Laval : disparition d'un adolescent de 17 ans, un appel à témoins pour le retrouver
Il n'a plus donné signe de vie depuis plusieurs jours. Grégoire Buchot, un lycéen de 17 ans originaire de Saint-Jean-sur-Mayenne (Mayenne) n'est pas rentré au domicile familial depuis mardi 16. D'après les derniers éléments rapportés, le jeune homme, en difficulté scolaire, aurait quitté son lycée de Laval aux alentours de 9h15 le jour de sa disparition. Depuis, ses proches et ses amis n'ont reçu aucune nouvelle.
La police nationale a donc lancé un appel à témoins, diffusé sur son compte Twitter, afin de le retrouver le plus vite possible. De corpulence mince, l’adolescent mesure 1,83 m, a les yeux marron, les cheveux bruns et courts ainsi qu'une petite barbichette. Il porte des lunettes de vue (monture noire en plastique) et était vêtu d’un blouson noir en simili cuir, d’un jean foncé et de baskets noires de marque Nike "avec liseré blanc" lorsqu'il a disparu. Il portait également un sac à dos Eastpack noir.
Toute personne ayant donc une information à son sujet est priée de contacter le commissariat de Laval en composant le 17 ou le 02.43.67.81.81.
A lire aussi - Disparition: Téo a été retrouvé sain et sauf, il avait fugué
Sur son compte Facebook, le père du jeune homme a expliqué que son fils avait été vu mercredi 17 au soir à plusieurs reprises à Château-Gontier. "Après recherches, nous ne l'avons pas encore retrouvé. Il est susceptible d'aller vers Angers", a confié le papa sur le réseau social demandant à tous ses contacts de relayer l'information .
Ces derniers jours, les disparitions d'adolescents sont nombreuses. Agé de 12 ans, Téo avait disparu le 12 janvier dernier à Ferrière-la-Grande (Nord) avant d'être retrouvé le lendemain soir à 150 kilomètres de chez lui. Quelques jours avant, deux autres jeunes garçons, prénommés Tristan et Nathan, s'étaient eux aussi volatilisés de Saint-Sulpice-la-Pointe (Tarn). Ils ont été retrouvés une semaine plus tard à Toulouse. Tous avaient fugué.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.