Signes de faiblesse du gouvernement
Difficile d’ignorer les signes de faiblesse alarmants des locataires de la Maison Blanche. L’entourage proche de Biden a beau limiter ses apparitions en public et ses déclarations devant la presse et les caméras, la dégradation de ses facultés cognitives devient chaque jour plus flagrante. À la moindre question, le Président bredouille et sort des fiches de sa veste pour répondre. En plein conférence de presse, il s’est mis à murmurer dans le micro pour promouvoir son plan d’aide aux chômeurs suite aux conséquences économiques désastreuses des mesures covid sur la classe moyenne. Ces images ont circulé sur les chaines conservatrices ainsi qu’à l’étranger : la chaine australienne Skynews a invoqué les dangers d’une présidence américaine affaiblie pour guider l’Occident et maintenir le fragile équilibre géopolitique mondial. Les médias mainstream tentent d’entretenir l’image de sympathie du président : Associated Press, le Washington Post, MSNBC montrent Joe Biden en train de manger de la glace, créant un malaise croissant chez les Américains : leur dirigeant est-il en mesure de gouverner leur pays qui demeure pour le moment encore le champion du monde libre ?
Si Biden n’est pas aux commandes, la situation est encore plus inquiétante, car Kamala Harris démontre chaque semaine un peu plus son incompétence. Alors que Biden l’a chargé de prendre la responsabilité de la crise de la frontière sud du Texas où les migrants affluent par centaines de milliers, elle a évité de se déplacer pour soutenir douaniers et fonctionnaires locaux surchargés par le mouvement massif des migrants contrôlé par les cartels criminels mexicains : trafic de drogue, prostitution et trafic sexuel d’enfants sont en hausse exponentielle et les centres d’accueil débordés depuis la prise de fonction du tandem Biden-Harris. Invité par le gouverneur Greg Abbott, Donald Trump - dont la politique migratoire a démontré son efficacité - s’est rendu à la frontière sud du Texas pour faire le point sur la situation, accompagné d’une délégation républicaine. Du coup, le 25 juin, Harris a fait un saut de quelques heures à El Paso, et son apparition a fait un flop. Dans cette ville du Texas choisi soigneusement car moins touchée par la crise de l’immigration, Harris a été accueillie par une haie de protestataires hispano-américains armés de banderoles affichant « vous arrivez trop tard », ou « nous sommes républicains ». Le 30 juin, Politico a publié un article exposant la désorganisation et les rapports tendus et conflictuels au sein du cabinet de Kamala. Certains de ses employés se déclarent maltraités et ont préféré démissionner . Comme le résume le journaliste de Fox News Tucker Carlson à propos de Harris : « she’s a joke ». Si le tandem est inopérant, qui assure la sécurité nationale et fait face aux enjeux géopolitiques, autrement dit, qui gouverne les USA ?
L’audit électoral du comté de Maricopa
Pendant ce temps, les résultats de l’audit en Arizona se font attendre. Alors que la société Cyber Ninjas recrutée par les sénateurs et secondée par une armée de volontaires a terminé la première phase de recomptage des votes du comté fin juin, déménagé les bulletins et les machines mis en sécurité dans des espaces de stockage et quitté le Colisée, la Présidente du Sénat Karen Fann a annoncé qu’un double comptage des bulletins va être effectué avec des machines de recomptage appartenant au Sénat pour assurer la validation des résultats à 100%. L’audit a déjà été retardé par la pression des démocrates relayée par le discrédit systématique des médias mainstream. Le collège électoral du comté de Maricopa et en premier lieu la secrétaire d’État Katie Hobbs, ont tout fait pour bloquer cet audit, refusant de fournir les mots de passe d’accès aux machines de vote comme la loi l’exige et malgré les assignations du sénat. De quoi ont-ils peur ? La prise en main des élections par les GAFAM a laissé ses empreintes partout. Le CEO de Facebook Mark Zuckerberg a payé via son association CTCL 3 millions de dollars au comté de Maricopa avant les élections, sur un total de 350 millions distribués dans tout le pays pour faciliter le vote par correspondance en envoyant des millions de bulletins par la poste et en installant dans les comtés stratégiques des boites de dépôts. Qui a rempli ces bulletins et vérifié leur validité ? Qui a assuré le relevé des boites et sous quel contrôle ? Dans le comté arizonien en cours d’investigation, personne ne sait qui a touché cet argent ni pourquoi il a été utilisé . Si le collège électoral n’obtempère pas, le Sénat devra lancer une procédure judiciaire qu’il est sûr de gagner, mais cela retardera d’autant l’achèvement de l’audit. À ce jour, les résultats n’ont pas fuité, même si la sénatrice Wendy Rogers, ancien lieutenant-colonel de l’US Air Force a affirmé dans un tweet qu’il y avait un écart significatif avec les résultats officiels. Malgré les embûches et grâce aux contributions financières des patriotes et aux nombreux volontaires, la démarche est professionnelle, transparente et respectueuse de l’État de droit, comme l’ont constaté les représentants de 20 autres États venus sur place visiter le site. Ceux-ci ont qualifié l’audit de « référence absolue », et ont été inspirés pour conduire eux-mêmes des audits judiciaires similaires, en premier lieu la Géorgie et la Pennsylvanie.
Le 15 juillet, le sénat de l’Arizona conduit des auditions publiques concernant les élections. L’auditeur Ben Cotton a confirmé que ni les routeurs ni les mots de passe d’authentification n’ont été fournis par le comté. Ces routeurs ainsi que les journaux des transactions sont indispensables, car les auditeurs ont constaté des infractions par accès à distance non autorisés en quantité anormale durant les élections du 3 novembre ; ils certifient que les systèmes Dominion, accessibles via Internet, sont vulnérables à des cyberattaques…
Le sénateur arizonien Sonny Borelli assure que l’audit sera conduit jusqu’au bout. Il a rappelé que les législateurs de l’État remplissent une fonction gouvernementale, celle d’organiser les élections avec des procédures robustes assurant la validité des votes, et que les associations privées n’ont pas à s’en mêler. Pour Borelli, « le fait d’auditer le département des élections de l’État devrait être une procédure régulière, car les électeurs ont le droit constitutionnel de vérifier l’intégrité du processus électoral. »
Déclenchement des audits en Pennsylvanie et Géorgie
Le sénateur de Pennsylvanie Doug Mastriano se bat depuis six mois pour rétablir l’intégrité des résultats électoraux. Après avoir visité le site de l’audit à Phoenix, il vient d’adresser un courrier officiel à trois comtés : Philadelphie démocrate, York et Tioga républicains, leur demandant de fournir tous les éléments nécessaires d’ici le 31 juillet pour conduire ces investigations judiciaires non partisanes. Si les comtés ne se plient pas à la demande, le Sénat a l’autorité constitutionnelle pour voter l’ordonnance de l’audit et émettre une assignation début août. Ce supporter de Donald Trump n’entend pas lâcher : consterné par les nombreuses irrégularités commises pendant les élections, Mastriano s’attend à des tentatives de blocages similaires à celles déployées en Arizona, y compris de la part des élus de son propre parti.
Idem en Géorgie où les décomptes d’erreurs, de falsifications et de fraudes s’accumulent rendant la situation intenable pour les RINO, le gouverneur Brian Kemp et le secrétaire d’État Brad Raffensperger. La preuve la plus flagrante a fait le tour des réseaux sociaux en décembre dernier : la vidéo de la caméra de surveillance montre les employés électoraux du comté de Fulton sortir des valises de bulletins de dessous les tables pour les comptabiliser dans les tabulateurs après le départ des observateurs et de la presse, renvoyés sous prétexte de suspension du dépouillement jusqu’au lendemain matin. Vernon Jones, candidat républicain pour le poste de gouverneur, a remis en cause l’usage illégal des boites de dépôt pour les bulletins de votes par correspondance. Il a confronté Devon Sayers de CNN dans un échange cocasse en retournant la question au journaliste et exigé un audit judiciaire des 159 comtés de Géorgie .
Avec la dé-certification des résultats de ces trois États, leurs 47 grands électeurs reviennent à Donald Trump et le vote bascule aisément en sa faveur. Mais on est encore loin du compte. Le vétéran Seth Keshel, spécialiste du renseignement militaire, étudie les tendances statistiques des résultats électoraux sur des dizaines d’années, État par État, en intégrant l’évolution de la population et de l’électorat. D’après lui, les États où les fraudes ont eu lieu sont nombreux : il a déjà effectué ses analyses précises comté par comté pour le Nevada, le Michigan, le Wisconsin, l’Alaska, le Maryland, le Texas, le Minnesota… Dans les États où Trump a gagné, il a en fait gagné avec une marge beaucoup plus forte. Dans sa nouvelle étude, S. Keshel est en train de corréler les résultats des comtés avec les montants distribués aux comités électoraux par Zuckerberg via CTCL pour exposer l’influence directe des GAFAM sur les élections par des incohérences statistiques. Comme l'assure ce fin statisticien, « les chiffres ne mentent pas, cette élection a été volée. »