2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements (épisode 8)

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Wolf Wagner, pour France-Soir
Publié le 26 août 2024 - 18:33
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2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements (épisode 8)
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Comment seront perçues les années Covid dans 25, 50 ou 100 ans ? En tant que contemporain de cette période, si vous deviez, vous, les décrire, quelle serait votre approche ? Quels éléments décideriez-vous de mettre en avant pour, de manière la plus intelligible et la plus consensuelle possible, expliquer aux générations futures et aux historiens de demain la réalité à laquelle vous avez fait face ?

C’est avec cet état d’esprit que Wolf Wagner a écrit : Vaccin de Pfizer et transmission du Covid : flagrant déni de propagande !.

Un livre dont France-Soir vous propose de découvrir les premiers chapitres.

Note de l’auteur :

Là où de nombreux succès en librairie se sont attachés, souvent dans l’urgence, à révéler et dénoncer les différentes incohérences, malversations et autres manipulations observées durant la pandémie de Covid, ce livre, toujours en cours d’écriture, vise, lui, à prendre le temps de vous les « raconter » avec un regard journalistique.

En ce sens, ce texte s’appuie sur un contenu rigoureusement vérifié, daté et sourcé (vous renvoyant vers d’innombrables documents officiels, déclarations, témoignages, articles de presse, émissions TV ou radio, interviews, etc.), de sorte à recontextualiser avec précision le point de vue de la population, des autorités et de la presse de l’époque, tout en vous permettant de vérifier, par vous-même, chacune des informations que vous serez amenés à lire.

Il est cependant important de prendre en considération que certains des éléments rapportés dans cette rétrospective ont parfois été extrêmement difficiles à retrouver ou recouper. Si des copies ou des extraits circulent toujours sur les réseaux sociaux, les sources officielles/originelles – souvent compromettantes pour les médias et/ou pour les diverses autorités en charge – sont de moins en moins bien, voire ne sont plus du tout référencées sur les moteurs de recherche… quand elles n’ont pas été purement et simplement supprimées de leurs sites d’origine.

Il est ainsi à redouter qu’une partie des documents joints en démonstration à cet ouvrage disparaisse au fil du temps. Pour autant, de larges citations en animent les pages, de sorte à tout de même laisser une trace de certaines interviews télévisuelles et radiophoniques qui n’avaient, jusqu’alors, jamais été retranscrites.

Bien évidemment, cette œuvre est, et restera, à la fois subjective et incomplète. Elle n’a pas pour prétention de référencer l’ensemble des éléments les plus pertinents qu’il conviendrait de retenir de cette époque. À sa façon et à son humble niveau, ce « livre de la mémoire » souhaite participer, en complément de tous les ouvrages existants ou à venir, au témoignage collectif que nous sommes nombreux à vouloir laisser en héritage.

À ce titre, citons, par exemple, les écrits méconnus d’un internaute, Liutwin. S’il n’a pas cherché à écrire son livre dans une démarche purement journalistique, l’auteur y propose néanmoins un travail de documentaliste indubitablement riche et précieux pour tout individu désireux de s’informer sur cette période (son livre : Covid-19 : Le Grand cauchemar).

L’œuvre, que vous vous apprêtez à découvrir ci-après, se découpe, elle, en plusieurs tomes, eux-mêmes précédés d’une introduction. Cette dernière s’attarde sur les réactions de l’opinion publique et de la presse à la suite des déclarations tonitruantes de Janine Small, une haute dirigeante de Pfizer ayant attesté lors d’une audition au Parlement européen en octobre 2022 que, jamais avant sa commercialisation, l’efficacité du vaccin de son entreprise n’avait été testée sur sa capacité à pouvoir empêcher la transmission du Covid-19.

En partant de ce postulat, ce livre va ensuite chercher à retracer le parcours de la propagande politique et médiatique observée autour des questions propres à la transmission du Covid-19, aux restrictions « sanitaires » instaurées pour la limiter et au vaccin commercialisé par Pfizer pour l’annihiler.

En plus de son introduction, France-Soir vous propose d’en découvrir le premier tome. Consacré à l’année 2020, il étudie la passivité dont a fait montre la presse pour s’opposer à la mise en place de mesures politiques liberticides et déroutantes pour la population… mais surtout aberrantes au regard des informations scientifiques disponibles.

Enfin, dans les derniers chapitres de ce tome 1, une plongée dans l’histoire de France vous démontrera pourquoi la décision de confiner la population a en réalité été calquée sur une stratégie de domination ancestrale de la bourgeoisie.

En outre, même s’il est parfois obligé d’en évoquer les grandes lignes, voire d’en approfondir certains aspects (cf. chapitres sur l’INSEE), ce travail ne vise pas à réaliser une analyse scientifique ou statistique minutieuse de la crise sanitaire (en ce sens, les traitements précoces, l’origine ou la nature du virus ne sont pas abordés dans ce livre). La raison est simple : un tel exercice ne relève pas de mon champ de compétences. Journaliste depuis plus d’une quinzaine d’années, mes thèmes de prédilection tournent davantage autour de sujets politiques, sociétaux, ayant trait à l’observation du bon respect de la déontologie au sein de la presse ou à la défense des libertés individuelles et collectives qu’aux mathématiques, à la virologie, à l’infectiologie, à l’épidémiologie et à la biologie !

Par ailleurs, si la critique du journal Libération sert de « point de départ » et de « fil conducteur » à cette analyse, le quotidien étant celui qui s’est le plus attelé à relativiser la portée des propos de Janine Small, qu’il soit toutefois bien acté que l’AFP, BFMTV, CNEWS, Le Monde ou Le Parisien, dont le travail est également longuement décrypté dans cet ouvrage, sont tous autant coupables de s’être enfermés dans le plus profond des dénis journalistiques au cours des dernières années.

Puisse la mise en perspective qui va suivre permettre à cette agence de presse et à l’ensemble de ces titres de s’en libérer un jour. Puisse-t-elle également leur faire prendre conscience de l’ahurissante propagande politique dont ils se sont rendus, et continuent de se rendre complices. 

Wolf Wagner
Journaliste indépendant.


Table des matières (complétée au fil des publications) :

  • Introduction  : Déclarations de Janine Small, entre scandale et « non information ». (épisode 1)
     
  •  Tome 1 : 2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements. (épisode 2)
  1. Première partie : Une pandémie de Covid-19 confine la France.
    - I : En 2009, l'OMS fait évoluer le sens du mot pandémie. Le nombre de morts n'est plus pris en compte.
    - II : En mars 2020, la France se confine sur l'avis d'un Conseil scientifique faussement indépendant. (épisode 3)
    - III : « Dans l'immense majorité des cas, le Covid-19 est sans danger » (épisode 4)
    - IV : Grâce au Conseil de défense sanitaire, plus besoin de « s'embarrasser de la lourdeur des discussions inhérentes au fonctionnement normal d'un gouvernement »
     
  2. Deuxième partie : Libération refuse tout débat scientifique sur le confinement. (épisode 5)
    - I : Une étude de l'université de Stanford conclue que le confinement n'a pas empêché la propagation du Covid.
    - II : Libé confond journalisme et prosélytisme...
    - III : ... en s'affranchissant de toute forme de déontologie (épisode 6)
    - IV : Des méthodes indignes du métier de journaliste. (épisode 7)
     
  3. Troisième partie : Les données officielles sur le Covid, source de confusion et de manipulation. (épisode 8)
    - I : Selon le statisticien Pierre Chaillot, l'instauration du confinement n'aurait permis d'éviter aucun décès.

 

TROISIÈME PARTIE
LES DONNÉES OFFICIELLES SUR LE COVID, SOURCE DE CONFUSION ET DE MANIPULATION
 

I/ SELON LE STATISTICIEN PIERRE CHAILLOT, L'INSTAURATION DU CONFINEMENT N’AURAIT PERMIS D’ÉVITER AUCUN DÉCÈS


Si Libération n’a pas été en mesure de nous éclairer sur l’utilité, ou non, de mettre en place un confinement pour limiter la transmission du Covid, à ce stade de la démonstration, une chose est toutefois déjà bien certaine : aucune mesure de ce type impliquant l’intégralité du territoire national n’avait jamais été instaurée en France au cours de quelconque épidémie de Grippe ou de tout autre infection respiratoire.

Or, si en mars 2020 une grande partie des Français a exceptionnellement toléré de rester cantonnée chez elle, c’est avant tout parce que, n’ayant pas pris conscience de l’évolution du concept de « pandémie », elle était encore terrorisée par la mortalité prêtée à ce virus.

Et, pour ne rien arranger, le 15 mars 2020, soit neuf jours après que le chef de l’État a pourtant incité la population à « ne pas modifier [ses] habitudes de sortie » et à peine trois après lui avoir assuré que « dans l'immense majorité des cas, le Covid-19 est sans danger», le journal Le Monde envoyait soudainement un autre son de cloche...

Dans un article, le quotidien s’interroge : « Le Covid-19 sera-t-il au XXIe siècle ce que la grippe espagnole a été au XXe siècle ? C’est en tout cas le scénario le plus alarmiste sur lequel a travaillé le conseil scientifique ».

Selon ce « scénario le plus alarmiste » imaginé par le Conseil scientifique (âgé de seulement quatre jours) et selon les « modélisations confidentielles, dont Le Monde a eu connaissance », ce virus pourrait finalement s’avérer bien plus meurtrier qu’escompté. Le quotidien indiquant que « l’épidémie de Covid-19 pourrait provoquer en France, en l’absence de toute mesure de prévention ou d’endiguement, de 300 000 à 500 000 morts ».
(ndla : cet article sera plus longuement décortiqué dans la quatrième partie de ce livre)

Autant dire que le 16 mars, au lendemain de cette funeste prophétie du Monde, quand Emmanuel Macron décide de confiner l’ensemble du pays pendant quinze jours pour mener sa « guerre » contre le Covid-19, les Français, de plus en plus convaincus de faire face à une épidémie meurtrière, ont alors logiquement consenti à se plier aux injonctions du Président.

Pourtant, depuis, selon l’Université John Hopkins, le total de décès attribué à ce coronavirus (tous variants confondus) est finalement évalué à environ 160 000 morts en France sur l’ensemble de la crise sanitaire, avec un « faible » taux de létalité de l’ordre de 0,42 %, et un pic estimé à environ 1 % en 2020.
(ndla : le taux de létalité représente le nombre de morts au sein d’une population d’individus infectés. À ne pas confondre avec le taux de mortalité qui est calculé sur l’ensemble d’une population)

Au final, si la mortalité provoquée par ce virus s’est avérée bien moins importante que celle imaginée par Le Monde et le Conseil scientifique, une question reste toutefois en suspens : la population française aurait-elle réellement eu à déplorer « 300 000 à 500 000 morts » du Covid si elle n’avait pas été enfermée au printemps 2020 ?

Pour tenter de répondre à cette question, il semble judicieux de s’attarder sur les échanges entendus, presque trois ans plus tard, le 3 février 2023, dans L’Heure des Pros, une émission de télévision diffusée sur CNEWS.

Entre la démonstration statistique de la crise sanitaire proposée par un ancien membre de l’INSEE et le parti-pris assumé des journalistes de la chaîne d’information, cet entretien télévisé résume, à lui seul, ce qu’a été la difficulté rencontrée par la population au cours de cette crise sanitaire pour obtenir des informations suffisamment explicites et fiables concernant la mortalité attribuée au SARS-Cov2. 

Auteur de l’ouvrage : Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels, dans lequel il analyse une large partie des données accumulées sur ce virus, le statisticien Pierre Chaillot a un avis éclairé sur l’impact réel du confinement sur le taux de mortalité de cette maladie.

Invité par le journaliste Pascal Praud à détailler les grandes lignes de son livre, l’homme est présenté par son hôte en ces termes : « Vous êtes un ,professionnel. Vous êtes directeur de Projet Data Intelligence pour le Conseil régional des Pays de la Loire. Vous avez travaillé pour l’INSEE pendant plus de neuf ans entre septembre 2009 et avril 2019, à Lille, puis à Nantes. Donc, vous savez de quoi vous parlez ».

Ce jour-là, sur le plateau, aux côtés de Pascal Praud, se trouvent Laurent Joffrin, journaliste et ancien rédacteur en chef de Libération, et Georges Fenech, ancien magistrat et ex-député Les Républicains, devenu consultant pour CNEWS

Ce dernier interroge directement l’ancien membre de l’INSEE sur l’efficacité du confinement.

Georges Fenech : « Est-ce que d'après vous le confinement se justifiait ? Le confinement général. C'est ça la question ! ».

Pierre Chaillot : « La réponse est non. Il ne se justifiait aucunement ».

Pascal Praud partage l’avis du statisticien et le fait savoir : « Là où il n’y a pas eu de confinement, il n'y a pas eu plus de morts ! En fait, moi, ce qui me frappe, c'est que tu fais tous les pays du monde, tu les prends tous, tu vois toutes les politiques qu'ils ont faites et les chiffres sont globalement les mêmes. Il y a trois États aux États-Unis qui n'ont rien fait. Rien fait ! Notamment la Floride. On est d'accord ?! Les chiffres sont exactement les mêmes et ça montre la folie des hommes de vouloir aller contre ce qui est la nature ».

Pierre Chaillot enchérit : « Prenons la Norvège en Europe. En Norvège, le pays qui n'a absolument rien fait, c'est lui qui a le moins de morts ! ».

Pascal Praud, stupéfait : « La Norvège n'a rien fait ?! ».

Pierre Chaillot confirme : « La Norvège n'a absolument rien mis en place pendant toute l'année 2020 et il n'y a aucune hausse de surmortalité. Prenons nos voisins, les Allemands. Ils ne confinent pas du tout en mars et avril 2020, il ne se passe rien».

Pascal Praud : « Non, mais, ça, c’est simple à vérifier ! »

Laurent Joffrin, ardent défenseur du récit entretenu par les autorités sanitaires au cours de la crise, entre en scène : « De tous les pays scandinaves, c'est la Suède, je crois, qui a eu le plus de morts et ils n'ont pas confiné ».

Pierre Chaillot acquiesce mais, selon lui, cette surmortalité suédoise n’est pas liée à l’absence de confinement : « Il se trouve qu'il y a un rapport d'enquête parlementaire en Suède qui montre que les personnes âgées ont été abandonnées dans les EHPAD et que la surmortalité qui est due en Suède, c'est de l'abandon de personnes âgées».

Bien plus absorbé par la réponse précédente concernant la Norvège que par celle relative aux personnes âgées abandonnées dans les EHPAD suédois, Pascal Praud demande confirmation au statisticien : « La Norvège n'a rien fait ?! Mais pourquoi on ne va pas faire un sujet en Norvège ?! C'est intéressant ! La Norvège n'a rien fait du tout ?! ».

Pierre Chaillot : « Non, pas en 2020 ».

Pascal Praud : « Et il n’y a pas de mortalité ? ».

Pierre Chaillot : « Il n'y a absolument aucune mortalité sur Mars/avril 2020 ».

En résumé, selon Pierre Chaillot – qui « précise que tous [s]es programmes sont en ligne et que toutes [s]es sources sont officielles » – il est tout bonnement impossible d’affirmer que la mise en place d’un confinement a pu permettre d’empêcher le moindre décès du Covid… puisque les pays européens qui n’en ont pas instauré n’ont connu aucune surmortalité en 2020.

(ndla : Pour corroborer les différentes affirmations de Pierre Chaillot que vous serez amenés à lire au cours des prochains chapitres, vous pouvez vous référer aux « sources officielles » relayées dans son livre, mais aussi à toutes celles présentées en notes au fil de ce texte. Un décryptage statistique plus approfondi des travaux (et de la propagande) de l’INSEE, auxquels se réfèrent les intervenants débattant sur le plateau de CNEWS, vous sera également proposé en fin de partie.

Pour débuter :
- Cet article du Parisien du 29 janvier 2021 confirme la nature des mesures mises en place en Norvège en 2020. En résumé, seul la ville d’Oslo a été « semi-confinée »… avant que les restrictions ne soient rapidement levées (comprendre : les salles de sport, les cinémas et les théâtres ont alors été temporairement fermés, mais, à la différence des Français, la population de la capitale norvégienne est restée totalement libre de se déplacer).
- Ces données officielles démontrent que la Norvège a connu une mortalité moins importante que celle de ses voisins scandinaves (et de la France) en 2020.
- Cette carte statistique, consacrée à l’excès de mortalité enregistré en Europe en 2020, vous permet de vérifier que, cette année là, la Norvège a même connu moins de décès qu’attendus initialement, c’est-à-dire avant que le pays ne s’imagine être touché par une « pandémie » de Covid.
- Enfin, ces données, comparant la mortalité entre la France et l’Allemagne, confirment la quasi absence de première vague de Covid au printemps 2020 chez nos voisins germaniques.)


 

  • Wolf Wagner, journaliste indépendant.  

Rendez-vous demain, dans France-Soir, pour découvrir la suite de ce livre.

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