Jour de deuil pour les médias occidentaux en général, pour les médias français en particulier et pour la corruption

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Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 06 novembre 2024 - 22:40
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Jour de deuil pour les médias occidentaux en général, pour les médias français en particulier et pour la corruption
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Pour ce qui est des médias français, que les fans de Michel Drucker se rassurent : il n'est pas mort. (1). Le décès du dernier dinosaure du PAF (2) n'est pas l'information attachée au deuil de TF1, LCI, BFMTV, CNEWS, France Télévision et Cie dont je vous fais état ici. Non. C'est une information d'une tout autre nature (quoique ?) : la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine. Le 45ᵉ et 47ᵉ président des États-Unis.

Eh oui !

La victoire de Donald Trump sonne le glas de la campagne de désinformation abracadabrantesque que les médias mainstream français ont menée contre lui. Pour discréditer tant l'homme lui-même, que son programme et ses partisans. Et, ceci du début de la campagne électorale jusqu'à la toute fin, à savoir dans le sillage des médias américains dont  l’ultra majorité est sous influence démocrate. Des médias mainstream américains dont nul n'ignore qu'ils comptent parmi leurs vassaux les plus zélés (voire parfois carrément pires menteurs et partiaux que leurs suzerains), les médias mainstream français : leurs parfaits perroquets... en pire.

À tel point qu'on peut finalement avancer que c'est en quelque sorte un décès qui fait que les médias mainstream français sont en deuil aujourd'hui (et pour au minimum quatre ans) : la mort politique de « Madame Promotion Dernière Minute », Kamala Harris.

Retour à la case départ, direction le Mac Do où, celle qui a été investie en urgence cet été, en remplacement forcé, après la piètre performance de Joe Biden face à Donald Trump le 27 juin 2024, dit avoir travaillé pendant sa jeunesse :

 MCDonald Harris Trump

Clap de fin pour la « défunte » candidate des leaders démocrates, nulle « à mourir » qu'elle a été. Et pourtant, elle a été portée aux nues par les médias mainstream français, qui voyaient en elle le renouveau démocratique américain, la juste continuité des descendants de Clinton-Obama & cie.  Ceux qui l'ont choisie pour mener à bien leur rêve de protection légale pour toutes les formes de corruption opérées par lobbys interposés. Finies également les trop nombreuses inversions accusatoires et la capture des esprits enfermés dans des croyances. Ces idéologies qui s’apparentent plus à du scientisme et à de l’obscurantisme qu'au respect des libertés fondamentales. Une œuvre sournoise visant l’asservissement des populations, par une acceptation progressive inconsciente générée artificiellement par des messages subliminaux, mimétisme intellectuel et la banalisation (publicité, télévision, cinéma, théâtre, peinture, musique, internet) de ces pratiques pourtant sévèrement condamnées par la morale, plutôt que leur dépénalisation qui serait rejetée par le peuple. Notamment, les crimes qui touchent les enfants. Cela passe par une ingérence de plus en plus pressante de l’État dans l’éducation sexuelle des enfants, dès un âge considéré comme inacceptable par bien des parents, jusqu’à la tentative de légalisation de pratiques que la loi devrait servir à combattre. Voilà pourquoi l’apparition au grand jour des noms présents sur la liste d'Epstein fait si peur aux « élites » de ce monde. Outre la corruption en pécuniaire et la possibilité de pouvoir « booster » sa carrière, accélérer l'avancement, tout ce petit monde est tenu par « la barbichette » (pour ne pas dire par autre chose) du fait d’actes auxquels ils se sont livrés en privé, au "moins pire" des actes immoraux, ou, plus grave, des actes qui en l'état du droit, fort heureusement, sont encore très sévèrement punis par la loi.

Ne vous offusquez pas trop, s'il vous plaît. Nous avons bien, nous, en France, un grand mouvement politico-médiatique auquel participent tous les médias mainstream, qui œuvre, lui, pour la dépénalisation d'un autre crime contre l'humanité. Celui que certains appellent « le génocide des populations autochtones ».

En effet, quiconque remet publiquement en cause le droit que le Gouvernement israélien s'est arrogé de porter atteinte à la vie des habitants de la bande de Gaza, reçoit la foudre, tant de la part de toutes les chaînes de télévision, des radios et des journaux papier, que de la part de la coalition politique actuellement aux commandes du pays (les soutiens officiels du Gouvernement Barnier et l'opposition en carton « RN & Associés » qui attend 2027 sans  même avoir organisé de soirée électorale américaine pour accompagner l’élection de Trump). Cette coalition qui permet à Emmanuel Macron de finaliser un « Parce que c'est notre projet ! » qui n'a jamais caché sa partie  « inclusive » relative à la pédophilie, notamment dans les manuels d’éducation et dans les cours d'art dramatique.

Et, surtout ! Quiconque se risque à formuler une telle critique reçoit également la foudre de la part de la justice. Cela en dépit du fait que la critique de la politique menée par le gouvernement israélien est pourtant pleinement recevable intrinsèquement (3), dès lors qu'elle respecte la forme imposée par les limites fixées à la liberté d'expression par la loi sur la liberté de la presse.

Toutefois, dans ce domaine précis de la critique publique de la politique expansionniste et guerrière menée par le gouvernement israélien, peut-être allons-nous assister, dans les semaines qui suivent à un revirement spectaculaire de la jurisprudence française. J'entends par là si Donald Trump tient la promesse qu'il a faite, lors de la campagne électorale, de faire le nécessaire pour que cette politique ne puisse plus être menée, c'est-à-dire contraindre le gouvernement israélien à cesser de la mener.

Comment ? En indiquant au Premier Ministre israélien, qu'à défaut de le faire, les États-Unis pourraient cesser d'apporter à Israël le soutien politique, financier et militaire, sans lequel le gouvernement israélien ne pourrait mener sa politique expansionniste et guerrière, qui est d'ores et déjà sanctionnée par la Cour Pénale Internationale.

Cela serait ma foi une excellente chose. Je veux dire le fait qu'on puisse être « Charlie » en France, qu'importe le sujet. À savoir s'exprimer publiquement dans le pays que l'actuel Président rabâche être « le pays de la liberté d'expression » et où « le droit à la caricature est un droit fondamental », tant en faveur qu'à l'encontre de n'importe quel positionnement politique, y compris évidemment celui du Gouvernement, dès lors que l'on n'est pas ouvertement injurieux, diffamant ou belliqueux. Que l'on n'appelle pas ni ne provoque à la haine, et qu'on ne fait pas l'apologie d'un crime.

Bon, vous me direz, et vous avez raison, faire l'apologie d'un crime, en France, on peut déjà le faire. Il suffit juste de ne pas se tromper de crime. Par exemple, si on dit ceci, en direct au journal de 13H de LCI, à propos des milliers de victimes civiles gazaouies (hommes, femmes et enfants), causées par les bombardements israéliens : « Je pense que je parle pour beaucoup de français quand je dis : « Qu'ils crèvent ! » Israël fait ici le travail de l'humanité. Qu'ils crèvent tous ! »

Ça, c'est bon. Ça, ça passe. Ça, en France, on a le droit de le dire. La preuve. C'était le 29 septembre 2024, il n'y a donc pas prescription. Et bien non seulement le parquet n'a pas diligenté de poursuites contre la personne qui a tenu ces propos, mais il n'a pas non plus fait retirer la vidéo par YouTube selon les règles de la communauté YouTube ou par des réquisitions qui l'y obligent, comme la loi contre les dérives sectaires sur Internet lui permet de le faire. Ceci alors que, à l'inverse, Youtube a censuré des vidéos contenant des références aux effets secondaires des vaccins ou à leur non-efficacité.

Et, bien sûr, le positionnement du parquet « à ce sujet » (4) n'a absolument rien à voir avec le fait que la personne qui a tenu ces propos, se trouve être Louis Sarkozy. Le fils d'un Nicolas Sarkozy, qui, lorsqu'il était président de la République, a nommé beaucoup de magistrats qui occupent aujourd'hui des postes très haut placés au sein de l'autorité judiciaire. L'autorité judiciaire de « la Nation » et non pas « du peuple élu. » Attention ! Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas écrit.

Non. Si le parquet, « à juste titre » devrais-je sans doute dire (5), a considéré que ces propos tenus publiquement par le fils de Nicolas Sarkozy, ne constituent en aucune manière le délit d'apologie d'un crime, ni celui de provocation (6) à la haine d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation ou une religion déterminée (délits définis et punis par les dispositions combinées des articles 23 et 24 de la loi sur la liberté de la presse), c'est, j'imagine, parce qu'il s'agissait là d'humour.

Ben si !

Comment ça ? Vous n'êtes pas au courant ? Le fils de Nicolas Sarkozy, lui aussi est un humoriste.

Les chiens ne font pas des chats. Alors comme son père a été un humoriste de renommée internationale lorsqu'il était ministre de l'Intérieur (« Dès demain, on va nettoyer au Karcher la cité des 4 000. On y mettra les effectifs nécessaires et le temps qu'il faudra, mais ça sera nettoyé. »), puis rebelote puissance 10 lorsqu'il fut président de la République (« Descends, toi ! Viens t' battre si t'es un homme. »), le fiston a pris le relais. En l'état, uniquement en tant qu'humoriste. Pas aussi comme prestidigitateur, comme son prestigieux papa l'a été. « Prestidi-agitateur », plus exactement, puisque ce n'est pas seulement « d'un coup de baguette magique » que Nicolas Sarkozy a transformé la Libye, jadis une démocratie modèle et prospère, en un chaos institutionnel posé sur un champ de ruines. C'est principalement, au prix de quelques dizaines de milliers de morts parmi la population civile, et après un renversement militaire du président élu au suffrage universel suivi par son assassinat.

En revanche (c'est le cas de le dire), d'autres personnalités politiques, elles, ont de quoi s'inquiéter avec le retour de Dolnald Trump Jr à la Maison-Blanche. Ursula Von der Leyen, par exemple. Notamment concernant les contrats d'achats des vaccins qu'elle aurait conclus par SMS avec Albert Bourla, président de Pfizer.  Il est déjà prévu qu'elle se retrouve devant la justice le 6 décembre à Liège suite à la plainte portée par le lobbyiste Frédéric Baldan et son avocate Me Protat, rejoints par la Hongrie, la Pologne et près de 1000 autres plaignants. Si Robert Kennedy Jr auréolé du rôle de justicier (que lui a conféré Donald Trump) contre la corruption, contre Big Pharma et tout ce qui affecte la santé des Américains, s'invite aussi à la procédure, Ursula von der Leyen risque de passer un sale moment. Potentiellement dépouillée d'une forme d'impunité de fait que lui assurait une administration américaine dirigée par Joe Biden, elle risque fort depuis cette nuit, au mieux pour elle d'être conduite à la démission, au mieux pour « nous » (ceux qui aspirent au respect du droit et prônent l'équité), de se retrouver en prison. La roue tourne.

De même pour tous les autres membres du gang George Soros, le parrain en tête. Donald Trump Jr ayant juré de débarrasser la société américaine des maux dont elle souffre du fait du « progrès » que cette cabale s'emploie à imposer en Occident, tous ces messieurs et dames du forum économique de Davos ont donc du souci à se faire. Bill Gates, Antony Fauci et bien d'autres sont aussi dans le collimateur. 

Alors, comprenez que les médias qui ont servi de relai à toutes les thèses de ces individus risquent fort de se retrouver aussi dans la ligne de mire d'Elon Musk. Ce dernier est sur la liste pour hériter du DOGE, le département d'efficacité gouvernementale, le chien de garde du bon usage des dollars des contribuables américains. Il a cependant depuis son rachat de X pris le combat de la liberté d'expression, libérant ainsi la parole et se retrouvant par la même accusé d'être un des ennemis de la démocratie par ces mêmes médias qui traitaient Trump de dictateur à la Hitler, Mussolini et Staline réunis !  

Et, enfin, j'en ai fait état dans le tweet que j'ai posté de ce jour, mais sans le désigner expressément

c'est essentiellement à l'aune du positionnement que Donald Trump, nouveau président des États-Unis d'Amérique, va adopter s'agissant de la guerre en Ukraine, que nous autres Occidentaux le jugerons sur ses actes.

Me concernant, si comme il s'y est engagé, il s'emploie autant que faire se peut pour qu'elle cesse immédiatement, en tant que père, qui ne veut pas que sa descendance aille se faire étriper sur un champ de bataille, en tant que pacifiste qui par définition s'oppose à toute forme de violence physique, et en tant que contribuable et journaliste français qui dénonce le détournement délictuel de l'argent public, qui consiste en l'utilisation de nos impôts nommée « l'aide financière de la France à l'Ukraine », très sincèrement, Monsieur Trump, le cas échéant, je vous en serais reconnaissant. Pareillement concernant le respect de cette autre promesse électorale que vous avez faite : confier un ministère « de justicier » contre « BigPharma » à Robert Kennedy Jr, et l’agence de l’efficacité gouvernementale à Elon Musk. Elon Musk qui a joué un rôle primordial pour faire participer le plus grand nombre d’utilisateurs de sa plateforme, X, à l’enterrement de première classe, offert aux médias mainstream occidentaux.

Ainsi, cocardier que je suis, je termine cet édito, en ce jour de deuil pour les médias mainstream français, en saluant solennellement tout le travail effectué par les médias alternatifs, contre vents et marées, pour informer le peuple français fidèlement à la réalité.

 

1) pas que je sache en tout cas. Par contre, fait abject et injuste au possible que j'ai pu hélas constater les jours qui suivirent la mort de Jacques Martin (le 14 septembre 2007), plus grand génie de l'Histoire de la télévision populaire française, sarcastique, parfois grivois mais toujours élégant, cultivé et artistique : aucun hommage ne lui a été rendu. C'est vrai aussi que « Maître Jacques » (comme on l'appelait) a eu la très mauvaise idée de mourir pendant que nous avions pour Président de la République, le nain de jardin délinquant en col blanc cocaïnomane précité. Celui qui aujourd'hui encore se vante de lui avoir piqué Cécilia. Cécilia Attia, née Ciganer, ex-Cécilia Martin, épouse de Jacques dont elle divorça en 1988 (un jeudi) pour officialiser avec l'homme dont elle était la maîtresse depuis... Un Nicolas Sarkozy dont elle divorça le 15 octobre 2007, lassée de devoir partager le lit conjugal avec Carla Bruni, Rachida Dati, Mimi Mathy, Lady Gaga et Charles Pasqua*.

* cherchez l'intrus. Les intrus(e)s, même, très probablement. Si je vous dis cela, c'est parce que, désolé, pris par le temps que j'étais cet après-midi, une fois n'est pas coutume, je n'ai pas pu prendre celui nécessaire à vérifier l'exactitude pleine et entière de ce dernier élément d'information : la liste des relations adultérines plus ou moins officielles, potaches et autres de Nicolas Sarkozy.

2) le P.A.F. : le Paysage Audiovisuel Français.

3) contrairement à ce qui est fallacieusement avancé comme étant le positionnement actuel du droit pénal français sur le sujet, par l'entièreté des médias mainstream français et la très grande majorité des politiciens français, dès lors que la dénomination officielle de l'état d'Israël est « l'état Juif », critiquer la politique du Gouvernement israélien sans incriminer de manière péjorative la judéité dont Benjamin Netanyahou et ses ministres se réclament, cela ne peut aucunement être considéré comme un acte antisémite. Ni par nature, ni par destination. En effet, tout d'abord, c'est bel et bien comme dirigeants de « l'état Juif » qu'ils mènent cette politique, et ensuite, malgré le fait qu'ils ont été portés au pouvoir par une majorité des suffrages exprimés lors d'élections législatives auxquelles les électeurs Israéliens Juifs et autres ont participé, les membres du Gouvernement israélien ne représentent pas davantage tous « les Juifs » d'Israël (ni encore moins tous « les Juifs » du monde entier), que les membres du Gouvernement Barnier représentent tous les Français.

Pardi ! Qu'on soit Français ou d'une autre nationalité, quand on critique le Gouvernement Barnier, on ne commet pas là un acte anti-français. Et on ne se rend pas non plus coupable d'un acte antisémite, par le simple fait de critiquer un politicien français de confession juive pour son discours ou pour ses actes, à savoir sans incriminer « expressément » (ou du moins sans équivoque aucune), son appartenance à la communauté juive de manière péjorative.

 

 

4) « à ce sujet » et non pas « en l'espèce », car le parquet n'ayant donc pas diligenté de poursuites, « en l'occurrence » la justice n'est pas saisie de ces faits, des faits qui, à ce titre, ne constituent pas un litige judiciaire.

 

 

5) à savoir, histoire de ne pas avoir d'ennuis judiciaires, administratifs et fiscaux plus que je n'en ai déjà.

 

 

6) alors que l'article 24, septième alinéa, de la loi sur la liberté de la presse, à savoir le texte prohibant les propos relatifs à l'origine, la race, l'ethnie ou la religion, détermine noir sur blanc concernant l'élément matériel du délit qu'il définit, que, pour s'en rendre coupable, il faut avoir « provoqué » à la discrimination, à la haine ou à la violence, la justice française a étendu le domaine de ce délit à la simple incitation. Il s'agit là semble-t-il d'une violation manifeste du principe général du droit pénal (article 111-4 du Code pénal : « La loi pénale est d'interprétation stricte. ») qui interdit à l'autorité judiciaire de la Nation de procéder à pareille extension, et une violation tout autant manifeste de l'article 34 de la Constitution, celui-ci déterminant que la définition des crimes et délits appartient au domaine réservé à la loi. Or, merci aux juristes confirmés de me dire si je me trompe, dans ces conditions, tout jugement qui étend le domaine du délit défini par l'article 24 de cette loi adoptée par le Parlement dénommée « Loi sur la liberté de la presse », en ajoutant à « provoqué », le fait de simplement « inciter », premièrement constitue une violation du principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs, et deuxièmement matérialise le délit de mise en échec de l'exécution de la loi par personne dépositaire de l'autorité publique agissant dans l'exercice de ses fonctions, défini et puni par les dispositions combinées des articles 432-1 et 432-2 du code pénal.

 

En effet, bien que certes les crimes et délits définis par la loi sur la liberté de la presse ne font pas partie de la loi pénale proprement dite, étant donné que c'est à la justice pénale qu'ils sont soumis, d'une part, et d'autre part que l'autorité judiciaire de la Nation n'est donc pas compétente, constitutionnellement, pour créer un délit ou un crime par extension du domaine ou du champ d'application d'un autre, des magistrats ne peuvent le faire à l'occasion d'un jugement sans violer cette interdiction comme susdit. S'ils retiennent qu'il y a eu « incitation » seulement, et non pas « provocation », ils sont normalement tenus d'ordonner la relaxe ou d'opter pour l'acquittement.

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