Plus d’effets indésirables graves suite aux "vaccins" que d’hospitalisations Covid évitées pour les 50-74 ans ? Et le soin ?
TRIBUNE - L’organisme EPI-PHARE a publié le 11 octobre 2021 deux rapports pour évaluer l’efficacité de la « vaccination » à prévenir les formes graves de Covid-19. Un des deux rapports concerne les personnes âgées de 50 à 74 ans. Pour cette tranche d’âge, on peut estimer à partir des données fournies, qu’une personne « non vaccinée » a une probabilité de ne pas être hospitalisée pour Covid-19 de 99,952 %, contre 99,995 % pour les personnes vaccinées. Ceci aboutit à un nombre d’hospitalisations pour Covid-19 évitées inférieur au nombre d’effets indésirables graves déclarés suite aux « vaccins » Covid-19, dans les bases de pharmacovigilance de l’ANSM. Même si l’imputabilité des effets indésirables peut être discutée, la très forte proportion de sous-notification en pharmacovigilance apparaît être une certitude. Alors que certains pays semblent avoir déjà engagé des processus d’indemnisation des victimes, la France ne connaît toujours pas de décès imputé à la « vaccination » Covid-19, malgré plus de 1200 décès notifiés. De plus, le caractère altruiste affirmé de ces vaccins ne semble absolument pas manifeste. Parallèlement, en France et depuis des mois, un collectif de médecins (la Coordination Santé Libre) propose des protocoles de prophylaxie, de traitement prophylactique post-exposition et de traitement ambulatoire précoce du Covid-19. Dans le monde, depuis mars-avril 2020 les algorithmes de polythérapies stratifiées s’affinent de jour en jour. Les témoignages, les résultats et les publications concernant des milliers voire des dizaines de milliers de patients traités sont désormais disponibles. Certains territoires entiers apparaissent les expérimenter avec succès. L’heure de la chimioprophylaxie et du soin ambulatoire précoce est-elle venue ?
Le 11 octobre 2021, EPI-PHARE (organismes fondateurs : ANSM et assurance maladie) publiait deux rapports « pour évaluer l’efficacité de la vaccination à prévenir les formes graves de Covid-19 » [1]. Un rapport concerne les personnes âgées de 50 à 74 ans [2] et l’autre les personnes de plus de 75 ans [3]. « L’étude a été conduite sur 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinés comparés à 7,7 millions non vaccinés), incluses entre le 1er février et le 30 avril 2021 et suivies jusqu’au 20 juillet 2021. » [2].
Risque d’hospitalisation pour Covid-19 chez les 50-74 ans.
Dans l’étude portant sur les personnes de 50 à 74 ans [2], la page 23 présente des informations relatives au risque d’hospitalisation pour Covid-19 (Figure 1).
Figure 1 [2]
Ainsi, si on considère la catégorie la plus flatteuse pour l’efficacité « vaccinale » (« Suivi du 14ème jour après la 2ème dose ») on remarque que :
- Sur 3 139 633 personnes « non-vaccinées » suivies, 1522 ont été hospitalisées pour Covid-19. Ceci correspond à un risque d’hospitalisation de 0,048 % ou une probabilité de ne pas être hospitalisé de 99,952 %.
- Sur 3 139 633 personnes « vaccinées » suivies, 158 ont été hospitalisées pour Covid-19. Ceci correspond à un risque d’hospitalisation de 0,005 % ou une probabilité de ne pas être hospitalisé de 99,995 %.
Si on considère ce différentiel en risque absolu ou plutôt en probabilité de ne pas être hospitalisé, on en viendrait à conclure que la « vaccination » contre le Covid-19 chez les 50-74 ans fait passer la probabilité de ne pas être hospitalisé de 99,952 % à 99,995 %. Soit un différentiel absolu de 0,043 point (percentile). Pandémie d’une maladie grave dites-vous ? En termes de consentement libre et éclairé, combien de personnes se sont vues donner ce type d’information avant de se faire « vacciner » ?
Effets indésirables graves déclarés en pharmacovigilance.
Parallèlement sur le site de l’ANSM, on trouve des données de pharmacovigilance relatives au suivi des effets indésirables des « vaccins » Covid-19 [4]. Parmi les effets indésirables, certains sont qualifiés de « graves ».
On peut rappeler qu’un effet indésirable grave correspond à un « effet indésirable létal, ou susceptible de mettre la vie en danger, ou entraînant une invalidité ou une incapacité importante ou durable, ou provoquant ou prolongeant une hospitalisation, ou se manifestant par une anomalie ou une malformation congénitale. Peut également être considéré comme grave tout effet indésirable jugé comme tel par un professionnel de santé. » [5].
L’étude d’EPI-PHARE correspond à un suivi des personnes jusqu’au 20 juillet 2021. On peut consulter, sur le site de l’ANSM, le « point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 - Période du 16/07/2021 au 22/07/2021 » [6]. Ce rapport présente des informations du début de la « vaccination » jusqu’au 22 juillet 2021.
Dans ce rapport, à la date du 22 juillet 2021, 67 020 effets indésirables avaient été déclarés pour l’ensemble des « vaccins », dont 25 % d’effets indésirables graves. Par type de « vaccin » on peut dresser le tableau suivant (Figure 2) :
Figure 2 [6]
Ce bilan permet d’évaluer, d’après les données disponibles, un nombre d’effets indésirables graves (déclarés en pharmacovigilance) pour les 50-74 ans de 8136 jusqu’au 22 juillet 2021. Néanmoins, la répartition par tranches d’âge selon la gravité de l’effet indésirable n’est pas clairement précisée.
Combien d’hospitalisations pour Covid-19 évitées chez les 50-74 ans ?
Sur le site Covidtracker/Vaccintracker[7] utilisant les données du « ministère de la Santé », on peut visualiser l’évolution de la couverture « vaccinale », par tranche d’âge et selon le statut « vaccinal » (partiellement ou totalement « vaccinés » (Figure 3) :
Figure 3 [7]
Ainsi à la date du 20 juillet 2021 : 75,1 % des 50-59 ans étaient partiellement vaccinés, 80,4 % des 60-64 ans, 82,3 % des 65-69 ans et 91,6 % des 70-74 ans.
Parallèlement, sur le site de l’INSEE, on peut trouver les effectifs par groupes d’âge de la population de la France au 1er janvier 2021 (Figure 4) [8] :
Figure 4 [8]
Nous ne commenterons pas l’étrange l’écart relevé entre la population des plus de 75 ans affichée par l’INSEE (6,4 millions d’habitants)[8] et le fait qu’EPIPHARE ait étudié « 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus » [1]. Ceci a déjà été relevé[9][10].
En appliquant les pourcentages trouvés sur Covidtracker/Vaccintracker aux effectifs fournis par l’INSEE, cela donne 16 496 809 personnes partiellement vaccinées, au 20 juillet 2021, dans la tranche d’âge 50-74 ans.
La fenêtre d’efficacité des « vaccins » semble être de quelques mois [11][12][13][14][15][16][17][18]. Un étude suédoise, mise en ligne le 25 octobre 2021, donnerait une durée indicative de cinq à six mois, si on vise une valeur supérieure à 50 % [18b]. L’efficacité concernant les infections Covid-19 symptomatiques finirait même par devenir négative (?) sept à huit mois après la pleine « vaccination ». Ainsi la durée de l’étude EPI-PHARE semble pouvoir être utilisée pour proposer un ordre de grandeur indicatif du taux d’hospitalisations pour Covid-19 évitées.
Rappelons que si on considère la catégorie la plus flatteuse pour l’efficacité « vaccinale » (« Suivi du 14ème jour après la 2ème dose »), la « vaccination » contre le Covid-19 chez les 50-74 ans fait passer la probabilité de ne pas être hospitalisé de 99,952 % à 99,995 %. Soit un différentiel absolu de 0,043 point (percentile).
Si on applique ce différentiel absolu de 0,043 point (percentile) aux 16 496 809 personnes partiellement vaccinées à la date du 20 juillet 2021, on obtient une estimation de 7094 hospitalisations pour Covid-19 évitées pour la tranche d’âge 50-74 ans, sur un laps de temps de quelques mois à l’issue du 14ème jour après la deuxième dose.
Cet ordre de grandeur de 7094 hospitalisations pour Covid-19 évitées doit être comparé au nombre de 8136 effets indésirables graves déclarés à la date du 22 juillet 2021. Il est en revanche vraisemblable que les personnes vaccinées jusqu’au 20 juillet 2021 aient pu être associées à des déclarations de pharmacovigilance bien après le 22 juillet 2021. D’autant plus que les personnes ayant un schéma de « vaccination » incomplet ont par la suite subi une seconde injection, source potentielle d’effets indésirables. Le nombre de 8136 effets indésirables graves présenté est donc un minorant. De plus, en terme de pharmacovigilance, aucune visibilité à moyen et long terme n’est disponible. Le nombre moyen d’effets indésirables déclarés par patient n’étant pas précisé, on peut considérer que le nombre d’effets indésirables déclarés soit également un ordre de grandeur du nombre de personnes impactées.
Afin de permettre un consentement libre et éclairé des 50-74 ans, faut-il leur signaler que la « vaccination » contre le Covid-19 permet de faire passer la probabilité de ne pas être hospitalisé de 99,952 % à 99,995 %, et que (grosso modo) lorsque 7094 hospitalisations pour Covid-19 sont évitées…8136 effets indésirables graves sont déclarés ?
Que dire du rapport bénéfice-risque ? Que penser de cette politique « sanitaire » ?
Et que dire aux personnes de moins de 50 ans ?
S’il ne s’agissait pas de données fournies par EPI-PHARE, par l’ANSM, par l’INSEE et par le « ministère de la Santé » (via Covidtracker), on aurait été tenté de parler de complotisme.
EPI-PHARE versus pharmacovigilance ?
Les études d’EPI-PHARE ont déjà fait l’objet d’une analyse[10]. Il ressort des biais concernant, entre autres, la remontée des hospitalisations et décès liés au Covid-19. À cela s’ajoute toujours la possibilité d’attribuer au Covid-19 d’autres viroses respiratoires, en raison de tests PCR perfectibles [19]. Et si l’ordre de grandeur de 7094 hospitalisations pour Covid-19 évitées était très optimiste ?
Concernant la pharmacovigilance, lors de la sixième session du Conseil Scientifique Indépendant (CSI), le 20 mai 2021, Surya Arby aborde le sujet de la sous-notification en pharmacovigilance [20][21]. Il indique qu’en général les systèmes de notification spontanée n’ont connaissance que de 1 à 10 % des effets indésirables des médicaments. Concernant les effets indésirables vaccinaux, il parle de taux de notification compris entre 0,5 et 3 %. Une autre source propose l’ordre de grandeur de 1 % concernant le taux de notification relatif aux vaccins [22][23]. Pour les médicaments en général, une autre source encore considère qu’environ 95 % des effets indésirables des médicaments ne sont pas rapportés [24]. Au Royaume-Uni, pour les médicaments en général, on estime que le taux de signalement des effets indésirables graves est voisin de 10 %, et celui des effets non-graves se situe aux alentours de 2 à 4 % [25].
Si on prend en compte le taux de notification le plus généreux (10 %), faut-il comprendre que le nombre d’effets indésirables graves à considérer soit dix fois plus élevé : 81 360 ? Dès lors, en termes de comparaison, l’ordre de grandeur optimiste de 7094 hospitalisations pour Covid-19 évitées serait à mettre en perspective avec un ordre de grandeur du nombre d’effets indésirables graves de 81 360 ?
Que dire en termes de consentement libre et éclairé ? De rapport bénéfice-risque ? De politique sanitaire ?
Et que dire aux personnes de moins de 50 ans ?
Imputabilité des effets indésirables ?
L’imputabilité des effets indésirables est un éternel débat. Peu d’indicateurs quantitatifs sont aisément disponibles.
Rappelons que dès le 10 février 2021, la Société française de radiologie alertait sur « la découverte d'une adénopathie axillaire au décours d'une vaccination COVID (incidence supérieure à 10% dans le creux axillaire homolatéral à la vaccination) » [25b]. Le 13 mai 2021, elle publiait un protocole de « Prise en charge en urgence Thromboses post vaccination anticovid » [25c].
Une étude de juin 2021, portant sur l’étude des décès reportés dans la base de pharmacovigilance américaine (VAERS), établit que le « vaccin » peut être imputé comme un facteur du décès dans 86 % des cas [26].
Un autre élément d’imputabilité qui peut être présenté est le délai s’écoulant entre l’injection et la survenue de l’événement indésirable. Une étude concernant le VAERS a été mise en ligne en août 2021[27] [28], on peut voir que :
- 28 % des décès sont rapportés dans les 3 jours suivant l’injection, 40 % dans les 7 jours et 67 % dans les 21 jours.
- 60 % des myocardites et des péricardites sont rapportées dans les 3 jours suivants la vaccination
- 16 % des effets indésirables liés au sang (Figure 5) sont rapportés le jour de l’injection, 44 % dans les 3 jours, 57 % dans les 7 jours et 80 % dans les 21 jours
Figure 5 [28]
- 75 % des évènements impliquant la perte d’un sens (vision, ouie…) sont rapportés dans les 3 jours suivant l’injection
- 64 % des évènements impliquant un trouble neurologique sont rapportés dans les 3 jours suivant l’injection
- 60 % des évènements impliquant un trouble auto-immun sont rapportés dans les 3 jours suivant l’injection
Toutefois, on peut remarquer que même si le nombre d’effets indésirables graves de 81 360 était à corriger, en termes d’imputabilité, de quelques pourcents, il serait toujours à comparer à 7094 hospitalisations pour Covid-19 évitées.
Concernant la reconnaissance et le dédommagement des effets indésirables liés aux « vaccins » contre le Covid-19, l’État de Singapour a publié une grille d’indemnisations selon la gravité de l’effet (Figure 6) [29] :
Figure 6 [29]
Dès le mois d’août 2021, une vague de 144 indemnisations aurait déjà eu lieu dans ce pays [30]. On peut lire : « Une indemnité de 225 000 dollars a notamment été versée à un garçon de 16 ans victime d'une crise cardiaque alors qu'il faisait de l'exercice la semaine suivant son injection. ».
En Thaïlande, fin septembre 2021, 3626 demandes d’indemnisations relatives à des effets indésirables liés aux « vaccins » Covid-19 avaient déjà été acceptées [31]. 464 indemnisations (relatives à des décès et des séquelles graves suites à la « vaccination ») semblent avoir déjà été versées.
Et en France ? Le 15 octobre 2021, Olivier Véran déclarait qu’il n’y avait « à ce stade pas de décès avéré imputable à la vaccination » (Figure 7) [32] :
Figure 7 [32]
Quant aux chiffres qui circulent sur internet, sur le site de l’ANSM on peut compiler les chiffres suivants relatifs aux décès notifiés par type de « vaccin » :
- 216 décès pour Astra Zeneca à la date du 23 septembre 2021 [33]
- 24 décès pour Janssen à la date du 23 septembre 2021 [34]. En outre, le rapport concernant ce « vaccin » précise les délais de survenue des évènements indésirables (Figure 8) :
Figure 8 [34]
On peut noter que près de la moitié des effets indésirables surviennent dans un délai de moins de 24 heures après l’injection.
- 906 décès pour Pfizer à la date du 26 août 2021 (rapport trimestriel) [35].
- 77 décès pour Moderna à la date du 09 septembre 2021 (rapport trimestriel) [36]
Soit un total de 1223 décès… pour l’instant non imputés. L’homo sapiens français est-il si différent de ses homologues singapourien ou thaïlandais ?
Remarquons également que les « vaccins » actuellement injectés (Pfizer et Moderna) ne font plus l’objet que de rapports trimestriels.
Récemment, le professeur Peter A. McCullough, a rappelé que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté » [37]. 26 décès : à l’échelle des États-Unis… Le 21 octobre 2021, Clémence Houdiakova indiquait, en préambule de son émission consacrée aux effets indésirables des « vaccins » contre le Covid-19, que la FDA avait arrêté le programme de vaccination contre la grippe H1N1 avec 57 morts [38].
Des « vaccins » altruistes ?
Un des arguments (d’autorité) avancés pour inciter les personnes à la « vaccination » contre le Covid-19 était qu’il permettait de lutter contre la propagation de l’épidémie. Ces vaccins seraient des vaccins altruistes. Quels résultats concernant la charge virale et la contagiosité étaient alors présentés pour étayer cet axiome ?
Pourtant dès le 2 juillet 2021, on faisait état à Singapour de clusters et de chaînes de transmissions du Covid-19 impliquant 29 « vaccinés » contaminés et 21 transmissions du virus à partir de personnes « vaccinées »… y compris vers des personnes « vaccinées » ! (Figure 9) [39].
Figure 9 [39]
Dès fin juillet 2021, des travaux ont été mis en ligne indiquant que la charge virale des personnes « vaccinées » était similaire à celle des personnes « non vaccinées » [40][41]. Le 10 août 2021, le Professeur La Scola, de l’IHU Méditerranée indiquait que les patients « vaccinés » et contaminés n’étaient pas moins contagieux. Ils seraient même porteurs de charges virales plus élevées que les non « vaccinés » (Figure 10) [42].
Figure 10 [42]
On pourra également remarquer que lors du démarrage de la vague épidémique de juillet 2021 en Islande, sur les premiers jours de la vague (du 10 au 15 juillet), tous les cas d’infections Covid-19 répertoriés étaient « vaccinés » (Figure 10b) [42b] [42c]. Seraient-ils les initiateurs de cette vague épidémique ?
Figure 10b [42b]
Si ces « vaccins » ont été présentés péremptoirement comme étant altruistes, les faits ne semblent pas aller dans ce sens. Une étude publiée le 30 septembre 2021 n’indique-t-elle pas que le nombre de cas de Covid-19 ne semble pas corrélé (favorablement ?) au niveau de « vaccination » [42d] ? Une autre étude publiée le 29 octobre 2021 suggère que la « vaccination » ne réduise pas le risque de transmettre le virus aux personnes vivant sous le même toit [42e].
Quel serait l’intérêt d’un vaccin non altruiste pour lequel la balance bénéfice-risque est plus que discutable (pour les moins de 75 ans) ?
France : propositions de chimioprophylaxie et de traitements ambulatoires précoces.
Rappelons que sur le site C19early [43], des dizaines de principes actifs étudiés contre le Covid-19 sont recensés depuis le début de la pandémie. Les différents types de traitements sont également présentés : prophylaxie, post-exposition, phase précoce, phase avancée… Des méta-analyses sont même proposées. Depuis mars-avril 2020, des médecins de terrain proposent des thérapies contre le Covid-19, souvent des polythérapies stratifiées selon le niveau de risque du patient [44].
En France, le 20 novembre 2020, le collectif « Azithro d’hospitalisations » faisait une proposition au ministre de la Santé et au Premier mnistre, avec copie au président de la République, d’un algorithme thérapeutique stratifié [45].
Le 31 janvier 2021, la « Coordination Santé Libre » propose des algorithmes stratifiés selon le stade de la maladie et le niveau de risque du patient[46]. Une bibliographie de 43 références accompagne ce travail.
Les algorithmes de chimioprophylaxie sont multiples (Figure 11). Le bloc commun consiste à associer de la vitamine D à du zinc et de la vitamine C. Pour les personnels soignants exposés, ce bloc peut être complété par de l’ivermectine prophylactique et de la phytothérapie. Une proposition de traitement post-exposition pour les cas contacts est même présentée. Ce traitement est même renforcé dans le cas de personnes vivant sous le même toit que le malade par de la quercétine et plusieurs prises d’ivermectine.
Figure 11 [46]
Les algorithmes de traitements ambulatoires précoces sont également stratifiés (Figure 11b). À un bloc nutraceutique (vitamine D, zinc, vitamine C, quercétine), selon les facteurs de risque et l’évolution clinique, viennent s’ajouter l’ivermectine, puis l’ivermectine ou l’azithromycine, puis l’azithromycine/hydroxychloroquine ou la doxycycline/ivermectine, puis des anticoagulants, puis des anti-inflammatoires puis enfin l’oxygénothérapie.
Figure 11b [46]
L’algorithme de traitement sera affiné le 26 juin 2021, par un travail mis en ligne documenté de 111 références (Figure 12) [47]. Selon la situation, il présente un premier bloc zinc/vitamine D, complété par de l’ivermectine (posologie renforcée), puis de l’azithromycine ou de la clarithromycine ou de la doxycycline et éventuellement du budésonide, puis de l’aspirine voire des anticoagulants, une corticothérapie et une oxygénothérapie. Dans le corpus de l’arbre décisionnel les antihistaminiques et l’hydroxychloroquine sont également mentionnés.
(Figure 12)[47]
La chimioprophylaxie : concurrente directe du « vaccin » en prévention ?
La concurrente directe de la « vaccination » est la chimioprophylaxie. Récemment, le 14 octobre 2021 une méta-analyse concernant la vitamine D, concluait qu’un niveau sérique en vitamine D3 de 50 ng/mL pourrait être corrélé à une mortalité proche de zéro en cas d’infection Covid-19 [48]. N’est-ce pas la teneur proposée par la « Coordination Santé Libre » en prophylaxie depuis le 31 janvier 2021 ? L’utilisation préventive de la vitamine D n’est-elle pas demandée au président de la République depuis le 13 mars 2020 [44] ?
Pourtant, « une étude menée dans une maison de retraite française a révélé une diminution de 89% de la mortalité chez les résidents qui avaient reçu une forte dose de vitamine D peu de temps avant ou pendant la maladie de Covid-19 » [47] [49]. « Une étude menée dans une maison de retraite italienne a révélé une mortalité inférieure de 70% avec la supplémentation en vitamine D chez les 98 résidents de maisons de retraite PCR+ » [47] [50].
Des efficacités de 70 % ou 89 % ne sont-elles pas dignes des efficacités attendues d’un vaccin ?
En ce qui concerne l’ivermectine, son efficacité en prophylaxie a pu être estimée par méta-analyses à 86 % [51], 92 % [52] ou 86% [53] par exemple. À l’heure où le personnel soignant est assujetti à l’obligation vaccinale, rappelons que la majorité de ces résultats concernent l’impact prophylactique de l’ivermectine chez les personnels de santé [51][54]. Les études concernent parfois des milliers de personnes suivies (novembre 2020 [55], août 2021 [56], mai 2021 [57]). Une étude française, disponible en ligne en novembre 2020, concerne des résidents d’Ehpad avec 100 % d’efficacité [58]. En terme de santé publique, au sujet de la gestion des clusters et des chaînes de contamination, on trouve une étude post-exposition sur les cas contacts[59].
Ces efficacités sont également dignes des efficacités attendues d’un vaccin. On pourrait songer à protéger les populations fragiles et/ou exposées…Avec quels effets indésirables ? Parfois saisir les mots-clefs « cluster », « foyer », « Ehpad » ou « hôpital » dans un moteur de recherche est éclairant…
En termes de politique sanitaire, vaut-il mieux s’appuyer sur des molécules connues depuis des décennies et qui semblent présenter des efficacités en prophylaxie voisines de 80 %, ou sur des « vaccins » qui s’appuient sur un rapport bénéfice risque sous-entendant que 7094 (d’après les données EPI-PHARE) soit… nettement supérieur à 8136 (d’après les données de l’ANSM… sans tenir compte des sous-notifications) ?
Pourquoi « vacciner » si on sait soigner avec une efficacité notable avant l’hospitalisation ?
Le 1er juillet 2021, le docteur Éric Menat déclarait lors du Conseil Scientifique Indépendant numéro 12 : « Seuls les médecins qui n’ont encore jamais essayé ce traitement[47] pensent encore qu’il n’existe pas de traitement [de la Covid-19] » [60].
Dès le 14 janvier 2020, Didier Raoult mentionnait l’azithromycine [61]. Depuis mars-avril 2020 les propositions thérapeutiques ont été nombreuses et souvent émanant de médecins de terrain[44]. Si on trouve de nombreux témoignages de médecins de ville [44], accéder à la publication d’un article n’est pas chose aisée. Depuis, l’efficacité seule des macrolides (azithromycine/clarithromycine) a fait l’objet d’une publication : la durée de résolution des symptômes est diminuée de plus de la moitié par rapport au groupe contrôle [62]. La clarithromycine seule semble éviter une évolution défavorable du Covid-19 chez 92 % des patients en prise en charge précoce et 81 % des patients traités plus tardivement [63]. Soulignons encore les très bons résultats obtenus par une maison de retraite en Espagne, avec une « simple » bithérapie azithromycine/anti-histaminique : aucun décès ni hospitalisation [64]. En Roumanie, le docteur Flavia Grosan déclare avoir traité avec succès des milliers de patients à l’aide de clarithromycine [64b].
Dès février 2021, un article de revue d’une équipe japonaise signalait les succès des polythérapies [65]. Le 17 mars 2021, une équipe de médecins américains réunis autour du docteur Procter publiait ses résultats concernant 869 patients [66]. Leur polythérapie impliquait une combinaison de principes actifs choisis dans le bloc zinc/hydroxychloroquine/ivermectine, avec un antibiotique choisi dans le bloc azithromycine/doxycycine/ceftriaxone et des corticoïdes : 88 % de réduction des hospitalisations et 75 % de réduction des décès. Une des cohortes en médecine ambulatoire les plus impressionnantes est celle des docteurs Tyson et Fareed en Californie. Lors de son discours au Sénat italien à Rome, durant l’International Covid Summit, le 13 septembre 2021 le docteur Fareed déclarait avoir pris en charge en traitement ambulatoire précoce (dans les 5 à 7 premiers jours de la maladie) plus de 7000 patients sans aucun décès [67]. Ces patients comprenaient des patients avec plusieurs comorbidités ou âgés de plus de 90 ans. Lors de ce congrès, le docteur Fareed a présenté des résultats concernant 3962 patients traités en phase précoce : 99,8 % de réduction des hospitalisations et aucun décès [68]. Leur protocole a régulièrement évolué : zinc, azithromycine/doxycycline, hydroxychloroquine puis il a été complété par de l’ivermectine, des anti-inflammatoires, de l’aspirine [44] [69]…
En France, il faut souligner l’énorme travail de l’IHU-Méditerranée qui a publié des résultats concernant 10 429 patients ambulatoires [70]. La polythérapie mise en œuvre est une bithérapie azithromycine/hydroxychloroquine, complétée par du zinc et des anticoagulants. Une réduction du nombre de décès de 83 % a été observée, sans aucun décès constaté pour les patients de moins de 60 ans. En termes de cohorte de plusieurs milliers de personnes, signalons une étude iranienne portant sur 28 759 patients [71]. Leur traitement à l’aide d’hydroxychloroquine a permis de diminuer la mortalité de 73%. Le 12 avril 2021, France 3 Provence Côte d’Azur a diffusé un reportage dans lequel, Claude Escarguel indiquait les résultats d’un collectif de médecins traitant le Covid-19 en ambulatoire. La thérapie appliquée s’appuie sur le duo azithromycine/zinc : plus de 5000 patients traités en France et un nombre de décès divisé par 20 [72]. Soit 95 % d’efficacité.
En termes d’études relatives à de grosses cohortes de patients, il faut absolument signaler le travail mis en ligne en mai 2021 concernant une expérience de soin en grandeur nature dans la ville de Mexico [73]. Cette étude porte sur plus de 50 000 personnes soignées. Le traitement proposé contenait de l’ivermectine (deux jours de posologie seulement), du paracétamol et de l’aspirine. Ce simple kit de traitement a permis de réduire les hospitalisations d’un taux compris entre 52 et 76 %.
Encore une fois, que ce soit en prophylaxie, en prophylaxie post exposition ou en traitement précoce, l’ivermectine apparaît comme un couteau suisse anti-covid associé à peu d’effets indésirables. Les expériences de soins fructueuses sur de grands territoires apparaissent : au Mexique, au Pérou, en Argentine, en Inde (Uttar Pradesh), en Indonésie [74]… 28 % de la population mondiale habiterait actuellement dans une zone géographique où l’ivermectine est notablement employée comme traitement contre le Covid-19 [75].
Parallèlement, on entend parler de réquisition d’ivermectine en Martinique [76] ou d’interdiction de prescription « off-label » en Australie [77], pays qui présente plus de morts signalés après « vaccination » que de décès attribués au Covid-19 [77b]. Triste monde, triste époque. Pour la petite histoire, un des tout premiers défenseurs de l’ivermectine (via la trithérapie zinc/ivermectine/doxycycline), le professeur australien Borody [44] vient de mettre en ligne ses premiers résultats, sur 600 patients traités : 93 % de réduction d’hospitalisation et aucun décès [77c] [77d].
Signalons d’autres principes actifs thérapeutiques prometteurs en train de se développer à base d’anti-histaminiques (anti-H1 ou anti-H2) ou de médicaments psychotropes (ayant par ailleurs souvent une activité anti-histaminique) [78]. Ainsi la fluvoxamine et la famotidine apparaissent dans le protocole des docteurs Tyson et Fareed, en cas d’aggravation des symptômes [69]. Le docteur Chetty en Afrique du Sud annonce avoir traité plus de 4000 personnes à l’aide de la « thérapie du 8ème jour » [79] [80]. Cette thérapie implique des corticoïdes, de la prométhazine et un anti-H2 (entre autres). Aux États-Unis, le docteur Haider annonce avoir traité 4000 patients à l’aide d’ivermectine et de fluvoxamine [81]. Il annonce 5 hospitalisations et aucun décès. Par ailleurs, une publication intéressante sur la fluvoxamine est sortie le 27 octobre 2021 [82]. Malheureusement, l’approche thérapeutique présentée est une monothérapie, alors que depuis mars-avril 2020, les médecins qui traitent le Covid-19 en ambulatoire proposent très souvent des polythérapies [44].
Avec de tels niveaux d’efficacité annoncés, sur de telles cohortes, quel est le sens d’un vaccin ?
En termes de consentement libre et éclairé, faut-il indiquer aux Français (dans la tranche d’âge 50-74 ans) :
- que sur une période de plusieurs mois leur probabilité de ne pas être hospitalisés pour Covid-19 est voisine de 99,952 % ?
- qu’il est tout à fait possible que le nombre d’effets indésirables graves déclarés suite aux « vaccins » soit supérieur au nombre d’hospitalisations pour Covid-19 évitées ?
- qu’il existe des propositions de chimioprophylaxie, alors que l’efficacité affichée des « vaccins » semble limitée à quelques mois ?
- qu’il existe des propositions de traitements prophylactiques post-exposition pour les cas-contacts ?
- que les algorithmes de traitements ambulatoires précoces stratifiés n’ont fait que s’affiner et se compléter depuis mars-avril 2020 ?
- que des travaux et des témoignages portant sur des milliers, voire des dizaines de milliers de patients traités s’accumulent ?
- que des expériences de soins précoces sur des territoires entiers semblent fructueux ?
- que l’hôpital existe (encore ?) si le traitement ambulatoire précoce ne permet pas d’enrayer la maladie ?
Étrange monde lorsqu’on essaie en population générale des injections expérimentales, alors que, dans l’urgence, la présomption d’efficacité est refusée à des principes actifs connus depuis des décennies et bon marché.
Le 20 avril 2021, l’UPGCS écrivait : « Nous avons les preuves d'enregistrements téléphoniques et de SMS illustrant que [le président Macron] ainsi que Mme Brigitte Macron ont essayé de faire bouger les choses mais qu'ils se sont heurtés au « système » médical et à son potentiel « d'emprise » sur une population perdue, mais aussi sur des médecins de ville tétanisés par les menaces planant en cas de « traitement » autre que le Doliprane. » [83].
Certaines décisions concernant la crise sanitaire du Covid-19 ont été prises en Conseil de défense et de sécurité nationale et seraient couvertes par le secret défense, pour une durée de 50 ans [84].
Aujourd’hui, des dizaines de milliers de travailleurs sont soumis à l’« obligation vaccinale » et voient la balance médicale bénéfice-risque être pondérée par une perte de revenus conditionnée à l’injection.
L’État français est-il en train de donner rendez-vous à ses soignants dans 50 ans ?
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