dans la maison France. Ceci par un recours à un traitement expérimental aux effets secondaires, eux aussi irréversibles, pour certains fortement handicapants et funestes, dont on peine à prendre la mesure avec exactitude, tellement ils sont nombreux et variés. Et, pourtant le gouvernement et ceux qui ont voté ces mesures s’enfoncent dans le déni basé sur les assertions erronées d'un Président Macron qui s'est transformé en professionnel de santé pour l’occasion. Cela malgré les nombreuses alertes et les courriers qu’ils ont tous reçus en recommandé, notamment de l’association BonSens.org dans l’optique d’éviter de nouveau un « responsable mais pas coupable » qui vit le jour lors du procès du sang contaminé.

Oui. « Le devoir de mémoire » est précédé par celui de responsabilité, où « la confiance n’exclut pas le contrôle ». Ces deux devoirs s’imposent à nous, défenseurs revendiqués de la liberté, en hommage à « toutes celles et tous ceux », qui y ont laissé la vie ou ont perdu un proche. Levons-nous et « vérifions » pour éviter d’avoir de nouveau à crier ensemble « Plus jamais ça ! »

Comment ? 

Tout d’abord en opérant pour chaque personne qui brigue un mandat de député, la vérification nécessaire à connaître qu’elles étaient ses positions sur l’obligation vaccinale et la réintégration des soignants, et ce que cette personne a dit des non-vaccinés. Rajoutez aussi ses positions sur la guerre, et n’oubliez pas que ceux qui ont permis d’envoyer des armes en Ukraine, seront pareillement prêts à y envoyer nos enfants.

Ensuite, en ne reconduisant à l'Assemblée nationale, aucun des députés qui ont voté aveuglément ces lois liberticides insanes. 

En voici la liste. Cette initiative citoyenne est due à Valentin Dillon, un jeune patriote de 20 ans, qui confirme l'adage selon lequel « la valeur n'attend pas le nombre des années ».

L'engagement politique de ce jeune homme ne semble pas se limiter à cela. En effet, Valentin Dillon participera à cette bataille électorale qui s'annonce décisive pour le pays : il s'est porté candidat, en tant suppléant de Jean-François Jacques, dans la première circonscription de la Moselle. Il le fait au sein de « Debout la France » qui s'est battu bec et ongles contre cette infamie et qui n'a eu de cesse d'alerter sur les effets secondaires.

Bien entendu, déontologie journalistique oblige, je m'interdis d'influencer en quoi que ce soit concernant le choix que vous aurez à faire les dimanches 30 juin et 7 juillet 2024. Cependant, en tant que citoyen qui, grâce aux générations qui se sont sacrifiées pour nous arracher à l'arbitraire, vous pouvez, un tant soit peu encore, choisir à qui confier l'avenir du pays. Cependant, je me devais de lancer cet appel, mes chers compatriotes.

Au moment de ce choix, ayez à l'esprit cette phrase de Benjamin Franklin :

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. » (1)

Certes, comme on a pu le constater à maintes reprises, et très durement, pendant toute la crise covid, résister à l'arbitraire étatique, c'est recevoir la foudre (2) systématiquement des institutions et des médias aux ordres. Et, résister à l'arbitraire, quoiqu’il en coûte, est le seul moyen d'empêcher les despotes d'arriver à leurs fins. Leurs viles fins, synonyme de guerre civile ou de guerre tout court, à plus ou moins long terme. Illustrant là parfaitement les propos de Robert Kennedy Jr à France-Soir en 2022 : " Résistez, resistez car quand ils ont le pouvoir ils ne le rendent jamais " 

Car, la sérénade despotique est toujours peu ou prou la même pour nous conduire dans le mauvais sens : c'est au faux prétexte avancé éhontément de défendre les libertés, que les dictateurs en col blanc s'emploient perfidement à nous en spolier, insidieusement, une à une, jusqu'à nous les retirer toutes. Ceci, que l'ennemi désigné pour justifier le recours à ces armes de destruction massive, soit un virus aucunement mortel pour l'immense majorité des citoyens et la quasi-totalité de la jeunesse ; ou un peuple frère qu'on accuse pour cela d'agir comme les forces hitlériennes de naguère, alors que c'est ce peuple qui a libéré le monde du nazisme, au terme de 4 années de lutte acharnées et au prix de plus de 20 millions de morts dans ses rangs. 

Et, ces dictateurs en col blanc ajoutent toujours à ces occasions l'usage d'injections paradoxales et d'inversions de la charge de la preuve dans de nombreuses opérations psychologiques de manipulation des masses avec l'aide des médias. C'est par ce biais que les mécanismes coercitifs et incitations sous contraintes, se traduisent rapidement par des lois. Ces dernières restreignent les degrés de liberté de tout un chacun, jusqu'à les annihiler tous totalement si on ne fait rien pour empêcher que cela n'arrive. 

Ainsi, avant de voter, il devient essentiel de bien vous renseigner sur qui sont les personnes candidates, toutes, et sur leurs motivations réelles.

Vous le savez, « la confiance n'exclut pas le contrôle ».  Vous avez en permanence devant vous, offert en direct, à grands frais, par le Président Macron, sur tous les médias mainstream, la société du spectacle. Alors pour remplacer l’épisode de « La gamelle et les copains d’abord », par « le courage de la paix », et reléguer ainsi le mensonge aux oubliettes, il est non seulement urgent, mais aussi critique, de vous renseigner.  

Car dès lors, vous ne pourrez pas dire, « Je ne savais pas. » (3) (4)

VERIFIEZ 

 

(1) La citation originale est dans la lettre que Benjamin Franklin aurait contribué à écrire, en 1755,  au nom de l'Assemblée de Pennsylvanie, à l'attention du gouverneur de cette colonie américaine :

« Those who would give up essential Liberty, to purchase a little temporary Safety, deserve neither Liberty nor Safety. »

Et qui peut se traduire par ceci :

« Ceux qui renonceraient à la liberté essentielle pour acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité. »

Cette lettre est une charge contre la famille de William Penn (qui donne son nom à la Pennsylvanie), qui refusait que ses terres soient taxées pour financer la défense contre les Français et contre les Amérindiens pendant la guerre de la Conquête, théâtre nord-américain de la guerre de Sept Ans.

(2) en plus d'être un des Pères-Fondateurs des États-Unis d'Amérique, Benjamin Franklin, accessoirement, a également marqué l'Histoire en tant que l'inventeur du paratonnerre.

(3) Le 30 juin 1968, journée d'élections législatives, vit un raz de marée gaulliste. 

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