Australie : un prisonnier frappe à mort son codétenu à coups de toaster à sandwichs

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La rédaction de FranceSoir.fr
Publié le 03 janvier 2017 - 12:42
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Une prison française.
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©Francois Mori/AP/Sipa
Un prisonnier australien s'est acharné sur son codétenu à coups de toaster.
©Francois Mori/AP/Sipa
Un prisonnier australien de 77 ans a tué son codétenu à coups de toaster à sandwich. Rapidement pris en charge par les secours, la victime a été transportée dans un état critique à l'hôpital mais le vieil homme n'a pas survécu à ses blessures.

L'histoire est assez déroutante. En Australie, un prisonnier de 77 ans a tué son codétenu de 71 ans avec une arme peu conventionnelle. Il est ainsi accusé d'avoir frappé à mort, à l'aide d'un toaster à sandwichs, Frank Townsend dans la cellule qu'ils partageaient dans une prison, proche de Sydney, réservée aux détenus âgés. C'est le gardien de la cellule qui a découvert la scène après avoir entendu des bruits suspects provenant de leur espace de vie. "Le gardien a allumé la lumière et a vu que le détenu de 71 ans avait été agressé", a déclaré une porte-parole de l'administration pénitentiaire de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud.

Rapidement pris en charge par les secours, la victime a été transportée dans un état critique à l'hôpital. Mais malheureusement, le vieil homme n'a pas survécu à ses blessures. Pour le moment, les raisons de cette altercation ne sont pas connues. Toutefois, d'après l'administration pénitentiaire, il n'y avait pas de problème connu entre les deux hommes.

L'agresseur, John Walsh, avait été condamné à la perpétuité en 2008 pour les meurtres de sa femme et ses deux petits-enfants. Cette année-là, il avait battu à mort son épouse et son petit-fils de sept ans et avait noyé sa petite fille de cinq ans dans la baignoire. Il avait également tenté de tuer sa fille avec une hache.

Quant à la victime, on ne connaît pas les raisons de son incarcération. Mais selon les informations du Parisien, il avait été libérée en 2016 mais n'avait pas respecté les conditions de la libération conditionnelle. Il avait donc été remis en détention.

 

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