Un crash pour le moins suspect... et horrible  !

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 13 août 2024 - 17:00
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Brésil crash Sao Paolo
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Un crash pour le moins suspect... et horrible !
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En effet, d'après l’Agence nationale de l’aviation civile brésilienne, l'appareil qui s'est écrasé, vendredi 9 août 2024, au Brésil, à Vinhedo, à l'ouest du Paraná, avec 62 personnes à son bord (passagers et membres d'équipage), volait depuis 2010 et « respectait toutes les normes en vigueur. » Le contact a été perdu avec l’avion à 13 h 21 heure locale soit 18 h 21 heure française.

Le Centre d’investigation et de prévention des accidents aéronautiques du Brésil (Cenipa) a ouvert une enquête, et a entrepris l’analyse des deux boîtes noires. Il prévoit de publier un rapport préliminaire sur l’accident « dans un délai estimé de 30 jours », a annoncé l’Armée de l’air brésilienne (FAB). Donc, attendons.

En outre, selon Marcel Moura, directeur des opérations de Voepass, l'appareil avait fait l’objet « d’opérations de maintenance de routine la nuit précédente », et avait quitté la ville de Ribeirao Preto (dans l’État de Sao Paulo) « sans aucun problème technique. » Et, selon l'Armée brésilienne, « l'avion n’a pas déclaré affronter des conditions météorologiques adverses », c'est-à-dire pas de gel (j'y reviens plus bas).

Parmi les victimes figurent huit médecins qui se rendaient à Sao Paulo pour un colloque d’oncologie, des scientifiques dont quatre enseignants, dont des médecins de l’université du Paraná. Certains de ces scientifiques travaillent sur des recherches ou des méthodes alternatives de traitement du cancer peu coûteuses, à savoir totalement à l'opposé des traitements des multinationales leaders sur le marché du cancer, un secteur éminemment juteux. Car, il est en énorme croissance. L’OMS prévoit une augmentation de 77 % d’ici à 2050 (estimation de 35 millions de cas en 2050 versus 20 millions en 2022). En France, dans son rapport sur l’application de la loi de finance 2024 sur la Sécurité sociale et dans la section médicaments anticancéreux, la Cour des comptes indique : « en 2020, 433 136 nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués en France, portant à 3,4 millions le nombre de patients soignés chaque année. Le cancer est la première cause de décès en France (169 910 en 2022). Le cancer est la pathologie la plus onéreuse pour l’assurance maladie : son coût s’élevait à 22,5 Md€ en 2021, soit 12,1 % des dépenses d’assurance maladie. Les dépenses de médicaments innovants anti-cancéreux délivrés à l’hôpital et inscrits sur la « liste en sus » 247 ont connu une forte augmentation : elles représentaient 3,3 Md€ en 2018 et 5,9 Md€ en 2022. » Ce qui porte le cout moyen annuel d’un traitement anticancéreux à 14 580 euros.

C’est donc le secteur le plus lucratif d'un marché, la santé, sur lequel Big Pharma compte continuer de régner en maître absolu. Le cancer, c'est de l'or en barre pour ces trusts. C'est mieux que le sida. C'est un secteur phare et pour eux, le cancer, c'est « le top du top. » Le marché devrait atteindre 300 milliards de dollars d’ici à 2026. Un marché aussi juteux que celui des « vaccins » anti-covid grâce auxquels, le canard boiteux qu'était devenu Pfizer (car empêtré dans de sordides affaires de corruption), lui, s'est refait une santé, comble du paradoxe, en jouant avec celle des autres, les centaines de millions de personnes, qui, merci Ursula Von der Leyen et Cie, se sont fait injecter cette thérapie. Aujourd'hui certains n’hésitent pas à la qualifier « d’arme biologique » de destruction passive.

Des « spécialistes » ont émis l’hypothèse qu'« une formation de gel » sur les ailes de l’avion, aurait pu provoquer l’accident. C’est ce qui est la version officielle actuelle. Au même titre que j’ai toujours eu du mal à croire au narratif officiel de la rencontre improbable entre un pangolin et une chauve-souris pour donner naissance au Sars-Cov2, étant donné les activités de recherches au laboratoire P4 de Wuhan financées par les États-Unis et la France, je réserverai mon jugement sur la cause de cette catastrophe en attendant les diverses données factuelles, et le rapport d'enquête.

Pardi !

Si les « spécialistes » en question, sont du même acabit que ceux qui nous ont assuré, garanti, certifié que les « vaccins » anti-covid étaient efficaces à 100 %, et absolument sans aucun risque pour la santé, permettez-moi d'avoir un doute.  De plus je rappelle que le Brésil est un pays où les plantes médicinales et leurs usages sont très importants.  Le boldu, le quebra pedra, jambu, crajiru, les genus phyllantus, le geraniin, aux multiples propriétés, qui inhibe l’entrée du SARS-Cov2, autant de plantes aux propriétés anti-oxydantes, anticancéreuses peu connues en Europe dont les brevets sont rachetés par les laboratoires pour ne pas les exploiter ou empecher leur exploitation. Une manière de protéger les brevets sur des molécules de synthèse plus couteuses à développer que l’on vendra aux régulateurs à des prix astronomiques pour le patient et le système de santé.  Tout cela n’est pas du complotisme, de la théorie du complot. C'est la réalité.

Comme tous les autres avions de ligne occidentaux, les avions d'ATR, constructeur franco-italien fabricant de l'avion qui s'est écrasé, sont équipés d'un transpondeur. Un transpondeur est une sorte de GPS qui indique la position de l'avion en permanence, de jour comme de nuit, au sol ou en l'air. C’est donc ce qui permet d’éviter que deux avions n’entrent en collusion sur le tarmac ou dans les airs (rappelons pour cela le terrible accident de Tenerife le 27 mars 1977 où deux Boeing 747 rentrèrent en collision sur la piste dont les causes sont multiples y compris sur la non-présence d’un radar au sol expliquant la position des avions à la tour de contrôle). Un autre exemple de la notion de transpondeur réside dans les téléphones portables ou dans les voitures, ce qui permet en cas de vol de le géopositionner.   

Cependant, ce qui est utilisé pour la localisation d’un appareil ou d’un autre, autorise aussi un contrôle ou une prise de contrôle. Et, entre des mains maléfiques, cela peut contribuer à faire entrer en collision des avions entre eux.  Pour ce faire, il suffirait d’en modifier à distance, par erreur ou de manière maléfique, le logiciel du transpondeur, pour que l'avion perde sa localisation. Ne sachant plus où il se trouve dans un espace tridimensionnel, cela peut ainsi entrainer la possibilité d’une catastrophe à tel endroit, prédéfini. N’oublions jamais le revers de la médaille de tous ces outils technologiques.  Bien utilisés ce sont des outils fantastiques, entre de mauvaises mains, cela devient des armes.

C'est aussi simple que cela. Cela date du tout début des années 2000. Précisément lorsque Thomson CSF a été liquidé au profit des Américains, notamment, donc, la division transpondeur (merci Jacques Chirac, président de la République, merci Lionel Jospin, Premier Ministre et merci Laurent Fabius, ministre de l'Économie, consignataires du décret qui a procédé à ce dépeçage). Depuis, la totalité des Airbus et Boeing sont équipés de ce système. Dès lors, c'est très facile, de porter atteinte à une personne, il suffit qu'elle prenne l'avion. À ce titre, ces informations étant rendues publiques, de nombreuses personnes se sont amusées à suivre les vols privés des milliardaires, mettant ainsi en question leur contribution négative à la réduction d’émission de CO2 !

C'est pour cette raison que, comme d'autres personnalités, Recep Tayyip Erdogan, le Président turc, utilise exclusivement des avions russes, qui eux ne sont pas équipés de transpondeur. Derechef, histoire de minimiser les risques d'une collision « accidentelle » avec un avion qui lui en est équipé, ces personnalités ajoutent à cette mesure de prudence de base, celle de ne rendre accessibles l'horaire et l'itinéraire de leurs déplacements par avion... qu'au dernier moment.

Un Brésilien qui aurait dû être un des passagers de l'avion qui s'est écrasé ce vendredi s'étant trompé de porte d'embarquement est l'unique survivant du drame. L'avion demeure le moyen de transport le plus sûr au monde. 

 

NOTA : la vidéo dans ce tweet est présentée comme étant celle de Leonardo Ferreira, cancérologue indiqué mort dans cet accident, alors qu'en fait, il est toujours vivant. C'est un autre médecin brésilien, homonyme à lui, qui perdu la vie dans cet accident d'avion : José Roberto Leonel Ferreira. C'est un des huit médecins qui ont péri dans le crash qui se rendait à un colloque d’oncologie à Sao Paolo.

Ferreira

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