Un homme de 81 ans meurt en visionnant un film porno dans un sex-shop

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La rédaction de FranceSoir.fr
Publié le 02 août 2016 - 16:47
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Un homme de 81 ans est décédé d'une crise cardiaque pendant qu'il visionnait un film pornographique dans un sex-shop à Toulouse.
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Un homme de 81 ans est décédé d'une crise cardiaque pendant qu'il visionnait un film pornographique dans un sex-shop à Toulouse.
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Une projection fatale: un homme de 81 ans est décédé dimanche à Toulouse alors qu'il visionnait un film pornographique dans un sex-shop. L'octogénaire a succombé à un malaise cardiaque.

Un homme de 81 ans est décédé dimanche 31 dans l'après-midi à Toulouse mais dans un lieu inhabituel: un sex-shop. L'établissement situé rue Lafon dans la ville rose, possède une partie boutique et une partie dédiée au visionnage de films pornographiques, où les clients peuvent se réunir dans des salles collectives ou s'isoler dans des cabines individuelles. Le vieux monsieur avait décidé de regarder un film dans une cabine privative et c'est là qu'il a succombé à un malaise cardiaque, en pleine projection.

Les secours sont arrivés sur place très rapidement, à la fois les pompiers et le Smur (Service mobile d'urgence et de réanimation) ont essayé de ranimer l'octogénaire mais ils n'ont pu que constater son décès. Le gérant du sex-shop, interrogé par 20 minutes, a refusé de préciser si l'homme était un habitué des lieux mais a déclaré qu'il n'était pas rare pour lui d'avoir une clientèle âgée, souvent des vieux messieurs qui ont perdu leur compagne.

Ce décès inopiné n'est pas sans rappeler celui d'une jeune femme morte d'une rupture d'anévrisme pendant qu'elle se masturbait. Elle avait été retrouvée sans vie dans sa salle bain, un sextoy à ses pieds et les médecins légistes étaient arrivés à la conclusion que l'orgasme avait provoqué une "hémorragie méningée consécutive à la rupture d'un anévrisme cérébral". Le docteur Constantin Blanke-Roeser, de l'Institut de médecine légale de l'université de Hambourg en Allemagne, confiait alors qu'il existait sans doute plus de cas de décès pendant l'acte sexuel que ceux déclarés et que "dans l'ensemble, les hommes meurent plus souvent que les femmes au cours des activités sexuelles". 

 

 

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