Autopsie de la crise et d'une "escroquerie" : Covid-19 (diagnostic, traitements, vaccin)
AUTOPSIE DE LA CRISE ET D'UNE "ESCROQUERIE" à travers l'analyse actualisée d'une tribune : Deux ans et demi après, le médecin résistant et Xavier Azalbert, ont repris la tribune « Covid-19 Panorama d’une escroquerie » dans l'optique d'analyser ce qui s'est passé depuis. Cet article fera l'objet de mises à jour au fur et à mesure de l'émergence de données scientifiques indépendantes et fiables, et quand les décisions de justice verront le jour.
Publié le 22 aout 2021, le brûlot original a fait couler beaucoup d’encre et suscité un travestissement des faits et une instrumentalisation de la phrase de conclusion « un procès devra se tenir. La Veuve s'impatiente » qui expliquait que « des procès devraient se tenir et que des responsables seraient trouvés » en référence à la gestion de la crise sanitaire.... De temps en temps, il faudrait être de bonne foi.
Le mensonge prend l’ascenseur et la vérité prend l’escalier.
Le temps faisant son affaire, effaçant les vrais mensonges et les fausses vérités établis comme nouveaux standards de propagande, afin de laisser surgir les faits qui ramènent tout le monde à de dures réalités : pour les nombreuses victimes, leurs pertes de chance consécutives au défaut de soins ne se fêtent pas avec un verre de Veuve Clicquot.
Sans mise en perspective par certains, comme le Dr Marty, blâmé à plusieurs reprises par le CDOM, ainsi que le Dr Wargon (aussi sanctionné par l'Ordre des médecins pour propos contraires à ses obligations déontologiques), la métaphore utilisée a juste été utilisée de manière détournée pour condamner une opinion, stigmatisée.
Alors que pour la vaccination covid, ces deux médecins, comme beaucoup d’autres, niaient les effets secondaires et la causalité parmi quelque 200 000 déclarations à l’ANSM dont 25% de graves, ils étaient prêts à voir une relation causale entre l’usage d’une métaphore et le rappel de la guillotine pour faire tomber des têtes de certains mis en cause ! Le paradoxe étant que le Dr Marty a de toute évidence monté cette histoire en épingle sur les réseaux sociaux, alors que lui-même avait appelé à ce que « des têtes tombent » dans un communiqué de presse.
.@Drmartyufml menace de décapitation les responsables de @SantePubliqueFr et de @HAS_sante après s'être plaint avec ses amis lobbyistes, Lacombe et Wargon, des menaces contre les médecins
On peut évoquer la #Veuve sauf pour les épiciers. L'épicerie est, il est vrai, un noble art. pic.twitter.com/ON1qKCsJyk— Mounotella (@Mounotella) September 28, 2021
Une interprétation à géométrie variable des propos leur permet de se victimiser quand bon leur semble. Des inversions accusatoires qui ont vu jour à de nombreuses reprises pendant la crise sanitaire rapportées dans de nombreux médias mainstream, les officines de vérifications (fact-checkers) et plus récemment par un usage détourné des "community notes" sur X (anciennement twitter). Les community notes sont des évaluations de la communauté sous forme de principe de l'intelligence collective et participative qui permettent aux utilisateurs des réseaux sociaux d'évaluer la pertinence d'un message.
À propos de l’auteur originel : le médecin résistant
Les détracteurs de la tribune n’ont pas manqué de stigmatiser l’auteur, en criant, à qui voulait l’entendre, qu’il était anonyme. Omission volontaire de leur part à dessein, car Xavier Azalbert avait bien sûr authentifié l’auteur en tant que médecin et lui conférait la possibilité d’écrire sous pseudonyme. Cependant, voilà l’explication directe du médecin résistant :
« Médecin, j’ai observé depuis de nombreuses années les orientations vers une médecine normative influencée par les lobbys pharmaceutiques aux moyens phénoménaux engendrant de nombreux liens d’intérêts et dérives comportementales des médecins de moins en moins à l’écoute du patient souvent sous une peur d’une sanction de l’ordre.
Cette situation s’est accentuée en 2020 avec la crise sanitaire covid. Après avoir exposé mes craintes à Xavier Azalbert, j’ai choisi, en accord avec lui et après lui avoir bien sûr prouvé que j’étais bien médecin, d’écrire sous pseudo : « le médecin résistant. »
Tout d’abord afin de protéger ma famille et de pouvoir m’exprimer librement sur des sujets controversés en évitant le harcèlement et attaques en tous genres dont ont fait l’objet les médecins, scientifiques et citoyens. Ceux-là mêmes qui ont osé questionner, analyser, challenger et communiquer sur les réseaux sociaux en remettant en cause tant le discours officiel tant sur le confinement, que celui sur les traitements précoces ou la vaccination de masse avec un produit en phase expérimentale.« Pour se faire des ennemis, pas la peine de déclarer la guerre, il suffit de dire ce que l'on pense » a écrit Martin Luther King. Ses propos se sont avérés plus que corrects. En effet, ceux qui ont osé parler ont été traités « d’emmerdeurs », de désinformateurs criminels ou autres quolibets. Écrire dans France-Soir qui permet le dialogue menant à une controverse salvatrice aura été une sage décision ».
L’article présentait un panorama, qui jour après jour, se révèle correct. Les faits sont têtus et les procès sont bien là. Voyons plutôt à travers une autopsie analytique critique de la tribune.
Les confinements remis en cause
Mars 2020. COVID-19. « Pandémie, premier confinement. Une perte presque sans précédent des libertés annonçant la ruine de la France, tant spirituelle, que matérielle et économique. »
Depuis, de nombreux articles scientifiques et médias ont montré que le confinement avait eu des effets néfastes sur les gens avec de nombreux suicides. Cette mesure « sanitaire » s’est avérée inefficace et contre-productive. Les critiques de ces mesures sur les réseaux sociaux étaient immédiatement clouées au pilori du complotisme ou invisibilisées.
Ce fut le cas du professeur de Stanford Jay Bhattacharya et du Martin Kulldorff, professeur à Harvard, initiateurs de la Déclaration de Great Barrington, qui fort d’un million de signatures, traitait de la pandémie et de confinements.
Même si le Pr Delfraissy déclarait le 7 octobre 2023 qu’il pensait que ce n’était pas une mauvaise décision, dans la réalité, il s’avère que cela s’est révélé une aberration économique humaine et sociale pour la France, France dont la dette s’est accentuée de près de 1000 milliards en 3 ans dans un pays déjà en « situation de faillite » (propos de François Fillon en 2007). Ces aberrations qui ont été présentées, dès juin 2020, avec une analyse comparative des mesures sanitaires dans divers pays : « confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit – aberration humaine, sanitaire et économique » par le Dr Gérard Delépine et Xavier Azalbert.
Les médias mainstream capturés et muselés, des experts sélectionnés et autorisés
Les médias mainstream, détenus par quelques milliardaires, se retrouvèrent ainsi au service du pouvoir oubliant au passage le premier devoir de la charte de Munich « dire la vérité quoiqu’il en coute en raison du droit qu’ont les citoyens de savoir ».
Ces médias et journalistes ont globalement délivré un message qui correspondait peu ou prou aux déclarations du gouvernement. En soutien, Céline Pigalle, directrice de la rédaction de BFM expliquait en 2022
qu’« il ne faut pas trop aller à rebours de la parole officielle, puisque ce serait fragiliser un consensus social ! »
De son côté, Marc Olivier Fogiel, directeur général de BFM, expliquait qu’il y avait des « experts sélectionnés ou autorisés », certains avaient donc droit de cité sur les plateaux télévisés, tout en laissant calomnier des personnes sans même respecter la charte de déontologie de BFM ou celle de Munich en respect du contradictoire. Il a laissé attaquer France-Soir, omettant de mentionner que le Monde avait été condamné pour concurrence déloyale par dénigrement.
D’un point de vue juridique, le Conseil d’Etat a confirmé la décision de l’ARCOM contre la chaine CNEWS comme quoi Ivan Rioufol, journaliste, aurait dû opposer un contradicteur au professeur Perronne, alors que la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins a jugé
« qu’eu égard à ses états de services, le professeur Perronne avait le devoir de parler. »
Il devient évident que l’expression est conditionnée à une analyse à géométrie variable avec l’imposition d’un usage constant du deux poids deux mesures :
les experts autorisés qui suivent la parole officielle pour ne pas fragiliser le consensus social auraient un droit de parole sans limites et sans besoin de contradicteur, alors que ceux qui s’opposent à la parole officielle nécessitent un contradicteur.
Un début de contradiction évident.
Les messages délivrés par les mainstream se sont avérés en totale contradiction avec la charte de Munich et les devoirs des journalistes de délivrer la vérité quoiqu’il leur en coute en vertu du droit à savoir des citoyens.
Ces médias ont contribué à biaiser l’information et par là même vicier un des droits fondamentaux qu’est le consentement libre et éclairé des français.
De la censure des opposants « quoi qu’il en coute » aux messages autorisés
Durant cette période et encore aujourd’hui, peu de médias agréés et de journalistes ont fait leur travail. France-Soir en est un, ainsi qu’André Bercoff. Ils se comptent sur les doigts d’une main ceux à avoir fait que le débat se tienne dans le respect de la jurisprudence Hertel :
« en science, peu importe qu’une hypothèse soit minoritaire, il faut qu’elle puisse exister ».
France-Soir a vu son agrément non renouvelé par une faute de la CPPAP (Commission Paritaire des Agences de Presse et Publications). Le Tribunal Administratif, le 13 janvier 2023, a jugé que la décision de la CPPAP n’était pas fondée et a donc rendu son agrément à France-Soir, qui dans les faits n’a jamais eu d’interruption dans son agrément depuis 2017. Le Ministère de la Culture, ayant fait appel, a été débouté par le Conseil d'état qui a considéré que la CPPAP n’avait pas respecté les droits de la défense. En 2023, Le Monde a aussi été condamné en première instance pour concurrence déloyale envers France-Soir. Le Monde n'a pas réussi à prouver au tribunal que France-Soir publiait de fausses informations malgré de nombreux articles versés au dossier.
De son côté, le tribunal judiciaire de Nancy a relaxé en première instance Xavier Azalbert suite à la plainte du Dr Barraud directement en lien avec la tribune du 22 aout 2021.
Au risque de perdre leur place dans la société et de se faire critiquer sans limites, certains ont œuvré besogneusement alors que d’autres étaient capturés dans une démocratie restrictive de libertés, un système dans lequel la pensée est dictée vers une convergence des dogmes uniques. Que ce soit sur la covid ou certains autres sujets, les institutions, les réseaux sociaux ou des ordres (CNOM, ARS, GIEC …) imposent la vérité de masse dans une forme de pensée unique. Seul le narratif officiel a droit de cité et d’être cité.
Dans les médias, la censure a pris sa place avec des chaines YouTube fermées pour non-conformités décrétées avec un règlement intérieur à géométrie variable dans le temps. Des milliers de personnes ont été censurées de X (anciennement twitter) dès que leurs dires amenaient une quelconque opposition aux messages « autorisés ». Peu importe que le message fût délivré par des sommités en science, s’il n’était pas conforme, il fallait le faire disparaitre ou ne pas lui donner de visibilité – le fameux « shadow banning » ou invisibilisation.
Le mensonge pris les habits de la vérité à force d’être inlassablement répété par le ministre de la Santé Olivier Véran et ses successeurs, soutenus par quelques médecins peu précautionneux ou peu soucieux de respecter leur serment tel le Dr Peiffer-Smadja ou le Dr Marty dont le compte X a fait l’objet d’avertissements pour contenus sensibles. Ces personnes ont été identifiées dans l’enquête sur la harcelosphère autour de l’IHU Méditerranée et le Pr Raoult – qui a été rappelé dans une longue série de tweets par Xavier Azalbert -
1/n Petit retour sur la harcelosphère dont l'enquête débuta en pour mettre à jour ce réseau qui n'a eu de cesse de harceler l'@IHU_Marseille, @raoult_didier @Echabriere https://t.co/NOVNFB5ohV
— Xavier Azalbert ◻ (@xazalbert) December 27, 2023
Cependant, les médias mainstream sont prompts à rapporter les plaintes contre ceux qui ne pensent pas comme eux et à invisibiliser toujours les mises en examen de leurs partisans, ou plaintes dont ils font l’objet.
En témoigne l’exemple du Dr Peiffer-Smadja. En 2020 et 2021, ce dernier a été très actif sur les réseaux sociaux, en insultant frénétiquement les professeurs Perronne et Raoult, et en faisant la promotion du remdesivir (un antiviral que l’OMS a recommandé d’éviter d’administrer aux patients covid 19 au motif qu’il n’évitait ni les morts ni les formes graves de la maladie, et qui pouvait présenter d’importants effets secondaires).
Il a fait d’ailleurs l’objet d’une poursuite devant l’ordre des médecins pour laquelle il a reçu un avertissement. Au lieu de faire amende honorable et profil bas, il aurait fait appel de cette clémente décision. Ne pourrait-on pas, dans son cas spécifique, parler de relation féodo vassalique étant donné ses liens avec le professeur Yazdan Yasdanpanah ? Yazdanpanah a pour sa part été conseil de Gilead et a reçu beaucoup d’argent de différents laboratoires, notamment Gilead.
Un proche du Conseil scientifique sous couvert d’anonymat nous a déclaré
« Yazdanpanah et Delfraissy se sont calmés avec les conflits d’intérêts des laboratoires depuis un moment, car cela devait trop visible .»
De son côté, le professeur Perronne, attaqué devant l’ordre pour ses prises de position scientifiques, a été blanchi ; plus encore, l’ordre des médecins a estimé qu’il était de son devoir d’apporter la controverse eu égard à sa qualité de professeur des universités.
Le très belliqueux Dr Peiffer Smadja sur les réseaux sociaux
Ce qui n’a pas manqué d’entrainer inévitablement des réactions en chaine, notamment de 4 personnes qui ont été condamnées ce 6 mars 2024 pour cyberharcèlement à son encontre. Ces sanctions ont été jugées « très sévères et disproportionnées quand on considère l’attitude très agressive de ce docteur », qui est d’ailleurs visé par plusieurs plaintes. Un appel serait en cours. Dans les nombreuses communications parlant de la condamnation, les journalistes omettent de mentionner les plaintes contre Peiffer-Smadja ainsi que la sanction de la chambre disciplinaire de l’ordre, préférant relater qu’à l’audience correctionnelle, il aurait apparemment été déclaré que son lymphome pourrait être lié à ce harcèlement. Si tel est réellement le cas, on n’est pas à une instrumentalisation près avec Peiffer Smadja !
Le rôle réseaux sociaux ainsi que des officines de fact-checkers subventionnés
Au travers des médias, les messages et les messagers ont pu être contrôlés voire invisibilisés dans une "cancel culture" qui alterne entre censure, omerta mais aussi les constantes inversions accusatoires ou analyses propagandistes qui voient le jour dans les officines de fact-checkers. Depuis les médias mainstream ont fortement diminué les attaques ad hominem sur certains. Les manipulations d'information seraient-elles devenus trop visibles ou difficiles à expliquer ?
En Allemagne, les "RKI files" documents obtenus par voie de justice par Multipolar-Magazin ont entrainé une modification de ligne éditoriale, une forme de retournement de veste de nombreux médias. En effet il est apparu évident que les décisions de confinement n'étaient pas basées sur la Science mais sur des intentions politiques. Un journaliste du Berliner Zeitung demandant même la Croix du Mérite pour Multipolar-Magazin. Mauvaise météo en prévision pour les médias subventionnés.
Il y a bien eu des officines comme Fact&Furious, un média, créé par un ancien barman, qui sera fermé subitement par décision de son gérant Antoine Daoust en date du 10 novembre 2022 alors que le site continuait à publier jusqu'au 26 novembre 2022 ! Ou encore comme Conspiracy Watch, financé à hauteur de 50% par des fonds publics, comme on a pu l'apprendre lors des auditions du fond Marianne de juin 2022. Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch avait déclaré quelques temps auparavant sur Europe 1 ne pas percevoir de fonds publics. La vérité et la réalité, ce n'est que quand ça les arrange. Et surtout de véritables entorses à la charte de déontologie journalistique dite de Munich avec de nombreuses confusions des genres entre journalisme et propagandisme.
Saluons l’armée des ombres
En mars 2024, il est important de saluer les personnes qui se seront illustrées au cours de la crise, bon nombre sont anonymes, notamment « l’armée des ombres » évoquée par le professeur Raoult.
Tout d’abord, saluons les personnels soumis à une obligation vaccinale pour exercer leur profession et injustement « suspendus » ou sanctionnés tels certains médecins et pharmaciens. Ils ont su résister à une pression sans pareille qui a fait d’eux des sous citoyens et a contribué à diviser la société.
En second lieu, saluons la mémoire des victimes des effets secondaires de la politique sanitaire unilatérale du gouvernement, à ce jour l’ANSM recense 200 000 effets secondaires de la vaccination dont 25% de graves et plus de 70 personnes ont été indemnisées par l’ONIAM (le médecin résistant a pu observer que la plupart des effets indésirables potentiels ne sont le plus souvent pas déclarés). Pour qu’il y ait indemnisation, un lien de causalité a donc bien été trouvé. N’en déplaise à l'ancien ministre de la Santé Rousseau et son successeur Firmin Le Bodo qui déclarent « ces vaccins sûrs et efficaces ». De plus, une étude récente publiée et revue par les pairs a conclu que les vaccins n’étaient pas efficaces et qu’ils pouvaient être des facteurs aggravant de la maladie. En sus, le CDJM (centre de déontologie journalistique et de médiation) a conclu que France-Inter aurait dû corriger les propos erronés du ministre Rousseau. Ce qui n’est toujours pas le cas, même si la charte de Munich, présente sur le site de RadioFrance, impose de « rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte ».
Enfin, nous saluons les scientifiques qui ont conservé leur intégrité, étant prêts à risquer leur carrière, notamment l’équipe de l’IHU de Marseille, mais aussi Pr Jay Bhattacharya, Pr. Martin Kulldorff aux États-Unis, Pr. Martin Zizi de Belgique, Dr Peter A. McCullough, Dr Amine Umlil, Dr Hélène Banoun ou encore les Dr Alain Houpert, Dr Louis Fouché, Vincent Pavan, Dr Jean-François Lesgards ou le Dr Gérard Guillaume. La liste est trop longue pour tous les citer.
France-Soir avec l’aide du collectif citoyen (groupes d’experts et citoyens) a tout d’abord joué le rôle principal dans l’apport d’une information loyale, « quoi qu’il en coute ». Deux ans et demi après cette première tribune il est donc important d’évaluer, rapporter, clarifier là où c’est nécessaire, afin d’apporter un éclairage au gout du jour.
Un nouveau virus – à 99.99% d’origine humaine
Ce virus est-il naturel (hypothèse de l’origine de la contamination par le pangolin), ou artificiel (la présence d’un laboratoire étudiant les coronavirus à Wuhan est singulière ; le virus a des caractéristiques artificielles, avec, au sein de la protéine spike, un site de clivage de la furine breveté) ; en ce cas, la diffusion aurait-elle été accidentelle ou intentionnelle ? En 2021, nous écrivions « Nul ne peut actuellement apporter de réponse à cette question ». Aujourd’hui la thèse d’une origine de laboratoire est la plus convaincante depuis que l’on a appris le rôle important de la CIA et d’Antony Fauci dans la génération de l’hypothèse artificielle. Tout cela avait été rapporté par France-Soir dans la série « l’Histoire du Covid » de Valère Lounnas, Dr Gérard Guillaume et Xavier Azalbert au prix d’un procès en complotisme. Il n’est pas difficile d’avoir raison avant les autres, il suffit de travailler.
Traitements : un sabordage organisé
Rapidement, le professeur Raoult a été porteur d'espoir en proposant un traitement curatif associant hydroxychloroquine et azithromycine. Des études chinoises préliminaires ont montré une efficacité de l'hydroxychloroquine. Etrangement, l’hydroxychloroquine qui était librement disponible est passée sous ordonnance (Liste II) le 13 décembre 2019 début 2020. Que savait l'ancienne ministre de la Santé Madame Buzyn sur ce ce traitement était prometteur pour ne pas considérer une autorisation temporaire d'utilisation ? Et que savait son successeur Olivier Véran ? Aurait-il peur que les français se ruent dans les pharmacies pour en acheter ?
Une première étude de l'IHU de Marseille a ensuite confirmé ces résultats, montrant une diminution du portage viral sous traitement, puis une diminution de mortalité sur plusieurs milliers de patients et en EHPAD. Ces études observationnelles, de qualité croissante au fur et à mesure de l’augmentation des effectifs de malades, ont été conspuées (car non randomisées), le professeur Raoult insulté et ravalé au rang de charlatan, par des médecins "Twitter" et "plateaux TV" pour la plupart de compétence questionnable ou médiocre, se réclamant pour certains d’entre eux d'une mouvance dictatoriale et dogmatique dénommée "No Fake Med", où la compétence scientifique et l’intérêt général sont sacrifiés sur l’autel de l’aveuglement idéologique et des connivences doctrinaires de circonstances. Ces derniers, dont certains aimeraient voir le professeur Raoult en prison comme l'a déjà fait remarquer le journaliste Bruce Toussaint dans une interview sur BFMTV, souhaitaient, par exemple, tirer au sort les malades afin de les séparer en deux groupes. D'un coté ceux bénéficiant du traitement, et ceux recevant un placebo, une procédure éthiquement insoutenable, alors qu’ils reprochent paradoxalement au Professeur Raoult des manquements éthiques et scientifiques dans la manière de mener des études scientifiques en jouant sur les peurs. Ils n'hésitent pas non plus à l'accuser de tout et n’importe quoi avec le concours de certains journalistes fact checkers et autres spécialistes autoproclamés du complotisme bien peu scrupuleux.
Aujourd’hui, l’étude rétrospective sur les 30000 patients soignés à l’IHU méditerranée vient corroborer les hypothèses initiales, soigner les patients en prenant la maladie tôt permettait de sauver des vies. Le Dr McCullough confirme que les traitements précoces ont sauvé des vies. Le film « Epidemic of Fraud » documente très précisément les diverses fraudes autour des traitements.
Après 4 ans d’enquête, John Davison, le producteur du film conclut « la vérité est une pilule amère .»
Le professeur Raoult a aussi réagit au film « un film à voir sans faute – ils ont été aussi stupides chez nous que chez vous ! »
Traitements : des études frauduleuses à foison contribuant à des décisions biaisées et à la perte de crédibilité des politiques sanitaires
Énumérons simplement les principaux scandales des études concluant en l'inefficacité du traitement du professeur Raoult :
- Des traitements administrés trop tardivement, en phase inflammatoire, chez des patients hospitalisés, alors qu'il est évident que l’hydroxychloroquine et l’azithromycine doivent être administrées le plus précocement possible, pendant que le virus se multiplie (phase virale). Cet article paru dans Archives of Microbiology and Immunology répondant à l’étude Discovery le confirme.
- L’association hydroxychloroquine et azithromycine n’a pas été, le plus souvent, évaluée(les études ne s’intéressant qu’à l’hydroxychloroquine en monothérapie), alors que l’azithromycine possède un effet anti-viral bien connu des infectiologues.
- Des erreurs statistiques, comme décrites par exemple dans la méta-analyse de Fiolet décrit, dont on trouve de nombreux commentaires sur le site pubpeer et des lettres à l'éditeur. La méta-analyse a été revisitée (par Perronne, Lacout, Lounnas et Azalbert) et les conclusions sont diamétralement opposées.
- Les fraudes de la méta-analyse de Fiolet :nous noterons que les auteurs de cette méta-analyse ont présenté un comportement singulier : le Dr Nathan Peiffer-Smadja a été rajouté sur la version finale alors qu'il n'était pas sur le pré-print ! À l’évidence, il y a de plus, une forte suspicion de fraude à PROSPERO qui est de plus en plus avérée. Prospero est un organisme inscrivant les méta-analyses avant que le travail soit effectué, afin d'éviter certains biais.
Voici une explication de @joex92_ sur Twitter :
- Prospero est une base de données permettant l’enregistrement PROSPECTIF des protocoles de méta-analyses. Il est crucial de décrire le protocole d’une étude en amont, avant l’extraction des données, pour éviter les biais. Les auteurs de l’étude #CMIGate ont enregistré leur étude sur PROSPERO le 9 juin en affirmant qu’ils n’ont pas commencé l’extraction des données ni l’analyse des biais. Or, que trouve-t-on sur la chaîne YouTube du premier auteur le 31 Mai 2020 ?
- On voit clairement que l’extraction des études éligibles était déjà entamée. De même, on constate que l’analyse des biais avait déjà bien débuté en mai contrairement à ce qui est annoncé le 11 juin à PROSPERO. Et on a déjà une première version de la méta-analyse (incluant le #lancetgate).
- L’analyse des données était déjà poussée, 10 jours avant l’enregistrement sur PROSPERO, incluant des analyses de sensibilité. PROSPERO a été contacté en décembre concernant ce mensonge, ils ont tardé à donner leur réponse, pendant quelques heures, ils ont même retiré l’enregistrement mensonger, mais ce changement fut de courte durée. À la surprise générale, ils ont finalement décidé de garder l’enregistrement des auteurs, en leur laissant l’option de le modifier dans les prochains jours.
- Autre chose improbable : les auteurs auraient eu le temps, d’après les données qu’ils ont enregistrées, de commencer l’extraction des données, de faire toutes les analyses puis de soumettre et publier le preprint entre le 11 juin et le 19 juin.
- A ce sujet plusieurs commentaires ont été mis en ligne sur le réseau social pubpeer démontrant de manière de plus en plus précise les erreurs et la fraude.
Une étude frauduleuse, et maintenant rétractée, parue dans le Lancet, ayant pour conséquence l’arrêt des différentes études dans le monde sur l’hydroxychloroquine alors que certaines commençaient à montrer son efficacité ! Cette étude a consisté en une agrégation de fausses data par la société Surgisphère, chapeautée par une ancienne actrice de charme, Ariane Anderson !
L’histoire de cette fraude est expliquée dans une série de tweets par Xavier Azalbert. Il reste encore à ce jour le seul journaliste européen à avoir interviewé l’auteur principal de cette étude frauduleuse.- Des allégations mensongères et farfelues concernant une toxicité cardiaque de l’hydroxychloroquine ! Une première depuis des décennies, ce médicament ayant été prescrit à des milliards de personnes de par le monde sans que cette toxicité n’ait été évoquée ! De nombreuses études attestent du contraire avec une explication complète dans l’article sur la méta-analyse revisitée.
- Des études cliniques ou l’hydroxychloroquine est administrée avec un surdosage toxique, comme l’étude Recovery par exemple ! Le surdosage en hydroxychloroquine pourrait provoquer une atteinte pulmonaire ressemblant à celle de la covid, par effet shunt, mécanisme décrit dans un article publié dans une revue scientifique.
L’ivermectine a subi le même sort. De nombreuses études ont démontré son efficacité pourvu que ce traitement soit donné précocement. De plus, l’ivermectine n’a que très peu d’effets indésirables et aucune interaction médicamenteuse. Il n’y avait donc aucun risque à le prescrire à grande échelle en préventif et en curatif.
Et le 22 mars 2024, dans un accord transactionnel, la FDA (Federal Drug Administration) a accepté de retirer tous ses messages sur les réseaux sociaux disant au public d’arrêter la prescription d’ivermectine pour prévenir et traiter la COVID-19. Un accord transactionnel phare pour éviter un procès retentissant.
Bientôt au tour des autorités françaises d’avoir à retirer leurs messages sur les traitements ?
Tout ceci a eu pour conséquences une absence de soins, des patients renvoyés chez eux, attendant l’insuffisance respiratoire que beaucoup ne ressentaient pas en raison de la fameuse « hypoxie heureuse ».
Que de drames et de décès évitables si l’on avait écouté les professeurs Raoult et Perronne…
Et en 2024, où en est-on ?
Plusieurs études démontrent l'efficacité des traitements précoces
Le professeur Raoult a diffusé les datas de prise en charge des patients de l’IHU sur internet. Ces données ont été certifiées par huissier, pour prévenir les éternelles accusations calomnieuses de fraude scientifique et de charlatanisme sur la base d’un champ lexical au demeurant extrêmement limitée. Symptôme d'une médiocrité qui semble avoir largement fait ses preuves. Sans compter le refus de débattre de certains de ces mêmes détracteurs (entre autre avec le professeur Chabrière) qui n'hésitent pas à faire usage du prétexte de ne pas vouloir favoriser le complotisme. Une première étude a été publiée en « pré-print » confirmant sur plus de 30 000 patients, l’efficacité du traitement par hydroxychloroquine et azithromycine.
Ce premier papier a dû glacer d’effroi les responsables du désastre de la gestion de l’épidémie, car le ministre de la Santé François Braun a ouvertement menacé les auteurs initiaux. Jean-Paul Bourdineaud professeur en toxicologie, fera appel à la communauté scientifique « contre l’immixtion du gouvernement dans les affaires scientifiques. » Après analyse de l’étude, il déclare « que les gens soient rassurés, le protocole de cette étude était purement éthique. » Imaginez le nombre de morts provoqués par l’interdiction de soigner !
Ce preprint a donc été retiré pour protéger les auteurs les plus jeunes qui ne voulaient pas ruiner leur carrière, puis finalement publié dans la revue New microbe new infection.
C'est nous les gentils !
Tous les auteurs (dont moi) du preprint qui fait si peur en montrant que l'on pouvait soigner,ont décidé ,par solidarité avec le Pr Lagier menacé par la direction, de retirer le preprint pour ne pas laisser croire à une trahison de sa part et pour…— Didier Raoult (@raoult_didier) June 2, 2023
Les données de l’IHU, disponibles sur internet, ont été ré-analysées de manière autonome et indépendante. Cette nouvelle étude à un résultat meilleur que celui annoncé par l’IHU – 58% de réduction du risque d’hospitalisation et de décès. Les liens des deux études réanalysant les données de l’IHU sont (Lien 1 : étude sur les traitements, Lien 2 : étude sur l’inefficacité vaccinale).
De leur côté, des médecins espagnols ont depuis publié une série de 6217 patients atteints de Covid 19 (hydroxychloroquine and Mortality in SARS-Cov-2 Infection: the HOPE-Covid-19 Registry). Sur les 5094 traités par hydroxychloroquine, la mortalité a été de 17,5 % et pour ceux non traités par hydroxychloroquine, la mortalité a été de 34,1%, soit 50% de moins.
Les conséquences de ce déni de science, entrainant un déni de soin et une perte de chance des patients sont très importantes
Une estimation a été modélisée par Xavier Azalbert afin d’estimer le nombre de vies qui auraient pu être sauvées :
« plus de 90 000 pour la France et 4 millions pour le monde entier ».
- Il conviendra donc que des experts se penchent sur le nombre de vies qui auraient pu être sauvées avec la systématisation des traitements précoces.
En France, 167 642 décès ont été attribués au Covid (source : worldometer). En admettant que la cause de mortalité soit vraiment la Covid et non avec la Covid, et en appliquant le taux de 58,1% d'efficacité des traitements précoces obtenu dans l'étude Lounnas et al, une première estimation du nombre de vies sauvées serait de 97 400 (58,1%*167 642 décès). Le taux de mortalité recalculé en France s'élèverait donc à 1 038 décès par million d'habitants (d/mH) (167 642 - 97 400)/67,697 - la population française ) contre 2 476 d/mH. Toute estimation issue d'un modèle mathématique a besoin d'être calibrée au réel afin d'en valider la pertinence.
Pour ce faire, reprenons l'étude d'Emmerich qui compare au Brésil le Para à l'Amazonas. Au Para, les traitements précoces ont été systématisés et il y a 296 d/mH soit 2 575 décès pour une population de 8,7 millions d'habitants pour la période du 11 novembre 2020 au 15 mars 2021.
En France au 11 novembre 2020, il y avait 42 535 décès covid et 90 832 au 15 mars 2021 (source worldometer). Il y a donc eu 48 297 décès dans la période. En appliquant le taux d'efficacité de 58,1%, on estime que 28 061 décès auraient pu être évités. Les décès covid sur la période se seraient donc élevés à 20 236 et le nombre de décès par million d'habitants serait de 298,93 (20236/67,697). Ce chiffre n'est statistiquement pas différent du chiffre des 296 d/mH de l'État du Para. Ce premier travail de calibration pourra être affiné.Le nombre total de décès attribués à la covid dans le monde s'élève à 7 003 621 (source Worldometer). En appliquant le taux d'efficacité des traitements précoces obtenu dans l'étude Lounnas et al. Ce sont 4 069 104 décès qui auraient pu être évités. Une conclusion qui ne devrait pas laisser insensible les autorités, ainsi que le public, dans sa quête de l'évaluation de l'efficacité des mesures sanitaires de par le monde entier.
Malgré cela, le harcèlement continu - et les procès en cours avec délibéré au 14 mai 2024
Devant l’évidence, certains des « anti Raoult primaires et harceleurs » ont qualifié l’étude de l'IHU d'« essai sauvage », nécessitant un comité d’éthique, alors qu’il ne s’agit en fait que de la publication rétrospective d’une pratique clinique hétérogène. Par exemple, le Dr Molimard s’évertue à essayer de trouver des raisons juridico légales pour faire rentrer cette étude rétrospective dans un essai clinique.
Évidemment, la prise en charge était nécessairement axée sur l’association hydroxychloroquine - azithromycine, car considérés comme presque les seuls traitements efficaces, avec l'ivermectine. À ce sujet vous pouvez entendre les arguments du Professeur Raoult qui déclare « ce que l’on nous a fait subir est immoral et doit cesser. »
Dernièrement Guillaume Limousin était poursuivi devant le tribunal correctionnel de Marseille dans le cadre d'une plainte avec constituion de partie civile déposée par le professeur Raoult, alors que dans le même temps, Kevin Enhart, un proche du collectif NO FAKE MED, était opposé à Marc Doyer, l’époux de Mauricette décédée de la maladie de Creutzfeldt-Jakob possiblement en lien avec le vaccin PFIZER. Le profil de Messieurs Limousin et Enhart est présenté dans l’enquête sur la harcelosphère de France-Soir. Amélie Ismaeli et France Soir ont relaté en direct les audiences dans une série de tweets :
Marseille - ce 1er mars se tient deux audiences importantes mettant en scène deux personnes identifiées dans les enquêtes sur la "harcelosphere". @france_soir couvre ces audiences.
— France-Soir (@france_soir) March 1, 2024
En direct du tribunal de #Marseille, derrière Didier Raoult contre la harcelosphere ✊🏻
— Amélie Ismaïli (@ame_ism) March 1, 2024
Délibéré au 14 mai 2024.
Toute forme de harcèlement est à condamner bien sûr, cependant, les inversions accusatoires de certains membres de la mouvance NO FAKE MED ainsi que certains de leurs proches, sont de plus en plus nombreuses avec des plaintes à foison aboutissant pour la plupart à des classements sans suite pour absence d’infraction qui viennent encombrer inutilement l’appareil judiciaire.
Le vaccin : un échec prévisible et annoncé
Le concept de vaccin n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire. Prévenir une maladie est ce que l’on peut faire de mieux en médecine. Cependant, lors de cette crise de la covid, on a eu l’impression que le seul but était de vacciner, presque "vacciner pour vacciner", le vaccin devenant une fin et non plus un moyen, et ce, au détriment de la réflexion sur les traitements. Or, soigner est le fondement de la médecine.
Nous avions évoqué les problèmes inhérents au vaccin, mal évalués (on ne peut raisonner en patients – année en créant un indice et en proférant qu’il y a des millions d’années de reculs, comme l’évoquait le Docteur Marty). Nous allons résumer les interrogations qui se portent sur le vaccin anti-Covid à ARN messager et expliquer certains mécanismes délétères sans entrer dans les détails scientifiques.
Actuellement, certains scientifiques pensent que ce dernier est très probablement inefficace, y compris sur la prévention des formes graves de la maladie. Certaines évaluations ont pu être favorables au vaccin, mais il y a un biais. Les patients sont considérés comme vaccinés seulement 15 jours après la deuxième dose alors qu’avant cette deuxième dose, des anticorps sont déjà apparus. Le point crucial est que certains de ces anticorps ne sont pas neutralisants, mais facilitants et pourraient favoriser la survenue de la maladie (en abaissant le seuil de l’inoculum provoquant une contamination), y compris les formes graves ; dans ce cas les malades, bien qu’ayant eu le vaccin, sont considérés comme non vaccinés. On a en effet observé des flambées épidémiques juste après les campagnes vaccinales et le Professeur Raoult a observé à l’IHU la survenue de beaucoup de cas dans les jours suivant les injections (Didier Raoult, Vaccins et Omicron, 4 janvier 2024 Vaccins et Omicron).
Une escroquerie peut-être involontaire ? Bref, ce phénomène s’appelle l'effet "ADE" pour antibody-dependent enhancement, ou maladie exacerbée par des anticorps dits « facilitants » et non plus « neutralisants ». De plus, il suffit qu’un variant particulier apparaisse pour favoriser cet effet paradoxal et induire plus de décès qu'en l'absence de vaccination. Malheureusement, le vaccin ne peut qu’avoir un temps de retard sur les mutations qui surviennent rapidement… et nous rappelons qu’on a longtemps vacciné avec le vaccin élaboré avec la première souche du virus.
Rappelons aussi qu’en médecine vétérinaire, ce type de vaccin est contre-indiqué chez les animaux malades, car pouvant exacerber la maladie. Ces questions essentielles ne sont jamais évoquées par le commando de médecins qui a pris le pouvoir en France, et par la meute organisée qui sévit sur les réseaux sociaux, dont certains protagonistes sont rémunérés pour propager la propagande, ainsi qu’à mettre en scène et se plaindre artificiellement de menaces de mort dirigées à leur encontre dont ils sont les principaux artisans (Toute forme d’excès appelant à l’excès inverse et il n’y a pas de fumée sans feu) à les supposer véridiques.
L’autre volet à propos du vaccin concerne les effets secondaires. Ces effets indésirables graves liés au vaccin sont extrêmement mal évalués, et paraissent beaucoup plus fréquents que prévu à la lecture des registres de pharmacovigilance. La protéine Spike est toxique, pro-inflammatoire et agresse l’endothélium (la paroi interne) des vaisseaux. Malheureusement, les effets secondaires ne sont presque jamais déclarés, les médecins n’y pensant pas, ou déclarant de manière péremptoire qu’il n’y a pas de lien avec le vaccin. Comment peuvent-ils proférer de telles affirmations, sur le cas d’un seul malade, en empêchant, du fait de la non-déclaration massive, les calculs statistiques qui auraient pu éclairer la situation et apporter la vérité ? Des thanatopracteurs que nous avons interrogés rapportent de nombreux cas de jeunes personnes vaccinées, et décédées d’infarctus du myocarde et d’accidents vasculaires cérébraux. Par ailleurs, il reste à éclaircir la relation que pourrait avoir le vaccin avec des affections ressemblant à la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Rappelons que la protéine Spike comporte des domaines prion et que l’incubation de cette maladie peut être très longue (plusieurs dizaines d’années) ou très courte (moins d’un an), en fonction de la voie de pénétration de l’agent pathogène (alimentation, versus injection) et de la taille de l’inoculum (l’ARN produit beaucoup de protéines Spike). Le cas médiatique de la regrettée Mauricette Doyer doit donc faire l’objet de toutes les attentions et d’une expertise impartiale.
Bien entendu, les « No Fake Med » ont éludé cette question, volontairement ou pas, niant l'imputabilité de ces événements graves au vaccin, et refusant tout doute constructif (étrange attitude pour les amoureux du doute que sont les « zététiciens » au comportement proche de dérives sectaires, prouvant au contraire une préférence inconsciente pour la pensée dogmatique). Qu'en pense Monsieur Thomas Durand, alias "Acermendax", ou "la Tronche en biais" qui refuse toujours le débat et le dialogue ?
Il est devenu incontestable que le vaccin favorise l'apparition de variants par pression sélective. La protéine spike, cible du vaccin. Le vaccin actuel a en effet été développé pour générer des anticorps contre la seule protéine spike ; il suffit donc de quelques mutations (peu nombreuses) pour que le vaccin protège moins, voire plus du tout. A contrario, un vaccin utilisant le virus entier, inactivé, génère des anticorps contre d'autres régions antigéniques de l’enveloppe virale, diminuant la probabilité d'apparition de mutants. Tout est expliqué dans cet article scientifique paru dans "Archives of Microbiology and Immunology".
Un premier débat a eu lieu entre le professeur Martin Zizi et Pr Steve Pascolo – un débat animé qui a mis en exergue nombre de problèmes et surtout les raccourcis pris afin de faire accepter la technologie à ARN messager au plus grand nombre.
Enfin, une étude publiée le 29 février 2024, conclu à la non-efficacité du vaccin anticovid qui favorise aussi l’aggravation de la maladie dans de nombreux cas.
Les mesures sanitaires inappropriées et nocives
Le Pass sanitaire, qualifié d’odieux dans la première version de la tribune, est aujourd’hui heureusement révolu. Cependant, cela a contribué à générer une forme d’apartheid en contraignant la population à se faire vacciner (une forme d’obligation déguisée) au risque de perdre sa place dans la société. Cela a soumis aussi la population aux risques inhérents à l’injection sans consentement éclairé, alors même que le vaccin était (et est toujours) dans une période d'évaluation mêlant phase trois et pharmacovigilance, et empêchant la prise de recul nécessaire pour un tel produit. Que ceux qui critiquent le professeur Raoult et ses études, enlèvent d'abord la poutre qui obscurcit leur vision !
Mais vous l'avez compris, Bill Gates l'a dit !
« Les gens agissent comme s’ils avaient le choix. Vous n’avez pas le choix. La normalité ne reviendra que lorsque nous aurons largement vacciné l’ensemble de la population mondiale.»
Les acteurs
Les acteurs s'organisent autour d'une idéologie, la doxa. Résumons ci-après les éléments normatifs dont il ne faut pas se détacher. Toute personne qui s’en éloigne est opportunément présentée comme un archétype du mal et immédiatement marquée au fer rouge d’antiscience, de complotiste, d’extrême droite au risque de déclassement social et professionnel :
- Aucun traitement n'est efficace, ce en dépit de toutes les études prouvant le contraire (hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, vitamine D, zinc...). Ne faut-il pas une certaine dose de perte de repères de base pour aller militer contre la supplémentation en vitamine D et en zinc, sachant que la majeure partie de la population est carencée et qu'une telle supplémentation est sans risque ?
- Le vaccin est la seule solution – (pour l’approuver il ne fallait aucune alternative thérapeutique).
- Seules les études randomisées en double aveugle ont de la valeur, pourtant évalué par des experts en études comme la nouvelle arme de big pharma.
Les médecins pensant différemment sont des charlatans ou des "désinformateurs criminels" émanant d'un hypothétique « groupe CIA » comme le vocifère le Dr Damien Barraud sur son odieux compte Twitter, entre deux messages insultants illustrés dans la vidéo de ses tweets ci-dessous :
Et cela continue, malgré le fait que Xavier Azalbert, directeur de la rédaction et de publication de France Soir, ait été relaxé par le Tribunal correctionnel de Nancy suite à la plainte en diffamation publique du Dr BARRAUD.
Mais sous quelle structure ?
Nous sommes bel et bien en face d'une structure globale rappelant le "gouvernement collaborateur de Vichy". Nous n'irons pas jusqu'à effectuer un véritable parallèle, les horreurs de cette époque n'ayant rien à voir avec les événements actuels. Cependant, l'esprit, les principes restent similaires, comme nous allons le voir :
- Une nomenklatura distillant le dogme et le message unique, la doxa : le gouvernement et son conseil scientifique pétri de conflits d'intérêt obscurs, que l'on peut qualifier de totalitaire, car concentrant les pouvoirs : exécutif et législatif avec une assemblée à la botte de la république en marche, validant les propositions de loi moyennant une parodie de débat démocratique. En témoigne, les conditions dans lesquelles l'article 4 de la loi sur les dérives sectaires a été présenté à l'Assemblée nationale par son rapporteur auprès de laquelle il avait été exercé un lobbying intense.
- L'Ordre des médecins : aux ordres du gouvernement, comme une police de la pensée, pourchassant les médecins « déviants », et les traduisant en chambre disciplinaire au prétexte du non-respect du code de déontologie (article 39 - charlatanisme : toute proposition de traitement allant à rebours de la doxa étant considéré comme tel). Le décret du 22 décembre 2020 modifie le code de déontologie des médecins et vient encore plus limiter leur liberté d'expression concernant des actions d'information du public à caractère scientifique.
- La milice : des pseudo-citoyens et médecins délateurs au comportement totalitaire, gardiens de la doxa, de la pensée unique et dont nous savons que certains sont payés pour : dénonçant en adressant leurs réponses Twitter à l'Ordre quand ils sont en désaccord avec le discours d'un médecin favorable à Didier Raoult ou Christian Perronne ; harcelant les professeurs Raoult et Chabrière, qui représentent pourtant l'excellence de la recherche française en biochimie. Qui sont-ils ?
Assurément des seconds couteaux frustrés, éjectés de la recherche, n'ayant jamais vu un malade, reconvertis en professeurs de mathématiques (Guillaume Limousin alias Sonic_urticant ou le gilet jaune Alexander Samuel), un médecin peut être atteint du SGT (syndrome de Gilles de la Tourette) car distillant l'insulte presque à chaque message (Dr Damien Barraud), et persistant encore à ce jour presque trois ans après. La victimisation comme outil, voire comme mode de fonctionnement.
Lonni Besançon aurait été « exclu » de Monash University de Melbourne en Australie. Les universitaires australiens ont-ils apprécié son comportement grossier sur Tweeter ? Et notamment ses nombreux messages mentionnant « les boules de Raoult ». Malgré cela, il aura un édito partisan et sans contradicteur dans la revue Science.
Le fameux « Sonic » – Guillaume Limousin crie au scandale quand il se considère comme « doxé », alors qu’il affiche clairement son identité pour organiser une cagnotte, ou encore dans des médias mainstream, comme l’Express – et se retrouve devant un tribunal. Sans parler du langage et du rôle questionnable de Me Eolas sur twitter qui n'hésite pas à appeler à faire des cagnottes à ses clients (Sonic, Antoine Daoust). Est-ce l'occasion pour lui de faire du business avec les seconds couteaux telle la voiture balai du Tour de France ? Il s'est présenté comme avocat de plusieurs parties mises en cause dans la harcelosphère faisant ainsi le lien entre les divers groupes identifiés dans les enquêtes de France-Soir. D'ailleurs fidèle lecteur de France-Soir et des tweets de Xavier Azalbert qu'il est, Me Eolas a réagi au quart de tour au teaser de cet article, avec le tweet ci-dessous. Une interrogation subsiste, pendant que France-Soir fait du journalisme et l'information, Eolas fait-il du business ou une pièce de théâtre ?
En sus, il y a une autoproclamée déceleuse de fraudes scientifiques Elisabeth Bik, à la morale incertaine qui voit des fraudes là où il n’y en a pas. Facilement débunkée par cet article qui montre que Bik ne sait pas utiliser les logiciels de détection de copier-coller. Bik n'a d'ailleurs toujours pas répondu aux questions de France-Soir sur ce sujet !
Cette structure organisationnelle ne manque pas d'intéresser les magistrats à chaque fois qu'il y a une audience.
Quelle asymétrie en l'excellence des professeurs de l'IHU, et cette médiocrité atteint du syndrome de Dunning-Kruger !
- Les frasques de ces différentes personnes ont été relatées dans la série d’articles sur la « harcelosphère ». Quatre articles ont été écrits reprenant l’enquête complète sur près de deux ans (article 1, 2, 3, et 4). Ces individus au comportement agressif, loin d’avoir honte de voir leurs insultes et vulgarités exposées au grand public, ont conformément à leurs habitudes, pratiqué l’inversion accusatoire et se posent en « victimes. » Le quatrième article est plus particulièrement consacré à l’univers des Fact-checker et à leurs méthodes mafieuses.
- Un ensemble de documents, dont certains constatés par huissier, ont été obtenus suite à l’infiltration du réseau se réclamant des « No Fake Med », des individus ayant une affection particulière pour la médecine normative et une haine développée contre le Professeur Raoult. Ces groupes de harceleurs ont en effet été infiltrés par un twitto @AgainstRaoult, un nouveau « Kim Philby » du nom d’un agent double bien connu de la guerre froide, selon France-Soir.
- Les « SonicLeaks » mis au grand jour par @AgainstRaoult ont prouvé les activités compulsives emplies de haine, et le harcèlement organisé confinant au délire de Sonic_urticant en particulier à l'égard du professeur Eric Chabrière, avec incitation à le dénoncer auprès de différentes tutelles. Un tutoriel de harcèlement a même été établi contre lui par Guillaume Limousin.
Guillaume Limousin alias @sonic_urticant a aussi naguère menacé le sénateur Alain Houpert qui avait porté plainte. Il a eu un rappel à la loi.
En conséquence, de nombreux procès en diffamation ont été intentés par le Professeur Raoult et par d'autres comme l'association Bonsens.org ou les victimes
- À cette première plainte, viennent s’ajouter des victimes ainsi que des chefs d’infraction plus graves. Une sommation interpellative du proviseur du lycée dont dépend Guillaume Limousin a été faite. Elle permet d’en savoir plus tout en informant la hiérarchie des agissements portant atteinte à l’honneur de l’éducation nationale en général et de son lycée en particulier.
- La justice a ouvert une enquête préliminaire suite notamment à une escroquerie au jugement de Guillaume Limousin et d’autres personnes, ainsi que pour des faits de faux et usage de faux pouvant impliquer un certain Vladimir Lapostolle.
- Suite à la diffusion du reportage « Didier Raoult LE SAVANT FLOU » de l’émission de France TV complément d’enquête dans le lequel on retrouve de nombreuses personnes notoirement hostiles au professeur Raoult, une enquête préliminaire a aussi été ouverte suite à une plainte de ce dernier et du Professeur Chabrière.
À titre d’exemple, il parait important de rapporter à nouveau quelques échanges, et le harcèlement organisé contre le Professeur Eric Chabrière. Lisez plutôt :
« On va faire Perronne puis Chabrière », « et il y a deux choses aussi, très utiles : c'est d'écrire aux tutelles de l'IHU à propos de Chabrière »
« moi j’ai bien entamé … hi hi (à faire la peau à Raoult) »Ou ce message : « j’ai même réussi à faire passer deux SMS à Véran »
Dossier de tweets reçus avec commentaires joints (ci-dessous)
Et la suite
Des influenceurs également gardiens du dogme. La professeure Karine Lacombe, le docteur Nathan Peiffer-Smadja. Ces derniers se gardent bien de mentionner leurs liens et conflits d'intérêt. Des pseudo-pourfendeurs de fake news, propageant pourtant des contre-vérités. Par exemple, le Dr Peiffer-Smadja a fait la promotion du Remdesivir sans le moindre discernement. Ci-dessous, vous lirez les explications de @VirusWar.
Les tweets de Peiffer-Smadja faisaient croire que le HCSP avait recommandé en mars 2020 des thérapies cliniques alors que ce n'est pas sa mission ! Sa mission est de conseiller le ministre Véran, pas les soignants.
L'avis disait au ministre de la Santé Olivier Véran de prendre arrêté pour usage compassionnel #remdesivir, ce qu'il n'a pas fait. Les dispositions pénales applicables semblaient être les suivantes :
À noter qu'à aucun moment, Peiffer-Smadja ne rappelait les risques rénaux et hépatiques du #remdesivir qui étaient mentionnés dans l'avis du HCS.
Question éthique, nous pouvons nous demander comment il arrive à publier tant d’articles par an (30 par an, soit plus de deux par mois ? Est-ce possible pour un jeune chef de clinique ? A-t-il réellement contribué à toutes ces études ? En effet, un auteur doit contribuer significativement à toute publication. Est-ce pour se faire nommer professeur ? Qu’en pense le chantre de la vertu scientifique, le Dr Hervé Maisonneuve ?
Un crime, des crimes, oui, mais lesquels ? D’inhumanité ?
Beaucoup, de médecins et de personnes, ont pu constater la souffrance physique et morale subie par les personnes âgées laissées sans soin et les familles sans nouvelles. La question d’un crime d’inhumanité peut donc se poser légitimement, plutôt qu'un crime contre l'humanité. La responsabilité morale du gouvernement et des médecins qui ont cautionné ces actes reste entière et sera lourde à porter bien qu'ils pourraient ne pas faire l'objet d'actions ou de sanctions en justice dans les années qui viennent.
Cependant, au vu des procès en cours, un aveu d’incompétence pourrait ainsi ne pas suffire à la défense en vertu d’une jurisprudence imposant une présomption de connaissance. L’association BonSens.org a d’ailleurs écrit aux membres de la représentation nationale en courrier recommandé à plusieurs reprises afin de les alerter au moment des prises de décisions et que ces derniers ne puissent pas dire ne pas être au courant, et se retrancher derrière la formule « responsable, mais pas coupable ».
Dans la réalité, cela s’apparente à un choix, à un tri humain, en connaissance de cause. Il y a donc bien, au mépris du principe d’égalité républicain, un acte intentionnel de négliger la santé des personnes âgées au profit d’autres personnes plus jeunes (et d'ailleurs aussi perversement vice-versa avec l'argument de la vaccination de masse à risque pour protéger les plus vieux), en connaissance des risques dont l’issue fatale existe. Reconnaissons nous encore en eux nos semblables ? Qu’on ne dise pas que l’on a été pris au dépourvu puisque rien n’a été planifié pour corriger le tir entre la première et la deuxième vague de l’épidémie : négligence d’ouverture de lits, de recrutement de personnels qui auraient pu être soutenus, valorisés par une aide financière à la hauteur de leur engagement surtout au regard des dizaines de milliards d'euros investis dans le support aux commerces et entreprises fermées au prétexte que l'hôpital ne pouvait faire face. Absurdité totale, car redresser l'hôpital aurait in fine coûté beaucoup moins cher. Rappelons que la dette a augmenté de 600 milliards au cours des trois dernières années. Qu’a-t-on fait avec tout cet argent ? Une pétition en cours sur le site du Sénat demande l’ouverture d’une mission de contrôle pour faire la transparence sur l’usage des fonds publics.
Que pourrait dire le droit international concernant le crime contre l’humanité par négligence ? Rappelons qu’il n’y a pas lieu, selon la définition même de ce crime, de différencier contexte civil et militaire ; le crime contre l’humanité est universel. Quelques éléments de réponse dans la thèse « Le périmètre du crime contre l’humanité » de Lucas Vergnaud (master 2 - recherche droit international)
« Toutefois, nous pouvons penser que ces omissions inhumaines s’apparenteraient à une certaine complicité́ passive. C’est-à-dire que l’auteur de l’omission sait qu’un crime contre l’humanité est en train de se produire, et, sans en prendre part, il ne fait rien pour l’en empêcher alors qu’il en aurait le pouvoir ».
Seul le Parlement avait le pouvoir de s'opposer à cela, mais il a failli, de même que le Conseil constitutionnel qui détenaient un pouvoir politique de dénonciation en ce qui concerne le Sénat et un pouvoir de blocage législatif en ce qui concerne le Conseil constitutionnel.
Il faudra bien un jour que le Parlement, le Conseil constitutionnel et les membres du Haut conseil pour la santé publique (HCSP) répondent de tous ces faits particulièrement graves.
« Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » Thessaloniciens 5 :3
Le rôle de l'OMS (organisation mondiale de la Santé) est aussi important surtout avec la volonté de mettre en place un traité pandémie qui permettrait une unification des réponse et aux Etats de se conformer aux demandes de l'OMS. Un transfert évident de souveraineté sanitaire nationale au profit d'une organisation aux financements dépendants des plusieurs ONG ou milliardaires. N'eut-il pas été recommendable de commencer par une analyse de la réponse à l'épidémie de covid-19 au niveau national tel que l'a été demandé dans une pétition sur le site du sénat. Qu'avons-nous fait des 1000 milliards de dettes. Demandons des comptes car il y a des milliards qui se perdent dans la nature.
Et qui est derrière toute cette "escroquerie" ?
Ceux à qui profite le crime. L'industrie pharmaceutique, certains médecins aux ordres ou sujets à des "conventions professionnelles", certains politiques à l'idéologie européiste et mondialiste qui ont, après avoir pendant des décennies lentement sabordé notre pays en détruisant méthodiquement ses valeurs (patriotisme, sécurité, éducation, culture, famille traditionnelle, morale universelle chrétienne sécularisée). Ils ont, soit par intérêt, soit par trahison, soit par manque de discernement, commencé à nous mettre à genoux, puis l'économie à l'arrêt, contribuant à la décadence qui mène à la ruine de la France. Les partisans du Woke, de la Cancel culture, du mondialisme débridé, certaines élites défaillantes et surtout ceux qui ont sur-instrumentalisé la peur d’une maladie dont le taux de létalité a toujours été relativement faible. Avec bien sur en arrière plan, les grands financeurs de ce monde qui gagnent à tous les coups. Sans oublier bien sur l'instrumentalisation de l'Europe par construction opaque et complexe d'entités n'ayant pas de réelle légitimité - comme par exemple le Parquet Européen. Une fuite en avant pour masquer les erreurs du passé.
Puisse-t-elle un jour se relever.
En 2020, nous avions conclu qu’un procès devrait se tenir. Aujourd’hui, ce n’est pas un procès, mais des procès qui se tiennent, et des milliers de victimes qui s’impatientent tant en France qu’à l’étranger. Non des procès en diffamation mais bien des plaintes pénales qui sont instruites. Ursula von der Leyen sera bien devant un tribunal le 17 mai 2024 à Liège pour des chefs d'usurpation de titres, de destruction de documents et de corruption. Ce procès met en exergue le rôle questionnable d'instances supranationales telles que le parquet européen ou les médias bruxellois qui défendent "quoiqu'il en coute" la course effrénée à l'obscur fédéralisme européen. Les nombreux acteurs, aveuglés par idéologie, faisant fi de ce qui est souhaitable ou souhaité par les populations au risque de passer outre leur souveraineté.
Sophia s'impatiente. Et ce n'est que le début.
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