Le facteur X sonne toujours deux fois
EDITO - Attention ! Je ne vais pas vous parler ici d'un fonctionnaire de la Poste ni de l'ex-Twitter. Il ne s’agit pas plus de discourir sur l'élément à découvrir d'une équation mathématique à une seule inconnue, ce fameux "X" qui a filé des migraines terribles à l'école, à bien des cancres.
Non. Ce que je vais évoquer ici est beaucoup plus grave. Tellement grave même, que j'ai préféré commencer cet édito, non pas bille en tête, en vous parlant directement du facteur X, mais par un petit trait d'humour.
Car, hélas, si le facteur X se matérialise, nous n'aurons plus beaucoup l'occasion de rire.
Je m'explique.
Le facteur X, c'est, officiellement, un virus inconnu, attaché à une pandémie qui, du coup, porte son nom. Une pandémie X à propos de laquelle les gentils organisateurs du Forum de Davos 2024, nous ont à peu près dit :
"Une nouvelle pandémie est inévitable. Elle arrive. C'est pour cette année. Un virus totalement inconnu contre lequel Big Pharma aura un vaccin. Un vaccin sûr, évidemment, 100% garanti sans effets secondaires."
Garanti par qui ? Ça ils ne l'ont pas dit. Mais bon, on sait pouvoir leur faire confiance.
Pardi ! Si Pfizer, Moderna ou AstraZeneca avaient été condamnés, ne serait-ce qu'une seule fois, pour empoisonnement, on pourrait avoir un doute. Craindre le pire. Mais là, non, évidemment...
Alors, maintenant, écoutons la suite sans craindre que ces bons samaritains altruistes qui nous veulent uniquement du bien, se mettent soudainement à nous mentir.
De ce nouveau virus “inconnu”, nos "Davossiens" ne connaissent à peu près rien. Si, si ! Vrai de vrai ! “Et ce serait donc par le plus grand des hasards” s'il était aussi “cultivé”, ce virus “inconnu”, en Chine, dans un laboratoire. À Wuhan, par exemple...
Ah mince ! Bis repetita ?
Parce qu’ils en sont certains, les GO de Davos : la pandémie X fera vingt fois plus de morts que la pandémie de Covid. Et là, ce n'est pas drôle. Ce n'est plus drôle du tout.
À moins qu'en fait, il ne s'agisse que d'une nouvelle fausse vérité.
Et que ce n'est peut-être pas de cette pandémie X, due à un virus “inconnu”, que vont tomber comme des mouches les humains cette année, mais d’un autre fléau : les effets secondaires des thérapies géniques anti-Covid.
“Quoiqu’il en coûte”, cette pandémie X arrangerait bien les affaires (dans tous les sens du terme) de tous les enfumeurs qui ont déjà sévi durant la séquence covid. Et de leur remède miracle : l’injection ! Le vaccin n’ayant eu droit de cité que parce que les gouvernements, à grand renfort de magie, ont réussi tour à tour à faire disparaitre : des dizaines d’années de préparation à des plans pandémies, les principes de base de la médecine, mais aussi des traitements que l’on a pu, sans aucun problème, utiliser pendant des décennies. Un tour de magie que même Gérard MajaX n’a jamais réussi !
En outre, ils ont réussi à accoucher d’une thérapie génique et à faire en sorte qu'elle soit administrée à 80 % de la population. En lui faisant miroiter une efficacité annoncée de 95% (alors que dans la réalité, ce n’est pas le cas) et en leur martelant qu’ils seraient des citoyens exemplaires en s’injectant cette potion magique... Au pays d’Asterix, ce n’est pas une, ni deux, mais bien trois doses, ou plus, que l'on a réussi à leur faire absorber ! Gérard MajaX, dans son second tour de magie, est même parvenu à faire disparaître les effets secondaires avec, en premier soutien, non pas une belle naïade, mais une presse écervelée et biberonnée aux subventions et, de l’autre côté, des médecins hypnotisés au point d’en oublier tous les serments d’Hippocrate !
Alors, si d’aventure, la version officielle à venir concernant ce nouveau virus était d'engendrer des maladies en activant des rétrovirus endogènes, ou une recrudescence d’AVC, ou des turbo-cancers et des myocardites, on comprendra que c'est bien de récidive qu'il s'agit.
Mais évidemment, rien n’est programmé, ceci est un énième tour de magie. Une coïncidence.
En attendant, je vous saurais gré, à "toutes et tous", d’éviter de me traiter de complotiste.
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