Que faire en cas de décès d'un proche suite à un "vaccin" anti-covid ? Interview de Me Joseph
ENTRETIEN - De nombreux lecteurs nous ont alerté sur le désarroi de certaines familles dont un proche vient de décéder, alors qu'il était en bonne santé, mais venait de recevoir une injection qualifiée de "vaccin anti-covid", car le plus souvent le médecin de famille, comme l'hôpital, lui affirment qu'il n'est pas prouvé que l'injection soit la cause du décès ; il ne peut s'agir que d'une coïncidence malheureuse...
Nous avons demandé à Me Jean-Pierre JOSEPH, avocat au barreau de Grenoble, et auteur de "Vaccins, on nous aurait menti" (Testez Ed.) ce qu'il fallait faire dans une telle situation.
[Mise à jour 20 juillet : une erreur de transcription a été rectifiée - et un ajout d'un lien à propos de l'étude sur l'oxyde de graphène]
FranceSoir : Les grands médias nous indiquent qu'il n'y a pas de raison d'être inquiets, car le nombre des effets indésirables, et plus particulièrement des décès consécutifs au "vaccin anti-covid" serait très faible. Que pouvez vous dire à ce sujet ?
JPJ : Il faudra bien un jour que les grands médias cessent de se voiler la face, ou même de mentir. Il existe une base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses suspectées : "Eudravigilance". Ce site suit également les rapports de blessures et de décès suite aux « vaccins » expérimentaux contre le COVID-19 .
Sur ce site, alors que les injections n'ont commencé en Europe que depuis quelques mois, l'on répertoriait déjà en juin dernier plus de 13.000 décès, et plus de 1.300.000 effets indésirables. Dans ces effets, entre 37% et 55% (en fonction du produit) sont des effets indésirables graves. C'est-à-dire au minimum près de 500.000 effets indésirables graves. (AVC, thromboses, troubles psychiatriques, fausses couches, etc...) Certes, le site officiel Européen E.M.A. ne mentionne "que" 5.000 décès, en précisant que le lien de causalité des autres décès n'est pas prouvé.
Ce sont des coïncidences malheureuses...
De toutes manières, le site officiel français ANSM (Agence Nationale de sécurité du médicament) indiquait récemment pour la France, près de 700 décès, et 55.000 effets indésirables, dont 28% graves, soit 15.400 ! Et le chiffre augmente tous les jours...
"Ce qui fait peur, est que nous sommes en phase d'essai clinique jusqu'en 2023 : dans cette suite de phase 3, la surveillance de moyen-long terme de la vaccination en population générale, on devrait avoir deux fois plus de cas que durant la phase d'expérimentation, dans laquelle un flacon sur deux était un placebo."
D'autre part, et cela est encore plus inquiétant, les organismes de pharmacovigilance, tant en Europe qu'aux États-Unis, reconnaissent n'avoir connaissance que de 10% des effets secondaires des vaccins. Les chiffres officiels doivent être multipliés par 10 si l'on veut approcher de la réalité. Cette approche est confirmée par les nombreux appels téléphoniques que nous avons reçus, au cours desquels, nous apprenions que la plupart du temps, les médecins des victimes de ces produits, leur déclaraient péremptoirement que "ça ne venait pas du vaccin"...
Donc aucune déclaration n'était transmise aux autorités de santé...
Les autorités le savent, les grands médias aussi. Mais tout le monde se tait. Voilà ce qui est honteux. Pourquoi le 1er décès du Covid a-t-il fait la une des journaux, alors que les 700 premiers décès des injections qualifiées de "vaccins" n'ont pas du tout ému nos grands journalistes.
FS : Si un proche décède suite aux injections, comment obtenir les preuves que le décès est dû à l'injection ?
JPJ : Les proches doivent immédiatement demander une autopsie. L'hôpital s'y opposera vraisemblablement. Dans ce cas, il faut tout de suite contacter un avocat qui enverra une demande au Procureur de la République. Parallèlement l'avocat fera un courrier recommandé à l'hôpital et à l'organisme de pompes funèbres, pour informer de sa démarche, et faire en sorte que le corps du défunt reste à disposition.
FS : Si le décès est dû à l'injection, qui est responsable juridiquement du décès qui doit on poursuivre ? L'injecteur, l'État, la société pharmaceutique ?
JPJ : Dans les contrats conclus entre les laboratoires pharmaceutiques et la Commission européenne, existe une clause de non-responsabilité des laboratoires. D'autre part, une autre clause indique que les parties reconnaissent ne rien savoir de l'efficacité du produit, et des effets indésirables pouvant survenir.
Enfin, la plupart des médecins ont été laissés dans l'ignorance de la composition des produits, et notamment d'un élément très toxique qui est l'oxyde de graphéne. L'un des produits , d'après des analyses effectuées en Espagne, serait composé de 99% d'oxyde de graphène ! [NDLR, mise à jour 20 juillet : cette étude est contestée] Comment rester en bonne santé avec de telles doses ?
La responsabilité incombera à l'État qui a rendu de fait pour beaucoup de gens, cette injection obligatoire. Il faudra à mon avis, déposer une plainte pénale contre X pour empoisonnement.
C'est le juge d'instruction qui, après enquête, déterminera les personnes à mettre en examen. Mais l'on pourra aussi faire un choix différent : demander simplement réparation du préjudice à l'État.
Je reste persuadé qu'une plainte pénale aurait le mérite de montrer que certains, sachant les dégâts occasionnés par ces produits, ont continué de les cacher, en insistant pour que l'on se fasse injecter de véritables poisons. Car comment qualifier autrement des produits injectés à des gens en bonne santé, et dont 13.000 en Europe en sont déjà morts, et 500.000 sont ou ont été dans un état grave ?
FS : Supposons que l'autopsie révèle effectivement que la personne est bien décédée à cause de l'injection. Que se passera-t-il concernant par exemple, l'assurance décès, accessoire à un contrat de crédit, car il existe des clauses d'exclusion en cas de participation à des essais cliniques ?
JPJ : Il existe effectivement un problème : la compagnie d'assurance dans ce cas, risque d'opposer le fait que le défunt participait volontairement à un essai clinique.
Dans le cas où la personne ferait partie d'une profession pour laquelle cette injection était obligatoire, la question va se poser, car la compagnie d'assurance risque de rester sur sa position en estimant qu'obligatoire ou non, un essai clinique n'est pas une thérapeutique normale. Il faudra alors appeler l'État en garantie.
Quant à ceux qui auront obtenu le pass dit sanitaire, pour pouvoir aller au restaurant, il sera difficile de prétendre que la participation à cet essai n'était pas volontaire.
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