2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements (épisode 1)

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Wolf Wagner, pour France-Soir
Publié le 12 août 2024 - 19:59
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2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements (épisode 1)
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France-Soir
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Comment seront perçues les années Covid dans 25, 50 ou 100 ans ? En tant que contemporain de cette période, si vous deviez, vous, les décrire, quelle serait votre approche ? Quels éléments décideriez-vous de mettre en avant pour, de manière la plus intelligible et la plus consensuelle possible, expliquer aux générations futures et aux historiens de demain la réalité à laquelle vous avez fait face ?

C’est avec cet état d’esprit que Wolf Wagner a écrit : Vaccin de Pfizer et transmission du Covid : flagrant déni de propagande !.

Un livre dont France-Soir vous propose de découvrir les premiers chapitres.

Note de l’auteur :

Là où de nombreux succès en librairie se sont attachés, souvent dans l’urgence, à révéler et dénoncer les différentes incohérences, malversations et autres manipulations observées durant la pandémie de Covid, ce livre, toujours en cours d’écriture, vise, lui, à prendre le temps de vous les « raconter » avec un regard journalistique.

En ce sens, ce texte s’appuie sur un contenu rigoureusement vérifié, daté et sourcé (vous renvoyant vers d’innombrables documents officiels, déclarations, témoignages, articles de presse, émissions TV ou radio, interviews, etc.), de sorte à recontextualiser avec précision le point de vue de la population, des autorités et de la presse de l’époque, tout en vous permettant de vérifier, par vous-même, chacune des informations que vous serez amenés à lire.

Il est cependant important de prendre en considération que certains des éléments rapportés dans cette rétrospective ont parfois été extrêmement difficiles à retrouver ou recouper. Si des copies ou des extraits circulent toujours sur les réseaux sociaux, les sources officielles/originelles – souvent compromettantes pour les médias et/ou pour les diverses autorités en charge – sont de moins en moins bien, voire ne sont plus du tout référencées sur les moteurs de recherche… quand elles n’ont pas été purement et simplement supprimées de leurs sites d’origine.

Il est ainsi à redouter qu’une partie des documents joints en démonstration à cet ouvrage disparaisse au fil du temps. Pour autant, de larges citations en animent les pages, de sorte à tout de même laisser une trace de certaines interviews télévisuelles et radiophoniques qui n’avaient, jusqu’alors, jamais été retranscrites.

Bien évidemment, cette œuvre est, et restera, à la fois subjective et incomplète. Elle n’a pas pour prétention de référencer l’ensemble des éléments les plus pertinents qu’il conviendrait de retenir de cette époque. À sa façon et à son humble niveau, ce « livre de la mémoire » souhaite participer, en complément de tous les ouvrages existants ou à venir, au témoignage collectif que nous sommes nombreux à vouloir laisser en héritage.

À ce titre, citons, par exemple, les écrits méconnus d’un internaute, Liutwin. S’il n’a pas cherché à écrire son livre dans une démarche purement journalistique, l’auteur y propose néanmoins un travail de documentaliste indubitablement riche et précieux pour tout individu désireux de s’informer sur cette période (son livre : Covid-19 : Le Grand cauchemar).

L’œuvre, que vous vous apprêtez à découvrir ci-après, se découpe, elle, en plusieurs tomes, eux-mêmes précédés d’une introduction. Cette dernière, qui vous est offerte à lire aujourd’hui, s’attarde sur les réactions de l’opinion publique et de la presse à la suite des déclarations tonitruantes de Janine Small, une haute dirigeante de Pfizer ayant attesté lors d’une audition au Parlement européen en octobre 2022 que, jamais avant sa commercialisation, l’efficacité du vaccin de son entreprise n’avait été testée sur sa capacité à pouvoir empêcher la transmission du Covid-19.

En partant de ce postulat, ce livre va ensuite chercher à retracer le parcours de la propagande politique et médiatique observée autour des questions propres à la transmission du Covid-19, aux restrictions « sanitaires » instaurées pour la limiter et au vaccin commercialisé par Pfizer pour l’annihiler.

En plus de son introduction, dès demain et jusqu’à la fin octobre, France-Soir vous proposera d’en découvrir le premier tome. Consacré à l’année 2020, il étudie la passivité dont a fait montre la presse pour s’opposer à la mise en place de mesures politiques liberticides et déroutantes pour la population… mais surtout aberrantes au regard des informations scientifiques disponibles.

Enfin, dans les derniers chapitres de ce tome 1, une plongée dans l’histoire de France vous démontrera pourquoi la décision de confiner la population a en réalité été calquée sur une stratégie de domination ancestrale de la bourgeoisie.

En outre, même s’il est parfois obligé d’en évoquer les grandes lignes, voire d’en approfondir certains aspects (cf. chapitres sur l’INSEE), ce travail ne vise pas à réaliser une analyse scientifique ou statistique minutieuse de la crise sanitaire (en ce sens, les traitements précoces, l’origine ou la nature du virus ne sont pas abordés dans ce livre). La raison est simple : un tel exercice ne relève pas de mon champ de compétences. Journaliste depuis plus d’une quinzaine d’années, mes thèmes de prédilection tournent davantage autour de sujets politiques, sociétaux, ayant trait à l’observation du bon respect de la déontologie au sein de la presse ou à la défense des libertés individuelles et collectives qu’aux mathématiques, à la virologie, à l’infectiologie, à l’épidémiologie et à la biologie !

Par ailleurs, si la critique du journal Libération sert de « point de départ » et de « fil conducteur » à cette analyse, le quotidien étant celui qui s’est le plus attelé à relativiser la portée des propos de Janine Small, qu’il soit toutefois bien acté que l’AFP, BFMTV, CNEWS, Le Monde ou Le Parisien, dont le travail est également longuement décrypté dans cet ouvrage, sont tous autant coupables de s’être enfermés dans le plus profond des dénis journalistiques au cours des dernières années.

Puisse la mise en perspective qui va suivre permettre à cette agence de presse et à l’ensemble de ces titres de s’en libérer un jour. Puisse-t-elle également leur faire prendre conscience de l’ahurissante propagande politique dont ils se sont rendus, et continuent de se rendre complices. 

Wolf Wagner
Journaliste indépendant.

 

Introduction : Déclarations de Janine Small,
entre scandale et non-information

 

I/ AVANT SA MISE SUR LE MARCHÉ, L’EFFICACITÉ DU VACCIN DE PFIZER 
N’AVAIT PAS ÉTÉ TESTÉE SUR LA TRANSMISSION DU COVID
 

Le 10 octobre 2022, à la suite du désistement de dernière minute d’Albert Bourla, le PDG de Pfizer, Janine Small, la « Présidente des marchés internationaux » de l’entreprise pharmaceutique, s’est présentée au Parlement européen de Strasbourg pour y être auditionnée par les députés. À cette occasion, la dirigeante de la firme américaine a rappelé qu’en amont de sa mise sur le marché, le vaccin contre le Covid-19 élaboré par sa compagnie n'avait jamais été testé sur sa capacité à pouvoir empêcher la transmission du virus.

Cette prise de parole est ensuite rapidement devenue virale grâce à Rob Roos, l’eurodéputé néerlandais auteur de la question ayant amené Mme Small à faire cette déclaration.

Dans une vidéo, visionnée plus de 13 millions de fois depuis sa publication, le 11 octobre 2022, sur le réseau social Twitter (devenu X depuis le rachat de la plateforme par Elon Musk), Rob Roos se confie à la caméra pour expliquer son incompréhension. L’élu rappelle qu’aux Pays-Bas, une fois les vaccins contre le Covid mis sur le marché, « si vous ne vous faisiez pas vacciner, vous étiez antisocial. C’est ce que le Premier ministre néerlandais et le ministre de la Santé nous ont dit. Vous ne vous vaccinez pas seulement pour vous, mais aussi pour les autres. Vous le faites pour toute la société. C’est ce qu’ils disaient ! ».

Or, pour Rob Roos, après avoir entendu Janine Small expliquer que jamais avant sa commercialisation le vaccin n’avait été testé sur le transmission du Covid, toutes ces injonctions du gouvernement néerlandais ont « tourné en un non-sens complet ».

Du côté des personnalités françaises, telles que Didier Maïsto, Idriss Aberkane, Nicolas Dupont-Aignant ou encore Florian Philippot – quatre figures médiatiques et/ou politiques (aux idéologies plurielles) régulièrement opposées aux méthodes employées par le gouvernement lors de la crise sanitaire – les déclarations de la dirigeante de Pfizer n’ont pas non plus manqué de faire réagir.

Pour Nicolas Dupont-Aignant, « on comprend mieux pourquoi le Président de Pfizer a refusé d’être auditionné par le Parlement européen. Sa représentante avoue que son vaccin n’a pas été testé pour empêcher la transmission ! Un nouveau scandale ! ».

 

Dessin d’Ara publié dans France-Soir le 13 octobre 2022
Dessin d’Ara publié dans France-Soir le 13 octobre 2022


Idriss Aberkane préfère, lui, accuser la presse de complaisance envers l’entreprise pharmaceutique : « Pfizer a donc menti au monde entier. Les fact-checkeurs auraient dû être sur le dos de cette entreprise déjà bien connue pour avoir menti, truqué des études, corrompu des médecins et pratiqué le charlatanisme. Au lieu de cela, ils se sont rangés de son côté. Ça payait mieux ».

Didier Maïsto remarque à son tour « que le vaccin n’empêche pas la transmission » et que « Pfizer a officiellement reconnu qu’aucun test n’avait été fait en ce sens ». Du coup, l’ancien directeur de Sud Radio en veut aux « médecins médiatiques [qui] ont désinformé non stop [en] accusant les non-vaccinés d’être des criminels ».

Pour Florian Philippot : « Toute la sphère covidiste est KO depuis qu’une représentante de Pfizer a craché le morceau au Parlement européen ! Ils tentent de se raccrocher aux branches, mais c’est trop tard : ils ont justifié l’injustifiable. Il va falloir payer maintenant, médecins de plateaux y compris ! ». Le chef de file du micro-parti Les Patriotes demande donc des sanctions judiciaires pour « tous ceux qui ont dit ou écrit à un moment que le vaccin bloquait la transmission. [Ils] doivent maintenant passer devant le juge. Ça suffit cette histoire est trop grave ! ».

Du côté de la presse étrangère, cette nouvelle a été accueillie avec encore plus de circonspection, pour ne pas dire de colère. Par exemple, aux États-Unis, avec Tucker Carlson, alias l’éditorialiste qui réalisait les plus importantes audiences de la télévision américaine dans le domaine journalistique… avant de se voir forcer de quitter la chaîne conservatrice Fox News en raison de prises de position controversées (un départ soudain qui valut tout de même au mastodonte télévisuel américain une perte en valeur de marché estimée à environ un milliard de dollars).

Le 12 octobre 2022 (le 13 en heures françaises), alors que Tucker Carlson était toujours aux commandes de son émission, le bandeau affiché à l’écran ne laissait aucune place à l’interprétation : « La réelle désinformation provenait de ceux placés aux responsabilités ». 

Tucker Carlson est lui aussi très remonté contre les autorités de son pays qui martelaient avec insistance et assurance que « si vous preniez le vaccin contre le Covid, vous n’attraperiez pas le Covid. (…) Vous deveniez une impasse pour le virus » (extrait vidéo).

Le journaliste de Fox News se souvient qu’à l’époque, quiconque cherchait à remettre en cause cette croyance, ou à la questionner, se faisait immédiatement bannir de Twitter pour non-respect des règles concernant la « désinformation sur le Covid »... sauf qu'après avoir entendu Janine Small s'exprimer à Strasbourg, Tucker Carlson estime que c’était finalement cette censure qui était de la « désinformation, car bien évidemment vous pouvez attraper le Covid et le transmettre si vous avez reçu l’injection ».

 

II/ RÉACTION GÉNÉRALE DE LA PRESSE FRANÇAISE :
« UNE NON INFORMATION »


Du côté de la presse française, contrairement à ce qui a été entendu ou lu à l'étranger, les déclarations de Janine Small n’ont pas franchement suscité d’intérêt particulier. Les médias hexagonaux se sont surtout attelés à se moquer de tous ceux qui avaient pu imaginer que la responsable de Pfizer venait de révéler un important secret.

Le 14 octobre 2022, dans son numéro 49, Franc-tireur, une revue spécialisée dans la traque des « complotistes », titre l'un de ses articles : « Covid : le scoop sur le vaccin Pfizer fait pschitt », puis précise que « la complosphère s’est emballée après avoir cru détenir des révélations capitales sur le vaccin Pfizer et la transmission du virus… avant de dégriser ».

Le lendemain, le 15 octobre 2022, le compte Twitter de Checknews, le service de « vérification de faits » de Libération, écrit que « la sphère antivax est en effervescence depuis quatre jours pour : RIEN Car ce qui est présenté comme une "bombe", une révélation", un "coup de tonnerre", etc. est une NON INFORMATION ».

Le 18 octobre 2022, l'Agence France Presse confirme, elle aussi, que les déclarations de la dirigeante de Pfizer ne sont pas une révélation en soi : « il ne s'agit pas d'un élément nouveau : il est connu et public depuis fin 2020, comme en attestent les documents de l'époque ».

Plusieurs organes de presse ont ainsi expliqué, avec plus ou moins de sarcasmes, que la population avait déjà été renseignée sur le fait que le vaccin de Pfizer n’avait pas été testé sur la transmission du Covid avant sa mise sur le marché.

Ce qui est vrai.

Après avoir présenté les premiers résultats de son nouveau produit le 18 novembre 2020, Pfizer rend publique cette information, le 8 décembre 2020, dans un article de Bloomberg. Deux jours plus tard, l’étude relative aux essais cliniques du vaccin de Pfizer est publiée en mentionnant une incertitude à ce sujet, tandis que la FDA, la Food and Drug Administration, l’autorité notamment en charge de la gestion des médicaments aux États-Unis, confirme ce point dans un communiqué.

 
 

Extrait du Résumé des recherches sur Cominarty, le vaccin de Pfizer. Publié le 10 décembre 2020, il mentionne que « la transmission sur les non-vaccinés » nécessite « une étude plus approfondie ».
Extrait du Résumé des recherches sur Cominarty, le vaccin de Pfizer. Publié le 10 décembre 2020, 
il mentionne que « la transmission sur les non-vaccinés » nécessite « une étude plus approfondie ».


En France, dans une dépêche du 26 décembre 2020 relayée, entre autres, par La Provence, l’AFP explique de nouveau qu’il « reste à savoir si ces vaccins [anti-Covid] font barrage à la transmission du virus ».

De son côté, Libération prévient, dès le 4 décembre 2020 (article mis à jour en janvier 2021), que, de manière générale, l’efficacité des vaccins « ne nous dit pas si le virus peut, ou non, toujours utiliser ces hôtes vaccinés pour se développer (...). Si tel était le cas, les personnes vaccinées n’auraient pas à craindre de développer la maladie, mais continueraient de contaminer autrui, et de participer ainsi à la propagation de l’épidémie ».

Puis, dans un article du 11 janvier 2021, Libé constate que même s’ils sont « efficaces pour protéger de la maladie, on ignore si les vaccins empêchent totalement le développement du virus dans le nez ou la gorge, et donc leur effet sur la transmission du virus à autrui ».

En résumé, dans son ensemble, lors de la mise sur le marché des vaccins anti-Covid, la presse a incontestablement mentionné que leur efficacité n’avait pas été observée contre la transmission du virus. Le lui reprocher serait donc injuste.

C’est d’ailleurs pour cela que ces différents titres de presse ne perçoivent pas les raisons de cette levée de bouclier au sein de la population à la suite des déclarations de Janine Small, tout comme ils ne saisissent pas la légitimité qu’il y aurait à les critiquer, eux, sur ce sujet. Un point que Libération entend d’ailleurs bien faire comprendre à tout le monde.

Le 13 octobre 2022, Checknews rappelle que « le fait que les essais cliniques n’évaluent pas l’effet du vaccin sur la transmission n’a jamais été un secret et était explicité dans les communications des autorités sanitaires et les articles de presse ». Pour Libé, « le fait le plus étonnant reste ici que des personnalités publiques qui s’expriment depuis près de deux ans sur la vaccination soient si mal informées sur l’objectif des essais cliniques ».

Le journal réalise ici un constat pertinent : si ces déclarations de Mme Small sont « une non information », pourquoi ont-elles quand même eu l'effet d'une bombe auprès d'une partie de l’opinion publique, tant française qu’étrangère ? Comment l’expliquer ?

Deux jours plus tard, sur Twitter, le Community Manager de Checknews tente de répondre à cette question.

Selon lui – aucun doute – il n'y a que deux solutions possibles pour expliquer cette « effervescence » au sein de la « complosphère ». Soit « les agitateurs tels Philippot ignorent (ou ne comprennent pas) ce qui a été écrit maintes fois par les médias, les autorités sanitaires, etc. Ce qui est assez navrant pour des gens qui font leur beurre sur le Covid depuis deux ans », soit « ils savent qu'ils racontent n'importe quoi et trompent délibérément, par pur cynisme, accroissant l'ignorance et la colère de personnes dupes, appelant pour certains à la violence.
Aucune des hypothèses n'est glorieuse. La deuxième étant la pire. Et aussi la plus probable ».

Voilà qui a le mérite d’être clair et qui traduit bien le ressenti de la presse dominante face aux critiques exprimées à son encontre au cours de cette crise sanitaire et plus particulièrement à la suite des déclarations de la dirigeante de Pfizer !

Pour tenter d'analyser la nature de ces divergences et la raison pour laquelle Libé feint de ne pas comprendre pourquoi de nombreuses personnes se sont senties flouées par les propos de Janine Small, il faut d’abord remonter quelques années en arrière, avant l’émergence du Covid-19, en s’attardant sur une guerre silencieuse et peu observée, car technique et parfois fastidieuse : celle des mots. 


Retrouvez la suite, demain, dans France-Soir.

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